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Marc Fonvieille 2016-03-24 17:43:30 +00:00
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commit ad87838f45
Notes: svn2git 2020-12-08 03:00:23 +00:00
svn path=/head/; revision=48465

View file

@ -4,7 +4,7 @@
The FreeBSD French Documentation Project
$FreeBSD$
Original revision: 1.227
Original revision: 38449
-->
<chapter xmlns="http://docbook.org/ns/docbook" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" version="5.0" xml:id="config-tuning">
<info><title>Configuration et optimisation</title>
@ -54,7 +54,7 @@
<listitem>
<para>Les bases de la configuration du fichier
<filename>rc.conf</filename> et des fichiers de démarrage
<filename>/usr/local/etc/rc.d</filename>.</para>
<filename class="directory">/usr/local/etc/rc.d</filename>.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Comment configurer et tester une carte
@ -66,7 +66,7 @@
</listitem>
<listitem>
<para>Comment utiliser les divers fichiers de configuration du
répertoire <filename>/etc</filename>.</para>
répertoire <filename class="directory">/etc</filename>.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Comment optimiser FreeBSD en utilisant les variables
@ -280,7 +280,7 @@
par défaut du fichier
<filename>/etc/defaults/rc.conf</filename>. Les fichiers de
valeurs par défaut ne devraient pas être copiés
directement tels quels dans <filename>/etc</filename> - ils
directement tels quels dans <filename class="directory">/etc</filename> - ils
contiennent des valeurs par défaut, et non pas des exemples.
Tout changement spécifique au système devrait
être fait dans le fichier <filename>rc.conf</filename>.</para>
@ -290,37 +290,39 @@
séparer la configuration d'un site de celle d'un système
afin de réduire le travail d'administration. L'approche
recommandée est
de placer la configuration propre au site dans un autre fichier
comme <filename>/etc/rc.conf.site</filename>, puis ensuite
inclure ce fichier dans <filename>/etc/rc.conf</filename>, qui
ne contiendra seulement que les informations spécifiques au
système.</para>
<para>Comme <filename>rc.conf</filename> est lu par &man.sh.1; il est
assez trivial d'effectuer cela. Par exemple:</para>
de placer la configuration propre au site dans le fichier
<filename>/etc/rc.conf.local</filename>. Par exemple:</para>
<itemizedlist>
<listitem><para>rc.conf:</para>
<programlisting> . /etc/rc.conf.site
hostname="node15.example.com"
network_interfaces="fxp0 lo0"
ifconfig_fxp0="inet 10.1.1.1"</programlisting></listitem>
<listitem><para>rc.conf.site:</para>
<programlisting> defaultrouter="10.1.1.254"
saver="daemon"
blanktime="100"</programlisting></listitem>
<listitem><para><filename>/etc/rc.conf</filename>:</para>
<programlisting>sshd_enable="YES"
keyrate="fast"
defaultrouter="10.1.1.254"</programlisting></listitem>
<listitem><para><filename>/etc/rc.conf.local</filename>:</para>
<programlisting>hostname="node1.example.org"
ifconfig_fxp0="inet 10.1.1.1/8"</programlisting></listitem>
</itemizedlist>
<para>Le fichier <filename>rc.conf.site</filename> peut être
<para>Le fichier <filename>rc.conf</filename> peut être
distribué &agrave; l'ensemble des systèmes en utilisant
<command>rsync</command> ou un programme semblable, tandis que
le fichier <filename>rc.conf</filename> reste unique.</para>
le fichier <filename>rc.conf.local</filename> reste unique.</para>
<para>Mettre &agrave; jour le système en employant
&man.sysinstall.8; ou <command>make world</command> n'écrasera
pas le fichier <filename>rc.conf</filename>, les informations de
configuration du système ne seront donc pas perdues.</para>
<para>Le fichier de configuration
<filename>/etc/rc.conf</filename> est analysé par &man.sh.1;.
