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<!--
     The FreeBSD Documentation Project
     The FreeBSD French Documentation Project

     $FreeBSD$
     Original revision: 1.392
-->

<chapter id="install">
  <chapterinfo>
    <authorgroup>
      <author>
        <firstname>Jim</firstname>
	<surname>Mock</surname>
	<contrib>Restructuré, réorganisé, et en partie
	  réécrit par </contrib>
      </author>
    </authorgroup>

    <authorgroup>
      <author>
	<firstname>Randy</firstname>
	<surname>Pratt</surname>
	<contrib>Le guide de sysinstall, les copies d'écrans, et la
	  plupart du texte sont de </contrib>
      </author>
    </authorgroup>
    <!-- January 2000 -->
  </chapterinfo>

  <title>Installer FreeBSD</title>
  &trans.a.fonvieille;

  <sect1 id="install-synopsis">
    <title>Synopsis</title>

    <indexterm><primary>installation</primary></indexterm>

    <para>FreeBSD est fourni avec un programme d'installation en mode texte,
      facile d'emploi, appelé <application>sysinstall</application>.
      C'est le programme d'installation par défaut de FreeBSD, bien que
      les vendeurs soient libres de fournir leur propre suite
      d'installation s'ils le désirent.  Ce chapitre décrit
      comment
      utiliser <application>sysinstall</application> pour installer
      FreeBSD.</para>

    <para>Après la lecture de ce chapitre, vous saurez:</para>

    <itemizedlist>
      <listitem>
	<para>Comment créer les disquettes d'installation de
	  FreeBSD.</para>
      </listitem>

      <listitem>
	<para>Comment FreeBSD attribue, et subdivise votre disque
	  dur.</para>
      </listitem>

      <listitem>
	<para>Comment lancer <application>sysinstall</application>.</para>
      </listitem>

      <listitem>
	<para>Les questions que <application>sysinstall</application>
	  vous posera, ce qu'elles signifient, et comment y
	  répondre.</para>
      </listitem>
    </itemizedlist>

    <para>Avant de lire ce chapitre, vous devrez:</para>

    <itemizedlist>
      <listitem>
	<para>Lire la liste du matériel supporté fournie avec la
	  version de FreeBSD que vous allez installer, et vérifier que
	  votre matériel est supporté.</para>
      </listitem>
    </itemizedlist>

    <note>
      <para>En général, ces instructions d'installation sont
	écrites pour l'architecture &i386; (&ldquo;compatible PC&rdquo;).
	Où elles seront applicables, les instructions spécifiques
	&agrave; d'autres plateformes (par exemple Alpha) seront
	indiquées.  Bien que ce guide soit maintenu &agrave; jour
	autant que possible, vous pourrez constater des
	différences mineures entre le programme d'installation
	et ce qui est montré ici.  Il est aussi
	suggéré d'utiliser ce chapitre comme un guide
	général plutôt comme un manuel
	d'installation &agrave; suivre &agrave; la ligne
	près.</para>
    </note>

  </sect1>

  <sect1 id="install-hardware">
    <title>Matériel nécessaire</title>

    <sect2 id="install-hardware-minimal">
      <title>Configuration minimale</title>

      <para>La configuration minimale pour installer &os; varie avec
	la version de &os; et l'architecture matérielle
	concernée.</para>

      <para>Des informations au sujet de la configuration minimale
	sont disponibles dans les notes d'installation
	présentes sur la page d'<ulink
	url="http://www.FreeBSD.org/releases/index.html">Information
	des versions</ulink> du site de &os;.  Un résumé
	de ces informations est présenté dans les
	sections suivantes.  En fonction de la méthode
	d'installation de &os; que vous avez choisie, vous pourrez
	avoir besoin d'un lecteur de disquette, d'un lecteur de CDROM
	supporté, et dans certains cas d'une carte
	réseau.  Cela sera abordé dans la <xref
	linkend="install-floppies"/>.</para>

      <sect3>
	<title>Architectures &os;/&arch.i386; et &os;/&arch.pc98;</title>

	<para>&os;/&arch.i386; et &os;/&arch.pc98; nécessitent un processeur
	  486 ou plus performant et au moins 24&nbsp;Mo de RAM.  Vous
	  aurez également besoin d'au moins 150&nbsp;Mo
	  d'espace libre sur un disque dur pour l'installation la plus
	  réduite.</para>

	<note>
	  <para>Dans le cas d'anciennes configurations, la plupart du
	    temps, il sera plus important d'avoir plus de RAM et plus
	    d'espace disque que d'avoir un processeur plus
	    rapide.</para>
	</note>
      </sect3>

      <sect3>
	<title>Architecture &os;/&arch.alpha;</title>

	<indexterm><primary>Alpha</primary></indexterm>

	<para>Pour installer &os;/&arch.alpha;, une plate-forme
	  supportée sera nécessaire (voir <xref
	  linkend="install-hardware-supported"/>) ainsi qu'un disque
	  dédié &agrave; &os;.  Il n'est pas, pour le
	  moment, possible de partager un disque avec un autre
	  système d'exploitation.  Ce disque devra être
	  raccordé &agrave; un contrôleur SCSI
	  supporté par le firmware SRM ou devra être un
	  disque IDE en supposant que votre machine permet le
	  démarrage &agrave; partir de disques IDE.</para>

	<indexterm><primary>ARC</primary></indexterm>
	<indexterm><primary>Alpha BIOS</primary></indexterm>
	<indexterm><primary>SRM</primary></indexterm>

	<para>Vous aurez besoin du firmware SRM pour votre
	  plate-forme.  Dans certains cas, il est possible de basculer
	  entre AlphaBIOS (ou ARC) et SRM.  Dans d'autres cas, il sera
	  nécessaire de récupérer un nouveau
	  firmware sur le site du constructeur.</para>

	<note>
	  <para>Le support pour l'architecture Alpha cesse avec
	    &os;&nbsp;7.0.  Les versions
	    &os;&nbsp;6.<replaceable>X</replaceable> sont les
	    dernières proposant le support de cette
	    architecture.</para>
	</note>
      </sect3>

      <sect3>
	<title>&os;/&arch.amd64;</title>

	<para>Il existe deux classes de processeurs en mesure
	  d'utiliser &os;/&arch.amd64;.  La première est
	  composée des processeurs AMD64, dont les processeurs
	  &amd.athlon;64, &amd.athlon;64-FX, &amd.opteron; et
	  suivants.</para>

	<para>La seconde classe de processeurs pouvant utiliser
	  &os;/&arch.amd64; comprend les processeurs basés sur
	  l'architecture &intel; EM64T.  Comme par exemple, les
	  familles de processeur &intel;&nbsp;&core;&nbsp;2 Duo, Quad,
	  et Extreme et la série des processeurs
	  &intel;&nbsp;&xeon; 3000, 5000, et 7000.</para>

	<para>Si vous avez une machine basée sur le circuit
	  nVidia nForce3 Pro-150, vous <emphasis>devez</emphasis>
	  désactiver l'option IO APIC dans le BIOS de votre
	  machine.  Si vous n'avez pas la possibilité de le
	  faire, vous devrez désactiver &agrave; la place
	  l'ACPI.  Il existe un certain nombre de bogues dans le
	  circuit Pro-150 pour lesquels nous n'avons toujours pas
	  trouvé de solution.</para>
      </sect3>

      <sect3>
	<title>Architecture &os;/&arch.sparc64;</title>

	<para>Pour installer &os;/&arch.sparc64;, une plate-forme
	  supportée sera nécessaire (voir <xref
	  linkend="install-hardware-supported"/>).</para>

	<para>Vous aurez besoin d'un disque dédié pour
	  &os;/&arch.sparc64;.  Il n'est pas, pour le moment, possible de
	  partager un disque avec un autre système
	  d'exploitation.</para>
      </sect3>
    </sect2>

    <sect2 id="install-hardware-supported">
      <title>Matériel supporté</title>

      <para>Une liste du matériel supporté est
	disponible avec chaque version de FreeBSD dans la liste de
	compatibilité matérielle.  Ce document peut
	être généralement trouvé sous la
	forme d'un fichier nommé
	<filename>HARDWARE.TXT</filename>, sur la racine d'un CDROM ou
	le répertoire d'un FTP de distribution ou dans le menu
	de documentation de <application>sysinstall</application>.  Ce
	fichier énumère, pour une architecture
	donnée, quels sont les périphériques
	supportés par chaque version de FreeBSD.  La liste du
	matériel supporté par chaque version et
	architecture peut également être trouvée
	sur la page d'<ulink
	url="http://www.FreeBSD.org/releases/index.html">Information
	sur les versions</ulink> du site Web de FreeBSD.</para>
    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="install-pre">
    <title>Tâches de pré-installation</title>

    <sect2 id="install-inventory">
      <title>Inventoriez votre ordinateur</title>

      <para>Avant d'installer FreeBSD vous devriez faire l'inventaire des
        composants de votre ordinateur.  Les routines d'installation de
	FreeBSD afficheront ces composants (disques durs, cartes
	réseaux, lecteurs de CDROM et ainsi de suite) avec leur type et
	leur constructeur.  FreeBSD essaiera également de
	déterminer la configuration correcte pour ces
	périphériques, ce qui inclut les
	informations sur les IRQs et l'utilisation des ports d'E/S.  En
	raison des caprices du matériel PC ce processus n'est pas
	toujours complètement réussi, et vous pourrez avoir
	besoin de corriger
	FreeBSD dans sa détection de votre configuration.</para>

      <para>Si vous avez déj&agrave; un autre système
	d'exploitation installé,
        tel que &windows; ou Linux, c'est une bonne idée d'utiliser les
	moyens que proposent ces systèmes d'exploitation pour voir
	comment votre matériel est actuellement configuré.
	Si vous n'êtes pas sûr des réglages
	utilisés par une carte
	d'extension, vous pouvez les trouver imprimés sur la carte
	elle-même.  Des valeurs d'IRQ courantes sont 3, 5 et 7, et les
	ports d'E/S sont normalement inscrits en hexadécimal, comme par
	exemple 0x330.</para>

      <para>Nous vous recommandons de prendre note de ces informations
        avant d'installer FreeBSD.  Il pourra être utile d'utiliser une
	table comme celle-ci:</para>

      <table pgwide="1" frame="none">
	<title>Exemple d'inventaire de périphériques</title>

	<tgroup cols="4">
	  <colspec colwidth="2*"/>
	  <colspec colwidth="1*"/>
	  <colspec colwidth="1*"/>
	  <colspec colwidth="4*"/>
	  <thead>
	    <row>
	      <entry>Nom du Périphérique</entry>

	      <entry>IRQ</entry>

	      <entry>Port(s) d'E/S</entry>

	      <entry>Notes</entry>
	    </row>
	  </thead>

	  <tbody>
	    <row>
	      <entry>Premier disque dur</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>40&nbsp;Go, fabriqué par Seagate, premier disque IDE
		maître</entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry>CDROM</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>Premier disque IDE esclave</entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry>Second disque dur</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>20&nbsp;Go, fabriqué par IBM, second disque IDE
		maître</entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry>Premier contrôleur IDE</entry>

	      <entry>14</entry>

	      <entry>0x1f0</entry>

	      <entry></entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry>Carte réseau</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>&intel; 10/100</entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry>Modem</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>&tm.3com; 56K faxmodem, sur COM1</entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry>&hellip;</entry>
	    </row>
	  </tbody>
	</tgroup>
      </table>

      <para>Une fois l'inventaire des composants présents dans
	votre ordinateur effectué, vous devez vérifier
	s'ils correspondent au matériel nécessaire
	&agrave; l'installation de la version de &os; que vous voulez
	utiliser.</para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Sauvegardez vos données</title>