Cela permet aux administrateurs système d'ajouter un certain
niveau de logique à ce fichier, ce qui peut aider à créer des
scénaris de configuration complexes. Veuillez consulter
&man.rc.conf.5; pour plus d'information sur ce sujet.</para>
</sect1>
<sect1 xml:id="configtuning-appconfig">
@ -336,7 +338,7 @@
<indexterm><primary>/usr/local/etc</primary></indexterm>
<para>Ces fichiers sont généralement installés
dans le répertoire <filename>/usr/local/etc</filename>. Dans
dans le répertoire <filename class="directory">/usr/local/etc</filename>. Dans
le cas où une application possède un grand nombre
de fichiers de configuration, un sous-répertoire sera
créé pour les héberger.</para>
@ -347,10 +349,10 @@
Ces derniers sont généralement identifiés
par un suffixe &ldquo;.default&rdquo;. Si aucun fichier de
configuration n'existe pour l'application, on les créera en
copiant les fichiers .default.</para>
copiant les fichiers <filename>.default</filename>.</para>
<para>Par exemple, considérez le contenu du
répertoire <filename>/usr/local/etc/apache</filename>:</para>
répertoire <filename class="directory">/usr/local/etc/apache</filename>:</para>
<literallayout class="monospaced">-rw-r--r-- 1 root wheel 2184 May 20 1998 access.conf
-rw-r--r-- 1 root wheel 2184 May 20 1998 access.conf.default
@ -388,7 +390,7 @@
le logiciel de manière &agrave; ce qu'il soit
lancé au démarrage du système. Des
services comme <package>mail/postfix</package>
ou <package>www/apache13</package> sont deux
ou <package>www/apache22</package> sont deux
exemples de logiciels parmi tant d'autres qui peuvent être
lancés &agrave; l'initialisation du système.
Cette section explique les procédures disponibles pour
@ -403,79 +405,6 @@
démarrage peut être gérée &agrave;
l'aide de procédures de démarrage simples.</para>
<para>Avant l'avènement du système <filename>rc.d</filename>, les
applications plaçaient une procédure simple de
lancement dans le répertoire <filename>/usr/local/etc/rc.d</filename> qui était
lue par les scripts d'initialisation du système. Ces
procédures étant alors exécutées
lors des dernières étapes du démarrage du
système.</para>
<para>Bien que de nombreuses personnes aient passé des
heures &agrave; tenter de fusionner l'ancien mode de
configuration avec le nouveau, il reste que certains utilitaires
tierce partie ont toujours besoin d'un script placé dans
le répertoire précédemment
évoqué. Les différences subtiles dans les
scripts dépend de si le système <filename>rc.d</filename> est
utilisé ou non. Avant &os;&nbsp;5.1 l'ancien style de
configuration était utilisé et dans presque tous
les cas la nouvelle procédure fonctionnera sans
problème.</para>
<para>Bien que chaque procédure doit remplir certains
pré-requis minimum, la plupart du temps ils seront
indépendants de la version de &os;. Chaque
procédure doit avoir une extension
<filename>.sh</filename> et doit être exécutable
par le système. Ce dernier point peut être
réalisé en utilisant la commande
<command>chmod</command> et en fixant les permissions &agrave;
<literal>755</literal>. Il doit y avoir, au minimum, une option
pour démarrer (<literal>start</literal>) l'application et
une autre pour l'arrêter (<literal>stop</literal>).</para>
<para>La procédure de démarrage la plus simple
ressemblera &agrave; celle-ci:</para>
<programlisting>#!/bin/sh
echo -n ' utility'
case "$1" in
start)
/usr/local/bin/utility
;;
stop)
kill -9 `cat /var/run/utility.pid`
;;
*)
echo "Usage: `basename $0` {start|stop}" &gt;&amp;2
exit 64
;;
esac
exit 0</programlisting>
<para>Cette procédure offre des options
<literal>stop</literal> et <literal>start</literal> pour une
application appelée ici <literal>utility</literal>.</para>
<para>L'application pourra être lancée manuellement
avec:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>/usr/local/etc/rc.d/utility.sh start</userinput></screen>
<para>Bien que toutes les applications tierce partie ne
nécessitent pas de ligne dans le fichier
<filename>rc.conf</filename>, chaque jour un nouveau logiciel
porté sera modifié pour accepter cette
configuration. Contrôlez l'affichage final lors de
l'installation de l'application pour plus d'information &agrave;
ce sujet. Certains logiciels fourniront des procédures
qui permettrons &agrave; l'application d'être
utilisée avec le système <filename>rc.d</filename>, cela sera
abordé dans la section suivante.</para>
<sect2>
<title>Configuration étendue des applications</title>
@ -521,7 +450,7 @@ run_rc_command "$1"</programlisting>
<para>Cette procédure s'assurera que l'application
<application>utility</application> sera lancée après le
le service
<literal>daemon</literal>. Elle fournie également une
<literal>DAEMON</literal>. Elle fournie également une
méthode de suivi du <acronym>PID</acronym>, ou encore
<acronym>ID</acronym> (identifiant) de processus.</para>
@ -531,7 +460,7 @@ run_rc_command "$1"</programlisting>
<programlisting>utility_enable="YES"</programlisting>
<para>Cette nouvelle méthode permet également une
<para>Cette méthode permet également une
manipulation plus aisée des arguments en ligne de
commande, l'inclusion des fonctions offertes par défaut
dans <filename>/etc/rc.subr</filename>, offre une
@ -592,7 +521,7 @@ run_rc_command "$1"</programlisting>
arrière plan et contrôle constamment le fichier
<filename>/etc/crontab</filename>. L'utilitaire
<command>cron</command> consulte également le
répertoire <filename>/var/cron/tabs</filename>, &agrave; la
répertoire <filename class="directory">/var/cron/tabs</filename>, &agrave; la
recherche de nouveaux fichiers <filename>crontab</filename>.
Ces fichiers <filename>crontab</filename> conservent les
informations sur les tâches que <command>cron</command>
@ -812,7 +741,7 @@ HOME=/var/log
l'initialisation du système a
été intégré &agrave; &os;. Les
utilisateurs noteront les fichiers présents dans le
répertoire <filename>/etc/rc.d</filename>. Plusieurs de ces
répertoire <filename class="directory">/etc/rc.d</filename>. Plusieurs de ces
fichiers sont destinés aux services de base qui peuvent
être contrôlés avec les options
<option>start</option>, <option>stop</option>, et
@ -922,16 +851,25 @@ sshd is running as pid 433.</screen>
ces commentaires lors de l'initialisation du système en
vue de déterminer l'ordre dans lequel les services
système seront invoqués pour satisfaire les
dépendances. Les mots suivants peuvent être
présents en tête de chaque fichier de
démarrage:</para>
dépendances.</para>
<para>Les mots suivants doivent être présents en tête de tous les
fichiers de démarrage (ils sont nécessaires pour que
&man.rc.subr.8; active les procédures de démarrages):</para>
<itemizedlist>
<listitem>