      <para>Si l'ordinateur sur lequel vous allez installer FreeBSD
	contient des données importantes alors assurez vous que vous les
	avez sauvegardées, et que vous avez testé ces sauvegardes
	avant d'installer FreeBSD.  Le programme d'installation de FreeBSD
	vous sollicitera avant d'écrire sur votre disque,
	mais une fois que ce processus aura été lancé,
	il ne pourra être annulé.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="install-where">
      <title>Où installer FreeBSD?</title>

      <para>Si vous voulez que FreeBSD utilise tout votre disque, alors
	il n'y rien de particulier &agrave; ajouter &agrave; ce niveau
	l&agrave; &mdash; vous pouvez passer cette section.</para>

      <para>Cependant, si FreeBSD doit coexister avec d'autres systèmes
	d'exploitation alors vous avez besoin de comprendre
	approximativement comment les données sont disposées
	sur le disque, et comment cela vous affecte.</para>

      <sect3 id="install-where-i386">
	<title>Organisation des disques pour l'architecture &os;/&arch.i386;</title>

      <para>Le disque d'un PC peut être divisé en portions
	indépendantes.
	Ces portions sont appelées <firstterm>partitions</firstterm>.
	Comme &os; possède en interne également des partitions, cette
	appellation peut rapidement être une source de confusion,
	aussi ces portions de disque sont appelées
	<quote>tranches de disque</quote> (disk slices) ou tout
	simplement tranche (slice) sous &os;.  Par exemple,
	l'utilitaire &os; <command>fdisk</command> qui agit sur les
	partitions PC, fait référence aux slices
	plutôt qu'aux partitions.
	De par sa conception le PC ne supporte que quatre partitions par
	disque.  Ces partitions sont appelées
	<firstterm>partitions primaires</firstterm>.  Pour contourner cette
	limitation et autoriser plus de quatre partitions, un nouveau type de
	partition a été créé, la
	<firstterm>partition étendue</firstterm>.
	Un disque ne pourra contenir qu'une seule partition étendue.
	Des partitions spéciales, appelées
	<firstterm>partitions logiques</firstterm>, peuvent être
	créées
	&agrave; l'intérieur de la partition étendue.</para>

      <para>Chaque partition a un <firstterm>identifiant de
	partition</firstterm>, qui est un nombre utilisé pour identifier
	le type de donnée présent sur la partition.
	Les partitions de
	FreeBSD ont l'identifiant <literal>165</literal>.</para>

      <para>En général, chaque système d'exploitation
	que vous utilisez identifiera les partitions d'une manière
	particulière.  Par
	exemple, DOS, et ses descendants, comme &windows;, associe &agrave;
	chaque partition primaire et logique <firstterm>une lettre
	appelée lecteur</firstterm>, en commençant avec
	<devicename>C:</devicename>.</para>

      <para>FreeBSD doit être installé sur une partition primaire.
	FreeBSD peut conserver toutes ses données, y compris tous les
	fichiers que vous créez, sur cette partition.  Cependant, si
	vous avez de multiples disques, alors vous pouvez créer une
	partition FreeBSD sur tous ou certains d'entre eux.  Quand vous
	installez FreeBSD, vous devez avoir une partition disponible.
	Cela pourrait être une partition vierge que vous avez
	préparé, ou une partition existante qui contient
	des données dont vous n'avez plus besoin.</para>

      <para>Si vous utilisez déj&agrave; toutes les partitions sur
	tous vos disques, alors vous devrez libérer l'une d'elle pour
	FreeBSD &agrave;
	l'aide des outils fournis par les autre systèmes d'exploitation
	(e.g. <command>fdisk</command> sous DOS ou &windows;).</para>

      <para>Si vous avez une partition disponible alors vous pouvez
	l'utiliser.  Cependant, vous aurez peut être besoin de diminuer
	une ou plusieurs de vos partitions existantes en premier
	lieu.</para>

      <para>Une installation minimale de FreeBSD prend aussi peu que
	100&nbsp;Mo d'espace disque.  Cependant c'est vraiment une installation
	<emphasis>minimale</emphasis>, ne laissant presque aucun espace
	pour vos propres fichiers.  Un minimum plus réaliste est 250&nbsp;Mo
	sans environnement graphique, et 350&nbsp;Mo ou plus si vous désirez
	une interface graphique.  Si vous avez l'intention d'installer
	beaucoup d'applications alors vous aurez besoin de plus
	d'espace.</para>

      <para>Vous pouvez utiliser un outil commercial comme
	<application>&partitionmagic;</application> ou un outil libre comme <application>GParted</application> pour redimensionner
	vos partitions et faire de la place &agrave; FreeBSD.
	Le répertoire
	<filename>tools</filename> sur le CDROM contient deux logiciels
	libres qui peuvent se charger de cette tâche,
	<application>FIPS</application> et <application>PResizer</application>.
	La documentation pour deux de ces programmes se trouve dans le
	même répertoire.
	<application>FIPS</application>, <application>PResizer</application>,
	et <application>&partitionmagic;</application> peuvent
	redimensionner les partitions <acronym>FAT16</acronym> et
	<acronym>FAT32</acronym>&mdash; utilisées sous &ms-dos;
	jusqu'&agrave; &windows; ME.
	Les logiciels <application>&partitionmagic;</application> et
	<application>GParted</application> fonctionne également avec
	les partitions <acronym>NTFS</acronym>.
	<application>GParted</application> est disponible sur
	plusieurs CD Live Linux, comme <ulink
	url="http://www.sysresccd.org/">SystemRescueCD</ulink>.</para>

      <para>Des problèmes ont été
	rapportés concernant le redimensionnement des
	partitions &microsoft; Vista.  Il est recommandé
	d'avoir un CDROM de Vista sous la main quand l'on tente une
	telle opération.  Comme pour toute tâche de
	maintenance des disques, il est fortement conseillé de
	disposer d'un ensemble de sauvegardes &agrave; jour.</para>

      <warning>
	<para>Une utilisation incorrecte de ces outils peut détruire les
	  données sur votre disque.  Soyez sûr d'avoir des
	  sauvegardes récentes et qui fonctionnent avant d'utiliser ces
	  outils.</para>
      </warning>

      <example>
	<title>Utilisation d'une partition existante</title>

	<para>Supposez que vous avez un ordinateur avec un seul disque
	  de 4&nbsp;Go qui a déj&agrave; une version de &windows;
	  installée, et que
	  vous avez divisé ce disque en deux lecteurs
	  <devicename>C:</devicename> et <devicename>D:</devicename>,
	  chacun de 2&nbsp;Go.  Vous avez 1Go de donnée sur
	  <devicename>C:</devicename> et 0.5&nbsp;Go sur
	  <devicename>D:</devicename>.</para>

	<para>Cela signifie que vous avez deux partitions sur ce disque,
	  une par lecteur.  Vous pouvez transférer toutes les
	  données de
	  <devicename>D:</devicename> vers <devicename>C:</devicename>,
	  ce qui libérera la partition pour FreeBSD.</para>
      </example>

      <example>
	<title>Redimensionner une partition existante</title>

	<para>Supposez que vous avez un ordinateur avec un seul disque
	  de 4&nbsp;Go qui a déj&agrave; une version de &windows;
	  installée.  Quand vous avez installé &windows; vous
	  avez créé une seule grande
	  partition, vous donnant un lecteur <devicename>C:</devicename>
	  de 4&nbsp;Go.  Vous utilisez actuellement un espace de 1.5&nbsp;GB, et
	  vous désirez 2&nbsp;Go pour FreeBSD.</para>

	<para>Afin d'installer FreeBSD vous devrez soit:</para>

	<orderedlist>
	  <listitem>
	    <para>Sauvegarder vos données &windows;, et ensuite
	      réinstaller &windows;, en utilisant qu'une partition de 2&nbsp;Go
	      &agrave; l'installation.</para>
	  </listitem>

	  <listitem>
	    <para>Soit utiliser un des outils comme
	      <application>&partitionmagic;</application>, décrits plus
	      haut, pour redimensionner votre partition &windows;</para>
	  </listitem>
	</orderedlist>
      </example>

      </sect3>

      <sect3>
	<title>Organisation des disques pour l'architecture Alpha</title>

	<indexterm><primary>Alpha</primary></indexterm>

	<para>Vous aurez besoin d'un disque dédié pour FreeBSD
	  sur un Alpha.  Il n'est pas possible de partager un disque avec un
	  autre système d'exploitation pour le moment.  Selon le type de
	  machine Alpha dont vous disposez, ce disque peut soit être un
	  disque SCSI ou un disque IDE, dès l'instant que votre machine
	  est capable de démarrer depuis ce disque.</para>

	<para>Suivant les conventions des manuels de Digital / Compaq,
	  toute entrée SRM sera donnée en majuscule.  SRM n'est
	  pas sensible &agrave; la casse des caractères.</para>

	<para>Pour déterminer les noms et les types de disques
	  présent dans votre machine, utilisez la commande <literal>SHOW
	  DEVICE</literal> &agrave; l'invite de la console SRM:</para>

	<screen>&gt;&gt;&gt;<userinput>SHOW DEVICE</userinput>
dka0.0.0.4.0               DKA0           TOSHIBA CD-ROM XM-57  3476
dkc0.0.0.1009.0            DKC0                       RZ1BB-BS  0658
dkc100.1.0.1009.0          DKC100             SEAGATE ST34501W  0015
dva0.0.0.0.1               DVA0
ewa0.0.0.3.0               EWA0              00-00-F8-75-6D-01
pkc0.7.0.1009.0            PKC0                  SCSI Bus ID 7  5.27
pqa0.0.0.4.0               PQA0                       PCI EIDE
pqb0.0.1.4.0               PQB0                       PCI EIDE</screen>

	<para>Cet exemple provient d'une machine &ldquo;Digital Personal
	  Workstation 433au&rdquo; et fait apparaître trois disques
	  attachés &agrave; la machine.  Le premier est un lecteur de
	  CDROM appelé <devicename>DKA0</devicename> et les deux
	  autres sont des disques dur nommés respectivement
	  <devicename>DKC0</devicename> et
	  <devicename>DKC100</devicename>.</para>

	<para>Les disques avec des noms de la forme
	  <devicename>DKx</devicename> sont des disques SCSI.  Par
	  exemple <devicename>DKA100</devicename> correspond &agrave; un
	  disque SCSI situé sur le premier bus SCSI (A) et avec pour
	  identifiant 1, tandis que <devicename>DKC300</devicename>
	  correspond &agrave; un disque SCSI situé sur le
	  troisième bus (C) et
	  ayant l'identifiant 3.  Le nom de périphérique
	  <devicename>PKx</devicename> correspond au contrôleur SCSI.
	  Comme le montre le résultat de la commande <literal>SHOW
	  DEVICE</literal>, les lecteurs de CDROM SCSI sont traités
	  comme n'importe quel disque dur SCSI.</para>

	<para>Les disque IDE ont des noms du type
	  <devicename>DQx</devicename> et
	  <devicename>PQx</devicename> correspond au contrôleur IDE
	  associé.</para>

      </sect3>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Connaître la configuration de votre réseau</title>

      <para>Si vous avez l'intention d'utiliser un réseau pour
	votre installation de FreeBSD (par exemple, si vous allez
	installer &agrave; partir d'un site FTP, ou d'un serveur NFS), alors
	vous devez connaître votre configuration réseau.  On vous
	demandera ces informations durant l'installation afin que
	FreeBSD puisse se connecter au réseau pour terminer
	l'installation.</para>

      <sect3>
	<title>Connexion par réseau Ethernet, ou modem Cable/DSL</title>

	<para>Si vous vous connectez &agrave; un réseau Ethernet, ou que
	  vous avez une connexion Internet par câble ou DSL utilisant une carte Ethernet, alors vous
	  aurez besoin des informations suivantes:</para>

	<orderedlist>
	  <listitem>
	    <para>Adresse IP</para>
	  </listitem>

	  <listitem>
	    <para>Adresse IP de la passerelle par défaut</para>
	  </listitem>

	  <listitem>
	    <para>Nom de l'hôte</para>
	  </listitem>

	  <listitem>
	    <para>Adresses IP du serveur DNS</para>
	  </listitem>

	  <listitem>
	    <para>Masque de sous-réseau</para>
	  </listitem>
	</orderedlist>

	<para>Si vous ne connaissez pas ces informations, alors
	  adressez-vous &agrave; votre administrateur système ou votre
	  fournisseur d'accès.  Ils peuvent vous dire que ces
	  informations sont assignées automatiquement par
	  l'intermédiaire
	  de <firstterm>DHCP</firstterm>.  Si c'est le cas prenez en
	  note.</para>
      </sect3>

      <sect3>
	<title>Connexion par modem</title>

	<para>Si vous vous connectez &agrave; un fournisseur d'accès
	  en utilisant un
	  modem classique alors vous pouvez toujours installer FreeBSD en
	  utilisant Internet, cela prendra juste beaucoup de temps.</para>

	<para>Vous devrez connaître:</para>

	<orderedlist>
	  <listitem>
	    <para>Le numéro de téléphone de connexion
	      &agrave; votre fournisseur d'accès</para>
	  </listitem>

	  <listitem>
	    <para>Le port COM: le port auquel votre modem est connecté</para>
	  </listitem>

	  <listitem>
	    <para>Le nom d'utilisateur et le mot de passe de votre
	      compte Internet</para>
	  </listitem>
	</orderedlist>
      </sect3>
    </sect2>
    <sect2>
      <title>Vérifier l'Errata</title>

      <para>Bien que le projet FreeBSD s'efforce de s'assurer que chaque
	version de FreeBSD soit aussi stable que possible, des bogues
	peuvent parfois exister.  Il est très rare que ces bogues
	affectent le processus d'installation.  Dès que ces
	problèmes sont découverts et corrigés, ils
	sont notés dans l'<ulink url="http://www.FreeBSD.org/releases/&rel.current;R/errata.html">Errata de FreeBSD</ulink>, présent sur le
	site web de FreeBSD.  Vous devriez vérifier l'errata avant
	l'installation afin d'être sûr qu'il n'y a pas de
	problème de dernière minute &agrave; prendre
	en compte.</para>

      <para>Les informations sur chaque version, y compris les errata,
	peuvent être trouvé dans la section <ulink
	url="&url.base;/releases/index.html">d'information sur les
	différentes
	versions</ulink> située sur le <ulink
	url="&url.base;/index.html">site web de FreeBSD</ulink>.</para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Obtenir les fichiers d'installation de FreeBSD</title>

      <para>Le processus d'installation de FreeBSD peut installer
	FreeBSD &agrave; partir de fichiers placés dans
	les endroits suivants:</para>

      <itemizedlist>
	<title>Un média local</title>

	<listitem>
	  <para>Un CDROM ou un DVD</para>
	</listitem>

	<listitem>
	  <para>Une partition DOS sur le même ordinateur</para>
	</listitem>

	<listitem>
	  <para>Une bande SCSI ou QIC</para>
	</listitem>

	<listitem>
	  <para>Des disquettes</para>
	</listitem>
      </itemizedlist>

      <itemizedlist>
	<title>Le réseau</title>

	<listitem>
	  <para>Un site FTP, en passant par un coupe-feu, ou en
	    utilisant un proxy HTTP si nécessaire</para>
	</listitem>

	<listitem>
	  <para>Un serveur NFS</para>
	</listitem>

	<listitem>
	  <para>Une connexion dédiée parallèle
	    ou série</para>
	</listitem>
      </itemizedlist>

      <para>Si vous avez acheté FreeBSD sur CD ou DVD alors vous
	disposez déj&agrave; de ce que vous avez besoin,
	et vous devriez passer &agrave; la section suivante
	(<xref linkend="install-floppies"/>).</para>

      <para>Si vous n'avez pas récupéré les fichiers
	d'installation de FreeBSD vous devriez aller directement &agrave; la
	<xref linkend="install-diff-media"/> qui explique comment se
	préparer &agrave; installer FreeBSD &agrave; partir d'une des
	solutions données ci-dessus.  Après avoir lu cette
	section, vous devrez revenir ici, et continuer la lecture avec la
	<xref linkend="install-floppies"/>.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="install-floppies">
      <title>Préparer les supports de démarrage</title>

      <para>Le processus d'installation de FreeBSD est lancé en
	démarrant votre ordinateur dans l'installateur de
	FreeBSD&mdash;ce n'est pas un programme que vous exécutez
	&agrave; partir d'un autre système d'exploitation.  Votre
	ordinateur démarre normalement en utilisant le système
	d'exploitation installé sur votre disque dur, mais il peut
	également être configuré pour
	utiliser une disquette &ldquo;bootable&rdquo;.
	La plupart des ordinateurs modernes peuvent
	également démarrer &agrave; partir d'un CDROM
	présent dans le lecteur de CDROM.</para>

      <tip>
	<para>Si vous avez FreeBSD sur CDROM ou DVD (soit un que vous
	  avez acheté, soit préparez vous-même),
	  et que votre ordinateur vous permet de démarrer sur le lecteur
	  de CDROM ou DVD (typiquement une option du BIOS appelée
	  &ldquo;Boot Order&rdquo; ou équivalent) alors vous pouvez
	  passer cette section.
	  Les CDROMs ou DVDs de FreeBSD sont bootable et peuvent
	  être utilisés pour installer FreeBSD sans autre
	  préparation.</para>
      </tip>

      <para>Pour créer les images des disquettes de démarrage,
	suivez les étapes suivantes:</para>

      <procedure>
	<step>
	  <title>Obtenir les images des disquettes de démarrage</title>

	  <para>Les images des disquettes de démarrage sont disponibles
	    sur votre média d'installation dans le répertoire
	    <filename>floppies/</filename> et peuvent également être
	    téléchargées par FTP depuis le
	    répertoire <filename class="directory">floppies</filename>,
	    <literal>ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/<replaceable>&lt;arch&gt;</replaceable>/<replaceable>&lt;version&gt;</replaceable>-RELEASE/floppies/</literal>.
	    Remplacez <replaceable>&lt;arch&gt;</replaceable> et
	    <replaceable>&lt;version&gt;</replaceable> avec
	    respectivement l'architecture et le numéro de
	    version que vous désirez installer.  Par exemple,
	    les images de disquettes de démarrage de
	    &os;/&arch.i386;&nbsp;&rel.current;-RELEASE sont
	    disponibles &agrave; partir de l'adresse
	    <ulink url="ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/i386/&rel.current;-RELEASE/floppies/"></ulink>.</para>

	  <para>Les images de disquettes ont l'extension
	    <filename>.flp</filename>.  Le répertoire
	    <filename>floppies/</filename> contient un certain nombre
	    d'images différentes, et celles que vous devrez utiliser
	    dépendent de la version de FreeBSD que vous allez
	    installer, et
	    dans certains cas, du matériel sur lequel vous effectuez
	    l'installation.
	    Dans la plupart des cas vous aurez besoin
	    de quatre disquettes: <filename>boot.flp</filename>,
	    <filename>kern1.flp</filename>,
	    <filename>kern2.flp</filename>, et
	    <filename>kern3.flp</filename>.  Consultez
	    <filename>README.TXT</filename> dans le même
	    répertoire pour une information actualisée
	    sur ces images de disquette.</para>

	  <important>
	    <para>Votre programme FTP doit utiliser le <emphasis>mode
	      binaire</emphasis> pour télécharger ces images.
	      Quelques navigateurs sont connus pour employer le mode
	      <emphasis>texte</emphasis> (ou
	      <emphasis>ASCII</emphasis>), ce qui sera manifeste si vous
	      ne pouvez démarrer depuis ces images.</para>
	  </important>
	</step>

	<step>
	  <title>Préparer les disquettes</title>

	  <para>Vous devez préparer une disquette par fichier que vous
	    avez dû télécharger.  Il est impératif
	    que ces disquettes soient exemptes de défauts.
	    La manière la plus simple de
	    tester cela est de les formater soi-même.  Ne faites pas
	    confiance aux disquettes préformatées.
	    L'utilitaire de formatage &windows; n'indiquera pas la
	    présence de blocs défectueux, il les
	    marquera simplement comme étant
	    &ldquo;défectueux&rdquo; et les ignorera.  Il est
	    recommandé d'utiliser des disquettes neuves si l'on
	    choisit cette méthode d'installation.</para>

	  <important>
	    <para>Si vous essayez d'installer FreeBSD et que le
	      programme d'installation &ldquo;plante&rdquo;, se bloque,
	      ou présente d'autres dysfonctionnements,
	      les premières choses
	      &agrave; suspecter sont les disquettes.  Essayez de copier les
	      images sur des disquettes neuves et essayez encore.</para>
	  </important>
	</step>

	<step>
	  <title>Ecrire les fichiers image sur les disquettes</title>

	  <para>Les fichiers <filename>.flp</filename> ne sont
	    <emphasis>pas</emphasis> des fichiers que vous pouvez copier
	    directement sur une disquette.  Ce sont des
	    images du contenu complet de disquettes.  Cela signifie que
	    vous <emphasis>ne pouvez pas</emphasis> simplement copier
	    les fichiers d'un disque vers un autre.
	    Vous devez utilisez des outils
	    spécifiques pour écrire directement les images sur
	    les disquettes.</para>

	  <indexterm><primary>DOS</primary></indexterm>
	  <para>Si vous créez ces disquettes depuis un ordinateur
	    fonctionnant sous &ms-dos;/&windows;, alors nous fournissons pour
	    faire cela un outil appelé <command>fdimage</command>.</para>

	  <para>Si vous utilisez les images présentes sur le CDROM, et
	    que votre lecteur CDROM est <devicename>E:</devicename>,
	    alors vous devez procéder comme suit:</para>

	  <screen><prompt>E:\&gt;</prompt> <userinput>tools\fdimage floppies\boot.flp A:</userinput></screen>

	  <para>Répétez cette commande pour chaque fichier
	    <filename>.flp</filename>, en remplaçant la disquette
	    &agrave; chaque fois, en étant sûr de noter sur
	    les disquettes le nom du fichier copié.
	    Ajuster la ligne de commande selon
	    l'endroit où vous avez placé les fichiers
	    <filename>.flp</filename>.  Si vous n'avez pas de CDROM,
	    alors <command>fdimage</command> peut être
	    téléchargé de
	    puis le <ulink
	    url="ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/tools/">répertoire
	    <filename class="directory">tools</filename></ulink> sur le site FTP de
	    FreeBSD.</para>

	  <para>Si vous créez les disquettes depuis un système
	    &unix; (comme par exemple un autre système FreeBSD) vous
	    pouvez
	    utiliser la commande &man.dd.1; pour écrire les fichiers
	    image directement sur les disquettes.  Sous FreeBSD, vous
	    lanceriez:</para>

	  <screen>&prompt.root; <userinput>dd if=boot.flp of=/dev/fd0</userinput></screen>

	  <para>Sous FreeBSD, <filename>/dev/fd0</filename> correspond au
	    premier lecteur de disquettes ( le lecteur
	    <devicename>A:</devicename>).  <filename>/dev/fd1</filename> serait
	    le lecteur <devicename>B:</devicename>, et ainsi de suite.
	    D'autres variantes d'&unix; peuvent avoir des noms différents
	    pour les lecteurs de disquettes, et vous devrez consulter la
	    documentation du système si besoin est.</para>
	</step>
      </procedure>

      <para>Vous êtes maintenant prêt &agrave; commencer
	l'installation de FreeBSD.</para>
    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="install-start">
    <title>Débuter l'installation</title>

    <important>
      <para>Par défaut, le processus d'installation ne modifiera rien
	sur le(s) disque(s) dur(s) jusqu'&agrave; ce que vous voyiez le message
	suivant.</para>

      <literallayout class="monospaced">Last Chance: Are you SURE you want continue the installation?