<para><literal>PROVIDE</literal>: indique les services que
fournit ce fichier.</para>
</listitem>
</itemizedlist>
<para>Les mots clés suivants peuvent être ajoutés au début de
chaque fichier de démarrage. Ils ne sont pas strictement
nécessaires, mais sont utiles comme aide pour
&man.rcorder.8;:</para>
<itemizedlist>
<listitem>
<para><literal>REQUIRE</literal>: liste les fichiers dont
dépend ce service. Ce fichier sera
@ -947,10 +885,11 @@ sshd is running as pid 433.</screen>
</listitem>
</itemizedlist>
<para>En utilisant ce système, un administrateur peut
facilement contrôler les services du système sans
avoir &agrave; se battre avec les &ldquo;runlevels&rdquo; comme
sur d'autres systèmes d'exploitation &unix;.</para>
<para>En utilisant avec soin ces mots clés pour chaque fichier de
démarrage, un administrateur dispose d'un niveau de contrôle
très fin de l'ordre d'exécution des procédures de démarrage sans
les inconvénients des <quote>runlevels</quote> comme sur
d'autres systèmes d'exploitation &unix;.</para>
<para>Des informations supplémentaires concernant le
système <filename>rc.d</filename>
@ -1022,16 +961,18 @@ sshd is running as pid 433.</screen>
<screen>dc0: &lt;82c169 PNIC 10/100BaseTX&gt; port 0xa000-0xa0ff mem 0xd3800000-0xd38
000ff irq 15 at device 11.0 on pci0
dc0: Ethernet address: 00:a0:cc:da:da:da
miibus0: &lt;MII bus&gt; on dc0
ukphy0: &lt;Generic IEEE 802.3u media interface&gt; on miibus0
ukphy0: 10baseT, 10baseT-FDX, 100baseTX, 100baseTX-FDX, auto
bmtphy0: &lt;BCM5201 10/100baseTX PHY&gt; PHY 1 on miibus0
bmtphy0: 10baseT, 10baseT-FDX, 100baseTX, 100baseTX-FDX, auto
dc0: Ethernet address: 00:a0:cc:da:da:da
dc0: [ITHREAD]
dc1: &lt;82c169 PNIC 10/100BaseTX&gt; port 0x9800-0x98ff mem 0xd3000000-0xd30
000ff irq 11 at device 12.0 on pci0
dc1: Ethernet address: 00:a0:cc:da:da:db
miibus1: &lt;MII bus&gt; on dc1
ukphy1: &lt;Generic IEEE 802.3u media interface&gt; on miibus1
ukphy1: 10baseT, 10baseT-FDX, 100baseTX, 100baseTX-FDX, auto</screen>
bmtphy1: &lt;BCM5201 10/100baseTX PHY&gt; PHY 1 on miibus1
bmtphy1: 10baseT, 10baseT-FDX, 100baseTX, 100baseTX-FDX, auto
dc1: Ethernet address: 00:a0:cc:da:da:db
dc1: [ITHREAD]</screen>
<para>Dans cet exemple, nous voyons que deux cartes utilisant le
pilote de périphérique &man.dc.4; sont présentes
@ -1103,7 +1044,7 @@ linuxemu/chapter.xml -->
cette dernière approche.</para>
<para>Grâce aux contributions de Bill Paul (wpaul),
depuis &os;&nbsp;5.3-RELEASE, il existe un support
il existe un support
<quote>natif</quote> pour la spécification
d'interface des pilotes de périphérique
réseau (Network Driver Interface
@ -1167,7 +1108,7 @@ linuxemu/chapter.xml -->
module noyau dans le répertoire courant qui pourra
être chargé de cette manière:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>kldload ./W32DRIVER.ko</userinput></screen>
<screen>&prompt.root; <userinput>kldload ./W32DRIVER_SYS.ko</userinput></screen>
<para>Avec le module généré, vous devez également charger les
modules <filename>ndis.ko</filename> et
@ -1203,12 +1144,12 @@ ndis0: 11g rates: 6Mbps 9Mbps 12Mbps 18Mbps 36Mbps 48Mbps 54Mbps</screen>
même manière que pour n'importe quel autre
module. Tout d'abord, copiez le module
généré,
<filename>W32DRIVER.ko</filename>, dans le répertoire
<filename>W32DRIVER_SYS.ko</filename>, dans le répertoire
<filename>/boot/modules</filename>.