If you're running this on a disk with data you wish to save then WE
STRONGLY ENCOURAGE YOU TO MAKE PROPER BACKUPS before proceeding!

We can take no responsibility for lost disk contents!</literallayout>

      <para>L'installation peut être quittée &agrave; tout
	moment avant
	l'avertissement final sans changer le contenu du disque dur.  Si
	vous avez mal configuré quelque chose, vous pouvez
	juste éteindre
	l'ordinateur avant l'étape finale sans aucun risque.</para>
    </important>

    <sect2 id="install-starting">
      <title>Démarrage</title>

      <sect3 id="install-starting-i386">
        <title>Démarrage pour l'architecture &i386;</title>

      <procedure>
	<step>
	  <para>Commencez avec votre ordinateur éteint.</para>
	</step>

	<step>
	  <para>Allumez l'ordinateur.  En démarrant il devrait afficher
	    une option pour entrer dans le menu de configuration du
	    système, ou BIOS, généralement &agrave;
	    l'aide des touches
	    <keycap>F2</keycap>, <keycap>F10</keycap>, <keycap>Suppr</keycap>,
	    ou
	    <keycombo action="simul">
	      <keycap>Alt</keycap>
	      <keycap>S</keycap>
	    </keycombo>.  Employez ce qui est indiqué &agrave;
	    l'écran.  Dans
	    certains cas votre ordinateur peut afficher une image pendant
	    son démarrage.  Typiquement, l'appui sur
	    <keycap>Esc</keycap> effacera l'image et vous permettra de
	    voir les messages de démarrage.</para>
	</step>

	<step>
	  <para>Trouvez le paramètre qui contrôle &agrave;
	    partir de quel
	    périphérique le système démarre.
	    Cela est généralement nommé &ldquo;Boot
	    Order&ldquo; (ordre de démarrage) et habituellement sous
	    la forme d'une liste de périphériques, comme
	    <literal>Floppy</literal>, <literal>CDROM</literal>,
	    <literal>First Hard Disk</literal>, et ainsi de suite.</para>

	  <para>Si vous avez dû préparer des disquettes
	    de démarrage, assurez-vous alors que le lecteur de
	    disquettes est sélectionné.  Si vous
	    démarrez depuis le CDROM alors vérifiez que c'est
	    celui-ci qui est sélectionné &agrave; la place.
	    En cas de doute, vous devriez consulter le manuel fourni
	    avec votre ordinateur, et/ou sa carte mère.</para>

	  <para>Effectuez les changements, ensuite sauvez et quittez.
	    L'ordinateur devrait maintenant redémarrer.</para>
	</step>

	<step>
	  <para>Si vous avez dû préparer des disquettes de
	    démarrage, comme décrit dans la
	    <xref linkend="install-floppies"/> alors l'une d'elles sera la
	    première disquette de démarrage,
	    probablement celle contenant <filename>boot.flp</filename>.
	    Introduisez cette disquette dans votre lecteur.</para>

	  <para>Si vous démarrez depuis le CDROM, alors vous devrez
	    allumer votre ordinateur, et insérer le CDROM &agrave;
	    la première occasion.</para>

	  <para>Si votre ordinateur démarre comme &agrave;
	    l'accoutumé, et charge le système d'exploitation
	    existant, alors soit:</para>

	  <orderedlist>
	    <listitem>
	      <para>Les disques (CDROM ou disquette) n'ont pas
		été insérés assez tôt
		dans le processus de démarrage.
		Laissez-les, et essayez de redémarrer votre
		ordinateur.</para>
	    </listitem>

	    <listitem>
	      <para>Soit les changements du BIOS, plus tôt, n'ont pas
	        fonctionné correctement.  Vous devriez refaire cette
		étape jusqu'&agrave; obtenir la bonne option.</para>
	    </listitem>

	    <listitem>
	      <para>Soit votre BIOS ne supporte pas le
	      démarrage &agrave; partir du support
	      désiré.</para>
	    </listitem>
	</orderedlist>
	</step>

	<step>
	  <para>FreeBSD démarrera.  Si vous démarrez depuis
	    le CDROM vous verrez un affichage similaire &agrave; ceci (information sur la version omise):</para>

	  <screen>Booting from CD-Rom...
CD Loader 1.2

Building the boot loader arguments
Looking up /BOOT/LOADER... Found
Relocating the loader and the BTX
Starting the BTX loader

BTX loader 1.00 BTX version is 1.01
Console: internal video/keyboard
BIOS CD is cd0
BIOS drive C: is disk0
BIOS drive D: is disk1
BIOS 639kB/261120kB available memory

FreeBSD/i386 bootstrap loader, Revision 1.1

Loading /boot/defaults/loader.conf
/boot/kernel/kernel text=0x64daa0 data=0xa4e80+0xa9e40 syms=[0x4+0x6cac0+0x4+0x88e9d]
\</screen>

	  <para>Si vous démarrez depuis une disquette, vous verrez un
	    affichage similaire &agrave; ceci (information sur la version omise):</para>

	  <screen>Booting from Floppy...
Uncompressing ... done

BTX loader 1.00  BTX version is 1.01
Console: internal video/keyboard
BIOS drive A: is disk0
BIOS drive C: is disk1
BIOS 639kB/261120kB available memory

FreeBSD/i386 bootstrap loader, Revision 1.1

Loading /boot/defaults/loader.conf
/kernel text=0x277391 data=0x3268c+0x332a8 |

Insert disk labelled "Kernel floppy 1" and press any key...</screen>

	  <para>Suivez ces instructions en retirant la disquette
	  <filename>boot.flp</filename>, puis insérez la disquette
	  <filename>kern1.flp</filename> et enfin appuyez sur
	  <keycap>Entrée</keycap>.  Démarrez sur la
	  première disquette; quand on vous le demande,
	  insérez les autres disquettes.</para>
	</step>

	<step>
	  <para>Que vous démarriez &agrave; partir
	    de disquettes ou de CDROM, le processus de démarrage
	    vous amènera au menu du chargeur &os;:</para>

	  <figure id="boot-loader-menu">
	    <title>Menu du chargeur &os;</title>

	    <mediaobject>
	      <imageobject>
		<imagedata fileref="install/boot-loader-menu"/>
	      </imageobject>
	    </mediaobject>
	  </figure>

	  <para>Attendez dix secondes, ou appuyez sur
	    <keycap>Entrée</keycap>.</para>
	</step>
      </procedure>

      </sect3>
      <sect3>
        <title>Démarrage pour l'architecture Alpha</title>

	<indexterm><primary>Alpha</primary></indexterm>

      <procedure>
	<step>
	  <para>Commencez avec votre ordinateur éteint.</para>
	</step>

	<step>
	  <para>Allumez votre ordinateur et attendez l'invite de
	    commande du moniteur de démarrage.</para>
        </step>

	<step>
	  <para>Si vous avez dû préparer des disquettes de
	    démarrage, comme décrit dans la
	    <xref linkend="install-floppies"/> alors l'une d'elles sera la
	    première disquette de démarrage,
	    probablement celle contenant <filename>boot.flp</filename>.
	    Introduisez cette disquette dans votre lecteur et tapez les
	    commandes suivantes pour démarrer la disquette (en
	    remplaçant le nom de votre lecteur de disquette si
	    nécessaire):</para>

	  <screen>&gt;&gt;&gt;<userinput>BOOT DVA0 -FLAGS '' -FILE ''</userinput></screen>

	  <para>Si vous démarrez depuis le CDROM, insérez
	    le CDROM dans
	    son lecteur et tapez la commande suivante pour démarrer
	    l'installation (en remplaçant le nom du lecteur de CDROM si
	    nécessaire par celui approprié):</para>

          <screen>&gt;&gt;&gt;<userinput>BOOT DKA0 -FLAGS '' -FILE ''</userinput></screen>
	</step>

	<step>
	  <para>FreeBSD démarrera.  Si vous démarrez depuis une
	  disquette, au bout d'un moment vous verrez le message:</para>

	  <screen>Insert disk labelled "Kernel floppy 1" and press any key...</screen>

	  <para>Suivez ces instructions en retirant la disquette
	    <filename>boot.flp</filename>, puis insérez la disquette
	    <filename>kern1.flp</filename> et enfin appuyez sur
	    <keycap>Entrée</keycap>.</para>
	</step>

	<step>
	  <para>Que vous démarriez &agrave; partir
	    de disquettes ou du CDROM, le processus de démarrage
	    vous amènera au point suivant:</para>

	  <screen>Hit [Enter] to boot immediately, or any other key for command prompt.
Booting [kernel] in 9 seconds... _</screen>

	  <para>Attendez dix secondes, ou appuyez sur
	  <keycap>Entrée</keycap>.  Cela lancera le menu de
	  configuration du noyau.</para>
	</step>
      </procedure>

      </sect3>

      <sect3>
	<title>Démarrage pour l'architecture &sparc64;</title>

	<para>La plupart des systèmes &sparc64; sont
	  configurés pour démarrer automatiquement
	  &agrave; partir du disque dur.  Pour installer &os;, vous
	  devez démarrer &agrave; partir du réseau ou
	  &agrave; partir d'un CDROM, ce qui nécessitera un
	  passage par le PROM (OpenFirmware).</para>

	<para>Pour cela, redémarrez le système, et
	  attendez l'affichage des messages de démarrage.  En
	  fonction du modèle, vous devriez voir quelque chose
	  comme ce qui suit:</para>

    <screen>Sun Blade 100 (UltraSPARC-IIe), Keyboard Present
Copyright 1998-2001 Sun Microsystems, Inc.  All rights reserved.
OpenBoot 4.2, 128 MB memory installed, Serial #51090132.
Ethernet address 0:3:ba:b:92:d4, Host ID: 830b92d4.</screen>

	<para>Si votre système tente de démarrer
	  &agrave; partir du disque dur en cet endroit, vous devrez
	  alors appuyer sur <keycombo
	  action="simul"><keycap>L1</keycap><keycap>A</keycap></keycombo>
	  ou <keycombo
	  action="simul"><keycap>Stop</keycap><keycap>A</keycap></keycombo>
	  sur le clavier, ou envoyer un <command>BREAK</command> par
	  l'intermédiaire de la console série (en
	  utilisant par exemple <command>~#</command> sous &man.tip.1;
	  ou &man.cu.1;) pour obtenir l'invite PROM.  Elle ressemble
	  &agrave; ceci:</para>

	  <screen><prompt>ok     </prompt><co id="prompt-single"/>
<prompt>ok {0} </prompt><co id="prompt-smp"/></screen>

	  <calloutlist>
	    <callout arearefs="prompt-single">
	      <para>C'est l'invite utilisée sur les
		systèmes avec un seul CPU.</para>
	    </callout>

	    <callout arearefs="prompt-smp">
	      <para>C'est l'invite utilisée sur les
		systèmes SMP, le chiffre indiquant le nombre de
		CPU actifs.</para>
	    </callout>
	  </calloutlist>

	<para>En ce point, placez le CDROM dans le lecteur, et
	  &agrave; l'invite PROM, tapez <command>boot
	  cdrom</command>.</para>
      </sect3>
    </sect2>

    <sect2 id="view-probe">
      <title>Examen des résultats de la détection du
	matériel</title>

      <para>La dernière centaine de lignes qui a été
	affichée &agrave; l'écran
        est stockée et peut être relue.</para>

      <para>Pour relire le tampon, appuyez sur
	<keycap>Arrêt Défil</keycap>.
	Cela activera le défilement de l'affichage.  Vous pouvez alors
	utiliser les touches fléchées, ou
	<keycap>PageUp</keycap> et
	<keycap>PageDown</keycap> pour visualiser les résultats.
	Appuyer &agrave; nouveau sur <keycap>Arrêt Défil</keycap>
	pour revenir dans le mode normal.</para>

      <para>Faites cela maintenant, pour relire le texte qui a
	défilé en dehors de l'écran quand le noyau
	effectuait la détection du matériel.  Vous verrez
	quelque chose de semblable &agrave; la <xref
	linkend="install-dev-probe"/>, bien que le texte sera différent
	en fonction des périphériques que vous avez dans votre
	ordinateur.</para>

      <figure id="install-dev-probe">
	<title>Résultats typiques de la détection du
	  matériel</title>

        <screen>avail memory = 253050880 (247120K bytes)
Preloaded elf kernel "kernel" at 0xc0817000.
Preloaded mfs_root "/mfsroot" at 0xc0817084.
md0: Preloaded image &lt;/mfsroot&gt; 4423680 bytes at 0xc03ddcd4

md1: Malloc disk
Using $PIR table, 4 entries at 0xc00fde60
npx0: &lt;math processor&gt; on motherboard
npx0: INT 16 interface
pcib0: &lt;Host to PCI bridge&gt; on motherboard
pci0: &lt;PCI bus&gt; on pcib0
pcib1:&lt;VIA 82C598MVP (Apollo MVP3) PCI-PCI (AGP) bridge&gt; at device 1.0 on pci0
pci1: &lt;PCI bus&gt; on pcib1
pci1: &lt;Matrox MGA G200 AGP graphics accelerator&gt; at 0.0 irq 11
isab0: &lt;VIA 82C586 PCI-ISA bridge&gt; at device 7.0 on pci0
isa0: &lt;iSA bus&gt; on isab0
atapci0: &lt;VIA 82C586 ATA33 controller&gt; port 0xe000-0xe00f at device 7.1 on pci0
ata0: at 0x1f0 irq 14 on atapci0
ata1: at 0x170 irq 15 on atapci0
uhci0: &lt;VIA 83C572 USB controller> port 0xe400-0xe41f irq 10 at device 7.2 on pci0
usb0: &lt;VIA 83C572 USB controller> on uhci0
usb0: USB revision 1.0
uhub0: VIA UHCI root hub, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1
uhub0: 2 ports with 2 removable, self powered
pci0: &lt;unknown card&gt; (vendor=0x1106, dev=0x3040) at 7.3
dc0: &lt;ADMtek AN985 10/100BaseTX&gt; port 0xe800-0xe8ff mem 0xdb000000-0xeb0003ff ir
q 11 at device 8.0 on pci0
dc0: Ethernet address: 00:04:5a:74:6b:b5
miibus0: &lt;MII bus&gt; on dc0
ukphy0: &lt;Generic IEEE 802.3u media interface&gt; on miibus0
ukphy0: 10baseT, 10baseT-FDX, 100baseTX, 100baseTX-FDX, auto
ed0: &lt;NE2000 PCI Ethernet (RealTek 8029)&gt; port 0xec00-0xec1f irq 9 at device 10.
0 on pci0
ed0 address 52:54:05:de:73:1b, type NE2000 (16 bit)
isa0: too many dependant configs (8)
isa0: unexpected small tag 14
orm0; &lt;Option ROM&gt; at iomem 0xc0000-0xc7fff on isa0
fdc0: &lt;NEC 72065B or clone&gt; at port 0x3f0-0x3f5,0x3f7 irq6 drq2 on isa0
fdc0: FIFO enabled, 8 bytes threshold
fd0: &lt;1440-KB 3.5&rdquo; drive&gt; on fdc0 drive 0
atkbdc0: &lt;keyboard controller (i8042)&gt; at port 0x60-0x64 on isa0
atkbd0: &lt;AT Keyboard&gt; flags 0x1 irq 1 on atkbdc0
kbd0 at atkbd0
psm0: &lt;PS/2 Mouse&gt; irq 12 on atkbdc0
psm0: model Generic PS/2 mouse, device ID 0
vga0: &lt;Generic ISA VGA&gt; at port 0x3c0-0c3df iomem 0xa0000-0xbffff on isa0
sc0: &lt;System console&gt; at flags 0x100 on isa0
sc0: VGA &lt;16 virtual consoles, flags-0x300&gt;
sio0 at port 0x3f8-0x3ff irq 4 flags 0x10 on isa0
sio0: type 16550A
sio1: at port 0x2f8-0x2ff irq3 on isa0
sio1: type 16550A
ppc0: &lt;Parallel port&gt; at port 0x378-0x37f irq 7 on isa0
ppc0: SMC-like chipset (ECP/EPP/PS2/NIBBLE) in COMPATIBLE mode
ppc0: FIFO with 16/16/15 bytes threshold
plip0: &lt;PLIP network interface&gt; on ppbus0
ad0: 8063MB &lt;IBM-DHEA-38451> [16383/16/63] at ata0-master using UDMA33
acd0: CD-RW &lt;LITE-ON LTR-1210B&gt; at ata1-slave PIO4
Mounting root from ufs:/dev/md0c
/stand/sysinstall running as init on vty0</screen>
      </figure>

      <para>Vérifiez les résultats de la détection
	soigneusement pour s'assurer que FreeBSD a trouvé tous les
	périphériques que vous
	attendiez.  Si un périphérique n'a pas été
	trouvé, il ne sera alors pas affiché.
	Un <link linkend="kernelconfig">noyau
	personnalisé</link> vous permet d'ajouter le support
	pour des périphériques qui ne sont pas
	présents dans le noyau <filename>GENERIC</filename>,
	comme les cartes son.</para>

      <para>Pour &os;&nbsp;6.2 et les versions suivantes, après
	la détection des périphériques, vous
	verrez l'écran correspondant &agrave; la <xref
	linkend="config-country"/>.  Utilisez les touches
	fléchées pour choisir un pays, une
	région, ou un groupe.  Appuyez ensuite sur la touche
	<keycap>Enter</keycap>, pour sélectionner votre pays et
	votre table de clavier.  Il est facile de quitter le programme
	<application>sysinstall</application> et de recommencer
	&agrave; nouveau.</para>

      <figure id="config-country">
	<title>Menu de sélection du pays</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/config-country"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <figure id="sysinstall-exit">
	<title>Quitter sysinstall</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/sysinstall-exit"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
	<guimenuitem>Exit Install</guimenuitem> dans le menu principal
	d'installation.  Le message suivant apparaîtra:</para>


      <screen>                      User Confirmation Requested
         Are you sure you wish to exit? The system will reboot
           (be sure to remove any floppies/CDs/DVDs from the drives).

                            [ Yes ]    No</screen>

      <para>Le programme d'installation redémarrera &agrave; nouveau si le
	CDROM est resté dans le lecteur et que
	&gui.yes; est sélectionné.</para>

      <para>Si vous démarrez &agrave; partir de disquettes, il sera
	nécessaire
	de retirer la disquette <filename>boot.flp</filename> avant de
	redémarrer.</para>
    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="using-sysinstall">
    <title>Présentation de sysinstall</title>

    <para>L'utilitaire <application>sysinstall</application> est l'application
      d'installation fournie par le projet FreeBSD.  C'est une
      application pour la console et qui est divisée en un certain nombre
      de menus et d'écrans que vous pouvez utiliser pour configurer et
      contrôler le processus d'installation.</para>

    <para>Le système de menu de <application>sysinstall</application>
      est contrôlé &agrave; l'aide des touches
      fléchées, <keycap>Entrée</keycap>,
      <keycap>Tab</keycap>,
      <keycap>Espace</keycap> et d'autres touches.  Une description
      détaillée de ces touches, et de ce qu'elles font,
      se trouve dans les informations d'utilisation de
      <application>sysinstall</application>.</para>

    <para>Pour voir ces informations, assurez-vous que l'entrée
      <guimenuitem>Usage</guimenuitem> est surlignée et que le bouton
      <guibutton>[Select]</guibutton> est sélectionné, comme
      montré dans
      la <xref linkend="sysinstall-main3"/>, ensuite appuyez sur
      <keycap>Entrée</keycap>.</para>

    <para>Les instructions sur l'utilisation du système de menu seront
      affichées. Après les avoir lues, appuyez sur
      <keycap>Entrée</keycap> pour revenir au menu principal.</para>

    <figure id="sysinstall-main3">
      <title>Sélection de l'entrée Usage dans le menu
	principal de sysinstall</title>

      <mediaobject>
	<imageobject>
	  <imagedata fileref="install/main1"/>
	</imageobject>
      </mediaobject>
    </figure>

    <sect2 id="select-doc">
      <title>Sélectionner le menu de documentation</title>

      <para>Depuis le menu principal, sélectionnez
	<guimenuitem>Doc</guimenuitem> avec les touches fléchées
	  et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="main-doc">
	<title>Sélectionner le menu de documentation</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/main-doc"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Cela affichera le menu de documentation.</para>

      <figure id="docmenu1">
	<title>Menu de documentation de sysinstall</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/docmenu1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Il est important de lire la documentation fournie.</para>

      <para>Pour voir un document, sélectionnez-le avec les touches
	fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.
	Quand vous
	avez terminé la lecture d'un document, l'appui sur
	<keycap>Entrée</keycap> vous ramènera au menu de
	documentation.</para>

      <para>Pour revenir au menu principal d'installation, sélectionnez
	<guimenuitem>Exit</guimenuitem> avec les touches fléchées
	et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="keymap">
      <title>Sélectionner le menu des tables de clavier</title>

      <para>Pour changer le type de clavier, utilisez les touches
	fléchées pour sélectionner
	<guimenuitem>Keymap</guimenuitem>
	depuis le menu et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.
	Ceci est nécessaire seulement si vous utilisez un
	clavier non-standard ou non-américain.</para>

      <figure id="sysinstall-keymap">
	<title>Menu principal de sysinstall</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/main-keymap"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Une table de clavier différente peut être choisie en
	sélectionnant l'élément du menu en utilisant
	les touches fléchées et en appuyant sur
	<keycap>Espace</keycap>. Appuyer &agrave; nouveau sur
	<keycap>Espace</keycap> désélectionnera
	l'élément.
	Une fois terminé, choisissez &gui.ok; en utilisant les touches
	fléchées et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <para>Seule une liste partielle est montrée dans cet exemple.
	Utiliser &gui.cancel; en appuyant sur <keycap>Tab</keycap> sélectionnera la table de clavier par
	défaut et ramènera au menu principal
	d'installation.</para>

      <figure id="sysinstall-keymap-menu">
	<title>Menu des tables de clavier de sysinstall</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/keymap"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

    </sect2>

    <sect2 id="viewsetoptions">
      <title>Ecran des options d'installation</title>

    <para>Sélectionner <guimenuitem>Options</guimenuitem> et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

    <figure id="sysinstall-options">
      <title>Menu principal de sysinstall</title>

      <mediaobject>
        <imageobject>
	  <imagedata fileref="install/main-options"/>
	</imageobject>
      </mediaobject>
    </figure>

      <figure id="options">
	<title>Options de sysinstall</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/options"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Les valeurs par défaut sont généralement
	parfaites pour la
	plupart des utilisateurs et ne nécessitent pas d'être
	modifiées.  Le nom de la version variera en fonction de
	la version que l'on installe.</para>