Ajoutez ensuite la ligne suivante au fichier
<filename>/boot/loader.conf</filename>:</para>
<programlisting>W32DRIVER_load="YES"</programlisting>
<programlisting>W32DRIVER_SYS_load="YES"</programlisting>
</sect3>
</sect2>
@ -1230,30 +1171,24 @@ ndis0: 11g rates: 6Mbps 9Mbps 12Mbps 18Mbps 36Mbps 48Mbps 54Mbps</screen>
de votre système, entrer la commande suivante:</para>
<screen>&prompt.user; <userinput>ifconfig</userinput>
dc0: flags=8843&lt;UP,BROADCAST,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST&gt; mtu 1500
inet 192.168.1.3 netmask 0xffffff00 broadcast 192.168.1.255
dc0: flags=8843&lt;UP,BROADCAST,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST&gt; metric 0 mtu 1500
options=80008&lt;VLAN_MTU,LINKSTATE&gt;
ether 00:a0:cc:da:da:da
inet 192.168.1.3 netmask 0xffffff00 broadcast 192.168.1.255
media: Ethernet autoselect (100baseTX &lt;full-duplex&gt;)
status: active
dc1: flags=8843&lt;UP,BROADCAST,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST&gt; mtu 1500
inet 10.0.0.1 netmask 0xffffff00 broadcast 10.0.0.255
dc1: flags=8802&lt;UP,BROADCAST,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST&gt; metric 0 mtu 1500
options=80008&lt;VLAN_MTU,LINKSTATE&gt;
ether 00:a0:cc:da:da:db
inet 10.0.0.1 netmask 0xffffff00 broadcast 10.0.0.255
media: Ethernet 10baseT/UTP
status: no carrier
lp0: flags=8810&lt;POINTOPOINT,SIMPLEX,MULTICAST&gt; mtu 1500
lo0: flags=8049&lt;UP,LOOPBACK,RUNNING,MULTICAST&gt; mtu 16384
lo0: flags=8049&lt;UP,LOOPBACK,RUNNING,MULTICAST&gt; metric 0 mtu 16384
options=3&lt;RXCSUM,TXCSUM&gt;
inet6 fe80::1%lo0 prefixlen 64 scopeid 0x4
inet6 ::1 prefixlen 128
inet 127.0.0.1 netmask 0xff000000
tun0: flags=8010&lt;POINTOPOINT,MULTICAST&gt; mtu 1500</screen>
<note>
<para>D'anciennes versions de FreeBSD pourront nécessiter
l'option <option>-a</option> après &man.ifconfig.8;,
pour plus de détails au sujet de la syntaxe d'&man.ifconfig.8;,
veuillez vous référer &agrave; la page de manuel.
Notez également que les entrées concernant l'IPv6
(<literal>inet6</literal> etc...) ont été omises
dans cet exemple.</para>
</note>
nd6 options=3&lt;PERFORMNUD,ACCEPT_RTADV&gt;</screen>
<para>Dans cet exemple, les périphériques suivants
ont été affichés:</para>
@ -1269,21 +1204,10 @@ tun0: flags=8010&lt;POINTOPOINT,MULTICAST&gt; mtu 1500</screen>
interface Ethernet</para>
</listitem>
<listitem>
<para><filename>lp0</filename>: L'interface du port
parallèle</para>
</listitem>
<listitem>
<para><filename>lo0</filename>: L'interface
&ldquo;en boucle&rdquo; (&ldquo;loopback&rdquo;)</para>
</listitem>
<listitem>
<para><filename>tun0</filename>: L'interface
&ldquo;tunnel&rdquo; utilisée par
<application>ppp</application></para>
</listitem>
</itemizedlist>
<para>FreeBSD utilise le nom du pilote de périphérique
@ -1351,8 +1275,11 @@ tun0: flags=8010&lt;POINTOPOINT,MULTICAST&gt; mtu 1500</screen>
<para>Si le résultat de la commande &man.ifconfig.8; est
similaire &agrave;:</para>
<screen>dc0: flags=8843&lt;BROADCAST,SIMPLEX,MULTICAST&gt; mtu 1500
ether 00:a0:cc:da:da:da</screen>
<screen>dc0: flags=8843&lt;BROADCAST,SIMPLEX,MULTICAST&gt; metric 0 mtu 1500
options=80008&lt;VLAN_MTU,LINKSTATE&gt;
ether 00:a0:cc:da:da:da
media: Ethernet autoselect (100baseTX &lt;full-duplex&gt;)
status: active</screen>
<para>cela indiquerait que la carte n'a pas été
configurée.</para>
@ -1398,6 +1325,16 @@ ifconfig_dc1="inet 10.0.0.1 netmask 255.255.255.0 media 10baseT/UTP"</programlis
d'information référez-vous &agrave; la page de manuel &man.hosts.5;
et au fichier
<filename>/usr/share/examples/etc/hosts</filename>.</para>
<note>
<para>S'il n'y a pas de serveur <acronym>DHCP</acronym> et
qu'un accès à Internet est nécessaire, configurez
manuellement la passerelle par défaut et le serveur de
noms:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>echo 'defaultrouter="<replaceable>your_default_router</replaceable>"' &gt;&gt; /etc/rc.conf</userinput>