      <para>La description de l'élément
	sélectionné apparaîtra en bas de
	l'écran surlignée en bleu.  Notez qu'une des options est
	<guimenuitem>Use Defaults</guimenuitem> pour réinitialiser
	toutes les options &agrave; leur valeur de départ.</para>

      <para>Appuyez sur <keycap>F1</keycap> pour lire l'écran d'aide
	&agrave; propos des diverses options.</para>

      <para>L'appui sur <keycap>Q</keycap> ramènera au menu principal
	d'installation.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="start-install">
      <title>Commencer une installation standard</title>

      <para>L'installation <guimenuitem>Standard</guimenuitem> est
	l'option recommandée pour ceux qui sont nouveaux &agrave;
	&unix; ou FreeBSD.
	Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
	<guimenuitem>Standard</guimenuitem> et ensuite appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap> pour débuter
	l'installation.</para>

      <figure id="sysinstall-standard">
	<title>Commencer une installation standard</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/main-std"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>
    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="install-steps">
    <title>Allouer l'espace disque</title>

    <para>Votre première tâche est d'allouer de l'espace disque
      &agrave; FreeBSD, et labéliser cet espace de sorte que
      <application>sysinstall</application> puisse le préparer.  Afin de
      faire cela vous devez savoir comment FreeBSD s'attend &agrave; trouver
      l'information sur le disque.</para>

    <sect2 id="install-drive-bios-numbering">
      <title>La numérotation des disques par le BIOS</title>

      <para>Avant que vous installiez et configuriez FreeBSD sur votre
	système, il y a un sujet important dont vous devriez être
	conscient, particulièrement si vous avez plusieurs disques
	durs.</para>

      <indexterm><primary>DOS</primary></indexterm>
      <indexterm><primary>Microsoft Windows</primary></indexterm>
      <para>Dans un PC utilisant un système d'exploitation
	dépendant du
	BIOS comme &ms-dos; ou &microsoft.windows;, le BIOS est capable de
	modifier l'ordre normal des disques, et le système
	d'exploitation suivra le changement.  Ceci permet &agrave;
	l'utilisateur de démarrer depuis un disque autre que le
	prétendu &ldquo;premier disque maître&rdquo;.  C'est
	particulièrement commode pour les utilisateurs qui ont
	trouvé
	que la manière la plus simple et la moins onéreuse de
	sauvegarder un système est d'acheter un second disque dur
	identique, et d'exécuter des copies régulières
	du premier disque
	vers le second en utilisant <application><trademark class="registered">Ghost</trademark></application> ou
	<application>XCOPY</application>.  Alors, si le premier disque
	tombe en panne, ou est attaqué par un virus, ou corrompu par un
	défaut du système d'exploitation, on peut facilement
	y faire
	face en demandant au BIOS de permuter logiquement les disques.
	C'est comme si l'on échangeait les câbles sur les disques,
	mais sans avoir &agrave; ouvrir le boîtier.</para>

      <indexterm><primary>SCSI</primary></indexterm>
      <indexterm><primary>BIOS</primary></indexterm>
      <para>Des systèmes plus onéreux avec des contrôleurs
	SCSI incluent
	souvent des extensions de BIOS permettant aux disques SCSI
	d'être réorganisés dans un mode semblable et cela
	jusqu'&agrave; sept disques.</para>

      <para>Un utilisateur qui est accoutumé &agrave; tirer profit de ces
	caractéristiques pourra s'étonner quant aux
	résultats inattendus
	obtenus sous FreeBSD.  FreeBSD n'utilise pas le BIOS, et ne
	connaît pas &ldquo;la table logique des disques du BIOS&rdquo;.
	Cela peut mener &agrave; des situations relativement
	déconcertantes,
	particulièrement quand les disques sont physiquement identiques,
	et que ce sont également des clones au niveau des
	données.</para>

      <para>Quand vous utilisez FreeBSD, veillez &agrave; rétablir la
	numérotation naturelle des disques dans le BIOS, et
	laissez-l&agrave; telle quelle.  Si vous devez inverser les
	disques, alors faites-le mais au niveau matériel en ouvrant
	votre boîtier et en
	déplaçant les cavaliers et les câbles.</para>

      <sidebar>
	<title>Une illustration d'après les extraordinaires aventures
	  des fichiers de Bill et Fred:</title>

	<para>Bill transforme une vieille machine Wintel en une nouvelle
	  machine FreeBSD pour Fred.  Bill installe un disque SCSI comme
	  unité de disque SCSI zéro et install
	  FreeBSD dessus.</para>

	<para>Fred commence &agrave; utiliser le système, mais
	  après plusieurs
	  jours remarque que le vieux disque SCSI signale de nombreuses
	  erreurs logiciels et en fait part &agrave; Bill.</para>

	<para>Quelques jours après, Bill décide qu'il est
	  temps de s'occuper de ce problème, il va donc chercher un
	  disque SCSI identique dans la &ldquo;réserve &agrave;
	  disques&rdquo;.  Un contrôle de la surface indique que le
	  disque fonctionne correctement, aussi Bill installe ce disque comme
	  unité SCSI numéro quatre et effectue une copie
	  &agrave; l'identique du disque zéro sur le
	  disque quatre.  Maintenant que le nouveau disque est installé
	  et fonctionne parfaitement, Bill décide que ce serait une
	  bonne idée de commencer &agrave; l'utiliser, aussi
	  utilise-t-il une fonction dans le BIOS SCSI pour réordonner
	  les disques durs pour faire démarrer le système
	  &agrave; partir de l'unité SCSI
	  quatre.  FreeBSD démarre et fonctionne correctement.</para>

	<para>Fred continue son travail pendant quelques jours, et
	  bientôt Bill et Fred décident qu'il est temps pour une
	  nouvelle aventure &mdash; temps pour mettre &agrave; jour vers une version
	  plus récente de FreeBSD.  Bill retire le disque SCSI
	  zéro parce qu'il était un peu capricieux et le
	  remplace par un autre identique provenant de la
	  &ldquo;réserve &agrave; disques&rdquo;.
	  Bill installe alors la nouvelle version de FreeBSD sur le
	  nouveau disque SCSI en utilisant les magiques disquettes
	  d'installation par FTP de Fred.  L'installation se passe
	  bien.</para>

	<para>Fred utilise la nouvelle version de FreeBSD pendant
	  quelques jours, et certifie qu'elle est suffisamment stable pour
	  être utilisée dans le département
	  d'ingénierie.  Il est temps
	  de transférer tout son travail depuis l'ancienne version.
	  Alors Fred monte l'unité SCSI quatre (la dernière
	  copie de l'ancienne version de FreeBSD).  Fred est accablé
	  de constater que rien de son précieux travail n'est
	  présent sur l'unité SCSI quatre.</para>

	<para>Ou sont passées les données?</para>

	<para>Quand Bill &agrave; fait une copie parfaite du disque
	  SCSI zéro originel sur l'unité SCSI quatre,
	  l'unité quatre est devenue le &ldquo;nouveau clone&rdquo;.
	  Quand Bill a réordonné le
	  BIOS SCSI pour qu'il puisse démarrer sur l'unité
	  SCSI quatre, il était juste en train de se tromper.
	  FreeBSD tournait toujours sur l'unité SCSI zéro.
	  Faire de tels changements dans le BIOS fera qu'une partie ou tout
	  le code de démarrage et de chargement sera
	  lue sur le disque sélectionné par le
	  BIOS, mais quand les pilotes du noyau de FreeBSD prendrons le
	  contrôle, la numérotation des disques par le BIOS sera
	  ignorée, et FreeBSD reprendra la numérotation
	  normale des disques.
	  Dans l'illustration actuelle, le système a continué
	  d'opérer sur l'unité SCSI zéro d'origine,
	  et toutes les données de Fred se trouvaient l&agrave;
	  et non pas sur l'unité SCSI
	  quatre.  Le fait que le système semblait fonctionner sur
	  l'unité quatre n'était juste qu'une impression due aux
	  attentes de nos utilisateurs.</para>

	<para>Nous sommes heureux d'annoncer qu'aucun octet n'a
	  été détruit ou endommagé
	  durant la découverte de ce phénomène.
	  L'ancienne unité SCSI zéro a été
	  récupérée sur une pile de
	  disques au rebut, et tout le travail de Fred lui a
	  été rendu
	  (et Bill sait désormais qu'il peut compter jusqu'&agrave;
	  zéro).</para>

	<para>Bien que cela soit des disques SCSI qui furent utilisés
	  dans cet exemple, le concept s'applique de la même
	  manière aux disques IDE.</para>
      </sidebar>
    </sect2>

    <sect2 id="main-fdisk">
      <title>Création des tranches - &ldquo;slices&rdquo; en utilisant
	FDisk</title>

      <note>
	<para>Aucun changement que vous faites &agrave; ce niveau de
	  l'installation ne sera écrit sur le disque.  Si vous pensez
	  que vous avez fait une erreur et que vous voulez recommencer,
	  vous pouvez utiliser les menus pour quitter
	  <application>sysinstall</application> et essayer encore ou
	  appuyez sur <keycap>U</keycap> pour utiliser l'option
	  <guimenuitem>Undo</guimenuitem>.  Si
	  vous êtes perdu et ne voyez pas comment quitter, vous pouvez
	  toujours éteindre votre ordinateur.</para>
      </note>

      <para>Après avoir choisi de commencer une installation standard
      <application>sysinstall</application> affichera ce message:</para>

      <screen>                                 Message
 In the next menu, you will need to set up a DOS-style ("fdisk")
 partitioning scheme for your hard disk. If you simply wish to devote
 all disk space to FreeBSD (overwriting anything else that might be on
 the disk(s) selected) then use the (A)ll command to select the default
 partitioning scheme followed by a (Q)uit. If you wish to allocate only
 free space to FreeBSD, move to a partition marked "unused" and use the
 (C)reate command.
                                [  OK  ]

                      [ Press enter or space ]</screen>

      <para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> comme demandé.
	On vous affichera alors une liste de tous les disques durs que le noyau
	a trouvés durant la détection des
	périphériques.  La <xref
	linkend="sysinstall-fdisk-drive1"/> présente l'exemple d'un
	système avec deux disques IDE.  Ils ont été
	appelés <devicename>ad0</devicename> et
	<devicename>ad2</devicename>.</para>

      <figure id="sysinstall-fdisk-drive1">
	<title>Sélection du disque pour FDisk</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/fdisk-drive1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Vous pourriez vous demander pourquoi
	<devicename>ad1</devicename> n'est pas listé ici.
	Pourquoi est-il manquant?</para>

      <para>Considérez ce qu'il se produirait si vous aviez deux disques
	durs IDE, un en tant que maître sur le premier contrôleur
	IDE, et un autre en tant que maître sur le second
	contrôleur IDE.  Si FreeBSD numérotait ces derniers
	comme il les a trouvés, en tant
	que <devicename>ad0</devicename> et <devicename>ad1</devicename>
	alors tout devrait fonctionner.</para>

      <para>Mais si vous ajoutiez un troisième disque, en tant que
	disque esclave sur le premier contrôleur IDE, ce serait
	maintenant <devicename>ad1</devicename>, et
	l'<devicename>ad1</devicename> précédent deviendrait
	<devicename>ad2</devicename>.
	Puisque les noms de périphériques
	(comme <devicename>ad1s1a</devicename>) sont utilisés pour
	trouver les systèmes de fichiers, vous pouvez soudainement
	découvrir que certains de vos systèmes de fichiers
	n'apparaissent plus correctement, et vous devrez modifier votre
	configuration de FreeBSD.</para>

      <para>Pour s'affranchir de cela, le noyau peut être
	configuré pour nommer les périphériques IDE en
	fonction de l'endroit où ils
	sont placés, et non pas en fonction de l'ordre dans lequel ils
	ont été trouvés.  Avec cet arrangement le
	disque maître sur le
	second contrôleur IDE sera <emphasis>toujours</emphasis>
	<devicename>ad2</devicename>, même s'il n'y a aucun disque
	<devicename>ad0</devicename> ou
	<devicename>ad1</devicename>.</para>