&prompt.root; <userinput>echo 'nameserver <replaceable>your_DNS_server</replaceable>' &gt;&gt; /etc/resolv.conf</userinput></screen>
</note>
</sect2>
<sect2>
@ -1409,10 +1346,22 @@ ifconfig_dc1="inet 10.0.0.1 netmask 255.255.255.0 media 10baseT/UTP"</programlis
permettra la prise en compte de la ou les modifications
au niveau des interfaces, et permettra de vérifier
que le système redémarre sans erreur de
configuration.</para>
configuration. Sinon, une autre méthode pour faire prendre en
compte les modifications au niveau de la gestion du réseau
consiste à utiliser la commande:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>service netif restart</userinput></screen>
<note>
<para>Si une passerelle par défaut a été configurée dans
<filename>/etc/rc.conf</filename>, lancez également cette
commande:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>service routing restart</userinput></screen>
</note>
<para>Une fois que le système a été
redémarré, vous devrez tester les interfaces
redémarré, vous testez les interfaces
réseau.</para>
<sect3>
@ -1618,7 +1567,7 @@ ifconfig_fxp0_alias7="inet 202.0.75.20 netmask 255.255.255.255"</programlisting>
<title>Fichiers de configuration</title>
<sect2>
<title>Organisation du répertoire <filename>/etc</filename></title>
<title>Organisation du répertoire <filename class="directory">/etc</filename></title>
<para>Il existe un certain nombre de répertoires dans lesquels
se trouvent les informations de configuration. Ceux-ci
incluent:</para>
@ -1630,47 +1579,47 @@ ifconfig_fxp0_alias7="inet 202.0.75.20 netmask 255.255.255.255"</programlisting>
<tbody>
<row>
<entry><filename>/etc</filename></entry>
<entry><filename class="directory">/etc</filename></entry>
<entry>Information de configuration générique du
système; les données ici sont
spécifiques au système.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename>/etc/defaults</filename></entry>
<entry><filename class="directory">/etc/defaults</filename></entry>
<entry>Version par défaut des fichiers de configuration
du système.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename>/etc/mail</filename></entry>
<entry><filename class="directory">/etc/mail</filename></entry>
<entry>Configuration de &man.sendmail.8;, et autres fichiers
de configuration d'agent de transmission du courrier
électronique.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename>/etc/ppp</filename></entry>
<entry><filename class="directory">/etc/ppp</filename></entry>
<entry>Configuration pour les programmes PPP utilisateur
et intégré au noyau.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename>/etc/namedb</filename></entry>
<entry><filename class="directory">/etc/namedb</filename></entry>
<entry>Emplacement par défaut pour les données de
&man.named.8;. Normalement
<filename>named.conf</filename> et les fichiers de zone
sont stockés dans ce répertoire.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename>/usr/local/etc</filename></entry>
<entry><filename class="directory">/usr/local/etc</filename></entry>
<entry>Fichiers de configuration pour les applications
installées. Peut contenir des sous-répertoires
pour chaque application.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename>/usr/local/etc/rc.d</filename></entry>
<entry><filename class="directory">/usr/local/etc/rc.d</filename></entry>
<entry>Procédures de lancement/d'arrêt pour les
applications installées.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename>/var/db</filename></entry>
<entry><filename class="directory">/var/db</filename></entry>
<entry>Fichiers de bases de données automatiquement
générés, spécifiques
au système, comme la base de données
@ -1766,33 +1715,35 @@ nameserver 147.11.100.30</programlisting>
<programlisting># &dollar;FreeBSD&dollar;
#
#
# Host Database
# This file should contain the addresses and aliases
# for local hosts that share this file.
#
# This file should contain the addresses and aliases for local hosts that
# share this file. Replace 'my.domain' below with the domainname of your
# machine.
#
# In the presence of the domain name service or NIS, this file may
# not be consulted at all; see /etc/nsswitch.conf for the resolution order.
#
#
::1 localhost localhost.my.domain myname.my.domain
127.0.0.1 localhost localhost.my.domain myname.my.domain
::1 localhost localhost.my.domain
127.0.0.1 localhost localhost.my.domain
#
# Imaginary network.
#10.0.0.2 myname.my.domain myname
#10.0.0.3 myfriend.my.domain myfriend
#10.0.0.2 myname.my.domain myname
#10.0.0.3 myfriend.my.domain myfriend
#
# According to RFC 1918, you can use the following IP networks for
# private nets which will never be connected to the Internet:
#
# 10.0.0.0 - 10.255.255.255
# 172.16.0.0 - 172.31.255.255
# 192.168.0.0 - 192.168.255.255
# 10.0.0.0 - 10.255.255.255
# 172.16.0.0 - 172.31.255.255
# 192.168.0.0 - 192.168.255.255
#
# In case you want to be able to connect to the Internet, you need
# real official assigned numbers. PLEASE PLEASE PLEASE do not try
# to invent your own network numbers but instead get one from your
# network provider (if any) or from the Internet Registry (ftp to
# rs.internic.net, directory `/templates').
# real official assigned numbers. Do not try to invent your own network
# numbers but instead get one from your network provider (if any) or
# from your regional registry (ARIN, APNIC, LACNIC, RIPE NCC, or AfriNIC.)
#</programlisting>
<para><filename>/etc/hosts</filename> suit le format simple
@ -1932,7 +1883,7 @@ cron.* /var/log/cron
suivantes peuvent être paramétrées dans
<filename>sysctl.conf</filename>:</para>
<programlisting># Do not log fatal signal exits (e.g. sig 11)
<programlisting># Do not log fatal signal exits (e.g., sig 11)
kern.logsigexit=0
# Prevent users from seeing information about processes that
@ -2226,10 +2177,9 @@ device_probe_and_attach: cbb0 attach returned 12</screen>
secondes d'attente lors du processus de démarrage.
Réduire ce délai &agrave; <literal>5</literal>
secondes est généralement suffisant (tout
particulièrement avec les disques modernes). Les
versions de &os; récentes (5.0 et suivantes) devraient
utiliser l'option de démarrage
<varname>kern.cam.scsi_delay</varname>. Cette option de
particulièrement avec les disques modernes).
L'option de démarrage
<varname>kern.cam.scsi_delay</varname> devrait être utilisée. Cette option de
démarrage et celle de configuration du noyau acceptent
des valeurs en <emphasis>millisecondes</emphasis> et <emphasis>non pas</emphasis> en
<emphasis>secondes</emphasis>.</para>
@ -2540,7 +2490,7 @@ device_probe_and_attach: cbb0 attach returned 12</screen>
simultanément, les ressources requises pourront être
semblables pour un serveur web important.</para>
<para>Depuis &os; 4.5, <varname>kern.maxusers</varname> est
<para>La variable <varname>kern.maxusers</varname> est
automatiquement ajustée au démarrage en
fonction de la quantité de mémoire disponible
dans le système, sa valeur peut être connue
@ -2562,10 +2512,7 @@ device_probe_and_attach: cbb0 attach returned 12</screen>
manuel &man.loader.conf.5; ou le fichier
<filename>/boot/defaults/loader.conf</filename> pour des
exemples) ou comme décrit en d'autres endroits dans
ce document. Les systèmes antérieurs &agrave;
&os;&nbsp;4.4 doivent passer par l'option
<option>maxusers</option> du fichier de configuration du
noyau pour fixer cette valeur.</para>
ce document.</para>
<para>Sous les anciennes versions, le système auto-ajuste
ce paramètre pour vous si vous le fixez explicitement