      <para>Cette configuration est celle par défaut du noyau de
	FreeBSD, c'est pourquoi notre exemple montre
	<devicename>ad0</devicename> et <devicename>ad2</devicename>.
	La machine sur laquelle furent prises les captures d'écran avait
	des disques IDE sur les canaux maîtres de chaque
	contrôleur IDE, et aucun disque esclave.</para>

      <para>Vous devrez choisir le disque sur lequel vous désirez
	installer FreeBSD, et ensuite appuyer sur &gui.ok;.
	<application>FDisk</application> démarrera, avec un écran
	semblable &agrave; celui montré sur la <xref
	linkend="sysinstall-fdisk1"/>.</para>

      <para>L'affichage de <application>FDisk</application> est
	séparé en trois parties.</para>

      <para>La première partie, occupant les deux premières
	lignes de l'écran, montre les détails au sujet du
	disque actuellement sélectionné, dont son nom sous
	FreeBSD, sa géométrie, et la
	taille du disque.</para>

      <para>La deuxième partie montre les tranches qui sont actuellement
	présentes sur le disque, où elles débutent et
	se terminent, leur
	taille, le nom que leur donne FreeBSD, et leur description et
	sous-type.  Cette exemple montre deux petites tranches
	inutilisées, qui sont les conséquences de l'arrangement du
	disque sous PC.  Il montre également une grande tranche de type
	<acronym>FAT</acronym>, qui est presque certainement le lecteur
	<devicename>C:</devicename> sous &ms-dos; / &windows;, et une tranche
	étendue, qui doit contenir d'autres lecteurs pour &ms-dos; /
	&windows;.</para>

      <para>La troisième partie affiche les commandes disponibles dans
	<application>FDisk</application>.</para>

      <figure id="sysinstall-fdisk1">
	<title>Partitions Fdisk typiques avant édition</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/fdisk-edit1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Ce que vous allez faire maintenant dépend de comment vous
	voulez diviser votre disque.</para>

      <para>Si vous voulez utiliser tout le disque pour FreeBSD (ce qui
	effacera toutes les autres données sur votre disque quand vous
	confirmerez, plus tard dans le processus d'installation, que vous
	voulez que <application>sysinstall</application> continue) alors
	vous pouvez appuyer sur <keycap>A</keycap>, ce qui correspond &agrave;
	l'option <guimenuitem>Use Entire Disk</guimenuitem> (utiliser
	l'intégralité du disque).  Les tranches existantes seront
	supprimées, et remplacées par une petite zone
	étiquetée
	<literal>unused</literal> (encore une fois, une particularité de
	l'organisation des disques sous PC), et ensuite une grande
	tranche pour FreeBSD.  Si vous faites cela vous devriez
	sélectionner la tranche FreeBSD nouvellement
	créée en utilisant
	les touches fléchées, et appuyer sur
	<keycap>S</keycap> pour
	marquer la tranche comme pouvant être démarrable.
	L'écran sera
	alors semblable &agrave; la <xref linkend="sysinstall-fdisk2"/>.  Notez
	le <literal>A</literal> dans la colonne
	<literal>Flags</literal>, qui indique que cette tranche est
	<emphasis>active</emphasis>, et sera démarrable.</para>

      <para>Si vous supprimez une tranche existante pour faire de la
	place pour FreeBSD alors vous devriez sélectionner la tranche en
	utilisant les touches fléchées, et ensuite appuyer sur
	<keycap>D</keycap>.  Vous pouvez alors appuyer sur
	<keycap>C</keycap>, on vous demandera la taille de la tranche
	que vous désirez créer.  Entrez la taille requise et
	appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.  La valeur par
	défaut dans cette boîte de dialogue
	représente la tranche la plus grande possible que vous
	pouvez créer, qui peut être le plus grand bloc
	d'espace contiguë non alloué ou la taille de
	l'intégralité du disque dur.</para>

      <para>Si vous avez déj&agrave; fait de la place pour FreeBSD
	(peut-être
	en utilisant un outil comme <application>&partitionmagic;</application>&reg;) alors vous pouvez appuyer sur
	<keycap>C</keycap> pour créer une nouvelle tranche.  Encore une
	fois, vous serez sollicité pour entrer la taille de la tranche
	que vous désirez créer.</para>

      <figure id="sysinstall-fdisk2">
	<title>Partionnement Fdisk utilisant l'intégralité du
	  disque</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/fdisk-edit2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Une fois terminé, appuyez sur <keycap>Q</keycap>.  Vos
	modifications seront sauvegardées dans
	<application>sysinstall</application>, mais ne seront pas
	encore inscrites sur le disque.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="bootmgr">
      <title>Installer un gestionnaire de démarrage</title>

      <para>Vous avez maintenant la possibilité d'installer un
	gestionnaire de démarrage.  En général, vous
	devriez installer
	le gestionnaire de démarrage de FreeBSD si:</para>

      <itemizedlist>
	<listitem>
	  <para>Vous avez plus d'un disque, et vous avez installé
	    FreeBSD sur un disque autre que le premier.</para>
	</listitem>

	<listitem>
	  <para>Vous avez installé FreeBSD &agrave; côté
	    d'un autre système
	    d'exploitation sur le même disque, et vous voulez pouvoir
	    choisir de lancer soit FreeBSD soit l'autre système
	    d'exploitation au démarrage de votre ordinateur.</para>
	</listitem>
      </itemizedlist>

      <para>Si &os; sera le seul système d'exploitation sur
	cette machine, installé sur le premier disque dur,
	alors le gestionnaire de démarrage
	<guimenuitem>Standard</guimenuitem> suffira.
	Sélectionnez <guimenuitem>None</guimenuitem> si vous
	utilisez un gestionnaire de démarrage tiers capable de
	démarrer &os;.</para>

      <para>Faites votre choix, et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="sysinstall-bootmgr">
	<title>Menu du gestionnaire de démarrage de sysinstall</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/boot-mgr"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>L'écran d'aide, obtenu par l'appui sur <keycap>F1</keycap>,
	discute des problèmes qui peuvent être
	rencontrés quand on
	essaye de partager un disque entre plusieurs systèmes
	d'exploitation.</para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Création de tranches - &ldquo;slices&rdquo; sur un
	autre disque</title>

      <para>S'il y a plus d'un disque, on reviendra &agrave; l'écran de
	sélection des disques après la sélection du
	gestionnaire de
	démarrage.  Si vous souhaitez installer FreeBSD sur plus d'un
	disque, alors vous pouvez choisir un autre disque ici et
	répéter le processus en utilisant
	<application>FDisk</application>.</para>

      <important>
	<para>Si vous installez &os; sur un disque différent de
	  votre premier disque, alors le gestionnaire de démarrage
	  de &os; doit être installé sur les deux disques.</para>
      </important>

      <figure id="sysinstall-fdisk-drive2">
	<title>Quitter la sélection de disque</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/fdisk-drive2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>La touche <keycap>Tab</keycap> permet de basculer entre le
	dernier disque sélectionné, &gui.ok;, et
	&gui.cancel;.</para>

      <para>Appuyez sur <keycap>Tab</keycap> une fois pour basculer sur
	&gui.ok;, ensuite appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour
	continuer l'installation.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="bsdlabeleditor">
      <title>Créer des partitions en utilisant
	<application>Disklabel</application></title>

      <para>Vous devez maintenant créer des partitions &agrave;
	l'intérieur de
	chaque tranche que vous venez de créer.  Rappelez-vous que
	chaque partition est représentée par une lettre, depuis
	<literal>a</literal> jusqu'&agrave; <literal>h</literal>, et que les
	partitions <literal>b</literal>, <literal>c</literal>, et
	<literal>d</literal> ont par convention des significations
	particulières que vous devriez respecter.</para>

      <para>Certaines applications peuvent tirer avantage d'un
	partionnement particulier, tout spécialement si vous organisez
	vos partitions sur plus d'un disque.  Cependant, pour votre
	première installation de FreeBSD, vous ne devriez ne pas trop
	attacher d'importance &agrave; la façon dont vous divisez
	votre disque.
	Il est plus important que vous installiez FreeBSD et commenciez
	&agrave; apprendre &agrave; l'utiliser.  Vous pouvez toujours
	réinstaller
	FreeBSD pour modifier votre partionnement quand vous serez plus
	familier avec le système d'exploitation.</para>

      <para>Cette organisation présente quatre partitions&mdash;une pour
	l'espace de pagination, et trois pour les systèmes de
	fichiers.</para>

      <table frame="none" pgwide="1">
	<title>Partitionnement du premier disque</title>

	<tgroup cols="4">
	  <colspec colwidth="1*"/>
	  <colspec colwidth="1*"/>
	  <colspec colwidth="1*"/>
	  <colspec colwidth="4*"/>

	  <thead>
	    <row>
	      <entry>Partition</entry>

	      <entry>Système de fichiers</entry>

	      <entry>Taille</entry>

	      <entry>Description</entry>
	    </row>
	  </thead>

	  <tbody>
	    <row>
	      <entry><literal>a</literal></entry>

	      <entry><filename>/</filename></entry>

	      <entry>512&nbsp;Mo</entry>

	      <entry>C'est le système de fichiers racine.  Tous les
		autres systèmes de fichiers seront montés sous ce
		dernier.  512&nbsp;Mo est une taille raisonnable pour ce
		système de fichiers.  Vous ne devrez pas stocker trop de
		données dessus, comme une installation habituelle de
		FreeBSD prendra environ 128&nbsp;Mo.  La place restante est pour les
		données temporaires, et laisse également de
		l'espace si les futures version de FreeBSD nécessitent
		plus de place dans <filename>/</filename></entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry><literal>b</literal></entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>2-3 x RAM</entry>

	      <entry><para>L'espace de pagination du système
		  est placé
		  sur la partition <literal>b</literal>.  Choisir la bonne quantité
		  d'espace de pagination peut s'avérer être tout un
		  art.  Un bon principe est de prendre un espace de
		  pagination égal &agrave; deux ou trois fois la
		  mémoire
		  physique disponible sur le système (RAM).  Vous devrez
		  également avoir au moins 64&nbsp;Mo d'espace de pagination,
		  donc si vous avez moins de 32&nbsp;Mo de RAM dans votre
		  ordinateur fixez la taille de l'espace de pagination &agrave;
		  64&nbsp;Mo.</para><para>

		  Si vous avez plus d'un disque alors vous pouvez
		  mettre de l'espace de pagination sur chaque disque.
		  FreeBSD utilisera alors chaque disque pour la
		  pagination, ce qui accélérera le processus de
		  pagination.  Dans ce cas calculez la quantité d'espace
		  dont vous avez besoin (e.g., 128&nbsp;Mo), et divisez-la par
		  le nombre de disques que vous avez (e.g., deux disques)
		  pour obtenir la quantité &agrave; mettre sur chaque
		  disque,
		  dans cet exemple, 64&nbsp;Mo d'espace de pagination par
		  disque.</para></entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry><literal>e</literal></entry>

	      <entry><filename>/var</filename></entry>

	      <entry>256&nbsp;Mo &agrave; 1024nbsp;Mo</entry>

	      <entry>Le répertoire <filename>/var</filename> contient
		des fichiers variant constamment; fichiers de traces, et
		autre fichiers d'administration.  Beaucoup de ces
		fichiers sont lus et écrits de façon intensive
		durant le
		fonctionnement de FreeBSD.  Mettre ces fichiers sur un
		autre système de fichiers permet &agrave; FreeBSD
		d'optimiser l'accès &agrave; ces fichiers sans affecter
		les autres fichiers d'autres répertoires n'ayant pas
		les même conditions d'accès.</entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry><literal>f</literal></entry>