@ -2609,14 +2556,7 @@ device_probe_and_attach: cbb0 attach returned 12</screen>
&agrave; des valeurs raisonnables en fonction du nombre
maximal d'utilisateur que vous aurez vraisemblablement sur
votre système et combien de processus chacun
d'entre eux pourra utiliser. Un mot-clé qui
<emphasis>limite</emphasis> le nombre d'utilisateurs
distants et de terminaux X en simultané est <link linkend="kernelconfig-ptys"><literal>pseudo-device pty
16</literal></link>. Avec &os;&nbsp;5.X, vous n'avez pas
&agrave; vous soucier de ce nombre puisque le pilote
&man.pty.4; est capable d'<quote>auto-clonage</quote>,
vous devez donc utiliser la ligne <literal>device
pty</literal> dans votre fichier de configuration.</para>
d'entre eux pourra utiliser.</para>
</note>
</sect3>
@ -2928,12 +2868,17 @@ kern.maxvnodes: 100000</screen>
<orderedlist>
<listitem>
<para>Assurez-vous que votre configuration de noyau inclut
le pilote de disque mémoire (&man.md.4;). Il se
trouve par défaut dans le noyau
<filename>GENERIC</filename>.</para>
<para>Le noyau <filename>GENERIC</filename> inclut déjà
le pilote de disque mémoire (&man.md.4;) nécessaire à
cette opération. Lors de la compilation d'un noyau sur
mesures, assurez-vous d'inclure la ligne suivante dans le
fichier de configuration:</para>
<programlisting>device md # Memory "disks"</programlisting>
<programlisting>device md</programlisting>
<para>Pour plus d'information sur la compilation du noyau,
veuillez vous réferer à la <xref
linkend="kernelconfig"/>.</para>
</listitem>
<listitem>
@ -3316,7 +3261,7 @@ kern.maxvnodes: 100000</screen>
<filename>src/sys/contrib/dev/acpica</filename>. Le code
<quote>glu</quote> permettant &agrave;
<acronym>ACPI-CA</acronym> de fonctionner sous &os; se trouve
dans <filename>src/sys/dev/acpica/Osd</filename>. Et enfin, les
dans <filename class="directory">src/sys/dev/acpica/Osd</filename>. Et enfin, les
pilotes qui gèrent les différents
périphériques <acronym>ACPI</acronym> se trouvent
dans <filename>src/sys/dev/acpica</filename>.</para>
@ -3406,6 +3351,36 @@ hw.acpi.s4bios: 0</screen>
pilotes/matériels qui nécessitent plus de tests
et de développement.</para>
<para>Un problème courant avec la mise en veille/le réveil est
que de nombreux pilotes de périphériques ne sauvegardent
pas, ne restaurent pas, ou ne réinitialisent pas leurs logiciel,
registres ou mémoire proprement. En premier lieu pour
débogguer le problème, essayez:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>sysctl debug.bootverbose=1</userinput>
&prompt.root; <userinput>sysctl debug.acpi.suspend_bounce=1</userinput>
&prompt.root; <userinput>acpiconf -s 3</userinput></screen>
<para>Ce test émule le cycle de mise en veille/réveil de tous
les pilotes de périphériques sans réellement passer dans
l'état <literal>S3</literal>. Dans certains cas, les
problèmes comme la perte de l'état du périphérique, le
dépassement du délai du chien de garde du périphérique, les
tentatives répétées, peuvent être capturés avec cette
méthode. Notez que le système n'entrera pas vraiment dans
l'état <literal>S3</literal>, ce qui signifie que les
périphériques peuvent ne pas perdre leur alimentation, et
nombreux fonctionneront correctement même si les méthodes de
mise en veille/réveil sont totalement absentes,
contrairement au cas d'un véritable état
<literal>S3</literal>.</para>
<para>Les cas plus difficiles nécessitent un matériel
supplémentaire, tel qu'un port série et un câble pour
débogguer à l'aide d'une console série, un port firewire et
un câble pour l'utilisation de &man.dcons.4;, et des
compétences en debogguage du noyau.</para>
<para>Pour isoler le problème, retirez du noyau tous les
pilotes de périphériques possibles. Si cela
fonctionne, vous pouvez alors identifier le pilote fautif en