	      <entry><filename>/usr</filename></entry>

	      <entry>Le reste du disque (au moins 2nbsp;Go)</entry>

	      <entry>Tous vos autres fichiers seront normalement stockés
		dans <filename>/usr</filename>, et ses
		sous-répertoires.</entry>
	    </row>
	  </tbody>
	</tgroup>
      </table>

      <warning>
	<para>Les valeurs ci-dessus sont données &agrave; titre
	  d'exemple et ne devraient être utilisées que
	  par des utilisateurs expérimentés.  Les
	  utilisateurs sont encouragés &agrave; utiliser le
	  partitionnement automatique appelé <literal>Auto
	  Defaults</literal> par l'éditeur de partition de
	  &os;.</para>
      </warning>

      <para>Si vous installez FreeBSD sur plus d'un disque alors vous
	devez également créer des partitions sur les autres
	tranches que vous avez configurées.
	La manière la plus simple est de créer
	deux partitions sur chaque disque, une pour l'espace de
	pagination, et une autre pour le système de fichiers.</para>

      <table frame="none" pgwide="1">
	<title>Partitionnement pour les disques suivants</title>

	<tgroup cols="4">
	  <colspec colwidth="1*"/>
	  <colspec colwidth="1*"/>
	  <colspec colwidth="2*"/>
	  <colspec colwidth="3*"/>

	  <thead>
	    <row>
	      <entry>Partition</entry>

	      <entry>Système de fichiers</entry>

	      <entry>Taille</entry>

	      <entry>Description</entry>
	    </row>
	  </thead>

	  <tbody>
	    <row>
	      <entry><literal>b</literal></entry>

	      <entry>N/A</entry>

	      <entry>Voir description</entry>

	      <entry>Comme déj&agrave; discuté,
		vous pouvez répartir l'espace de
		pagination sur chaque disque.  Même si la partition
		<literal>a</literal> est libre, les conventions nous dictent
		que l'espace de pagination doit rester sur la partition
		<literal>b</literal>.</entry>
	    </row>

	    <row>
	      <entry><literal>e</literal></entry>

	      <entry>/disque<replaceable>n</replaceable></entry>

	      <entry>le reste du disque</entry>

	      <entry>Le reste du disque est utilisé en une seule grande
		partition.  Cela pourrait facilement être la partition
		<literal>a</literal>, au lieu de la partition
		<literal>e</literal>.  Cependant, conventionnellement la
		partition <literal>a</literal> sur une tranche est
		réservée au système de fichiers racine
		(<filename>/</filename>).  Vous n'êtes pas obligé
		de suivre cette convention mais
		<application>sysinstall</application> le fait, et donc
		la suivre rendra l'installation plus claire.  Vous
		pouvez choisir de monter ce système de fichiers
		n'importe où; cet exemple suggère que vous les
		montiez en tant que répertoires
		<filename>/disque<replaceable>n</replaceable></filename>,
		où
		<replaceable>n</replaceable> est un nombre qui change
		pour chaque disque.  Mais vous pouvez choisir une autre
		organisation si vous le préférez.</entry>
	    </row>
	  </tbody>
	</tgroup>
      </table>

      <para>Après avoir choisi votre partitionnement vous pouvez
	maintenant le créer en utilisant
	<application>sysinstall</application>.
	Vous verrez ce message:</para>

      <screen>                                 Message
 Now, you need to create BSD partitions inside of the fdisk
 partition(s) just created. If you have a reasonable amount of disk
 space (200MB or more) and don't have any special requirements, simply
 use the (A)uto command to allocate space automatically. If you have
 more specific needs or just don't care for the layout chosen by
 (A)uto, press F1 for more information on manual layout.

                                [  OK  ]
                          [ Press enter or space ]</screen>

      <para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour lancer
	l'éditeur de
	partition de FreeBSD, appelé
	<application>Disklabel</application>.</para>

      <para>La <xref linkend="sysinstall-label"/> présente l'affichage
	que l'on obtient quand on lance pour la première fois
	<application>Disklabel</application>.  L'écran est
	divisé en trois parties.</para>

      <para>Les premières lignes affichent le nom du disque sur lequel
	vous êtes en train de travailler, et la tranche qui contient les
	partitions que vous êtes en train de créer (&agrave; cet
	endroit <application>Disklabel</application> nomme cela
	<literal>Partition name</literal>, nom de partition, plutôt que
	le nom slice).  Cet écran montre également la
	quantité d'espace libre dans la tranche; c'est &agrave;
	dire l'espace qui a été
	mis de côté dans la tranche, et qui n'a pas
	été encore attribué
	&agrave; une partition.</para>

      <para>Le centre de l'écran présente les partitions qui
	ont été créées, le nom du système
	de fichiers que chaque partition
	contient, leur taille, et des options concernant la création du
	système de fichiers.</para>

      <para>Le bas de l'écran donne les combinaisons de touches valides
	dans <application>Disklabel</application>.</para>

      <figure id="sysinstall-label">
	<title>L'éditeur Disklabel de sysinstall</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/disklabel-ed1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para><application>Disklabel</application> peut automatiquement
	créer des partitions pour vous et leur assigner des tailles par
	défaut.  Les tailles par défaut sont
	déterminées &agrave; l'aide d'un algorithme
	interne basé sur la taille du disque.  Essayez cette
	fonction en appuyant sur
	<keycap>A</keycap>.  Vous verrez un affichage semblable &agrave; celui
	donné par la <xref linkend="sysinstall-label2"/>.  En fonction de
	la taille de votre disque, les valeurs par défaut peuvent
	être ou non appropriées.
	Cela n'a pas d'importance, car vous n'êtes
	pas obligé d'accepter ces valeurs.</para>

	<note>
	  <para>Le partionnement par défaut assigne
	    au répertoire <filename>/tmp</filename> sa propre partition
	    plutôt que d'appartenir &agrave; la partition
	    <filename>/</filename>.  Cela permet d'éviter de remplir la
	    partition <filename>/</filename> avec des fichiers
	    temporaires.</para>
	</note>

      <figure id="sysinstall-label2">
	<title>L'éditeur Disklabel de sysinstall en mode
	  automatique</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/disklabel-auto"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Si vous décidez de ne pas utiliser les partitions
	par défaut
	et vous désirez les remplacer par les vôtres, utilisez les touches
	fléchées pour sélectionner la
	première partition, et appuyez sur <keycap>D</keycap> pour
	l'effacer.  Répétez cela pour effacer toutes les
	partitions suggérées.</para>

      <para>Pour créer la première partition
	(<literal>a</literal>, montée en
	<filename>/</filename> &mdash; racine), assurez-vous que la tranche du
	disque correcte en haut de l'écran est sélectionnée,
	et appuyez sur
	<keycap>C</keycap>.  Une boîte de dialogue s'affichera et vous
	demandera la taille de la nouvelle partition (comme montré sur
	la <xref linkend="sysinstall-label-add"/>).  Vous pouvez entrer
	la taille sous la forme du nombre de blocs disque que vous
	voulez utiliser, ou sous forme d'un nombre suivi
	soit par <literal>M</literal> pour mégaoctets,
	<literal>G</literal> pour gigaoctets, ou soit par
	<literal>C</literal> pour cylindres.</para>

      <figure id="sysinstall-label-add">
	<title>Espace libre pour la partition racine</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/disklabel-root1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>La taille par défaut proposée créera une partition qui
	occupera le reste de la tranche.  Si vous utilisez les tailles
	de partitions comme décrit dans l'exemple précédent, alors effacez la
	valeur proposée en utilisant <keycap>Backspace</keycap>,
	et ensuite tapez <userinput>512M</userinput>,
	comme présenté sur la <xref
	linkend="sysinstall-label-add2"/>.  Puis appuyez sur &gui.ok;.</para>

      <figure id="sysinstall-label-add2">
	<title>Edition de la taille de la partition racine</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/disklabel-root2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Après avoir choisi la taille de la partition on vous
	demandera si cette partition contiendra un système de fichiers
	ou de l'espace de pagination.
	La boîte de dialogue est présentée dans
	la <xref linkend="sysinstall-label-type"/>.  Cette première
	partition contiendra un système de fichiers, vérifiez
	donc que <guimenuitem>FS</guimenuitem>
	est sélectionné et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="sysinstall-label-type">
	<title>Choisir le type de la partition racine</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/disklabel-fs"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Finalement, comme vous créez un système de
	fichiers, vous devez indiquer &agrave;
	<application>Disklabel</application> où le
	système de fichiers sera monté.
	La boîte de dialogue est
	montrée sur la <xref linkend="sysinstall-label-mount"/>.  Le
	point de montage du système de fichiers racine est
	<filename>/</filename>, tapez donc <userinput>/</userinput>, et
	appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="sysinstall-label-mount">
	<title>Choisir le point de montage de la partition racine</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/disklabel-root3"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>L'affichage sera mis &agrave; jour pour montrer la partition
	nouvellement créée.  Vous devrez répéter
	cette procédure pour les
	autres partitions.  Quand vous créerez la partition de l'espace
	de pagination, on ne vous demandera pas de point de montage pour
	le système de fichiers, étant donné que les
	partitions de pagination ne sont jamais montées.
	Quand vous créez la dernière
	partition <filename>/usr</filename>, vous pouvez laisser la
	taille suggérée telle qu'elle, pour utiliser le
	reste de la tranche.</para>

      <para>Votre dernier écran de l'éditeur DiskLabel de FreeBSD
	apparaîtra semblable &agrave; la
	<xref linkend="sysinstall-label4"/>, bien que vos valeurs puissent
	être différentes.  Appuyez sur
	<keycap>Q</keycap> pour terminer.</para>

      <figure id="sysinstall-label4">
	<title>Editeur Disklabel de sysinstall</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/disklabel-ed2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>
    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="install-choosing">
    <title>Choisir ce que l'on va installer</title>

    <sect2 id="distset">
      <title>Sélectionner l'ensemble de distribution</title>

      <para>Décider quel ensemble de distribution installer
	dépendra en
	grande partie de l'utilisation prévue du système et de la
	quantité d'espace disque disponible.
	Les options prédéfinies
	vont de l'installation la plus petite possible &agrave; l'installation
	de la totalité des éléments disponibles.
	Ceux qui sont nouveaux
	&agrave; &unix; et/ou FreeBSD devraient presque certainement choisir une
	de ces options prédéfinies.  Personnaliser un ensemble de
	distribution est normalement réservé &agrave;
	l'utilisateur plus expérimenté.</para>

      <para>Appuyez sur <keycap>F1</keycap> pour plus d'informations
	sur les options des ensembles de distribution et sur ce qu'ils
	contiennent.  Une fois la lecture de l'aide terminée, l'appui
	sur <keycap>Entrée</keycap> ramènera au menu de
	sélection des distributions.</para>

      <para>Si une interface graphique utilisateur est
	désirée alors un
	ensemble de distribution qui est précédé par un
	<literal>X</literal> devra être choisi.  La configuration
	du serveur X et la sélection d'un environnement de
	travail doivent être effectuées après
	l'installation de &os;.  Plus d'information concernant la
	configuration d'un serveur X peut être trouvé
	dans le <xref linkend="x11"/>.</para>

      <para><application>&xorg;</application> est la version d'X11
	qui sera installée par défaut.</para>

      <para>Si la compilation d'un noyau personnalisé est prévue,
	sélectionnez une option qui inclut le code source.  Pour plus
	d'information sur l'intérêt d'un noyau personnalisé
	ou comment compiler un noyau personnalisé voir le <xref
	linkend="kernelconfig"/>.</para>

      <para>A l'évidence, le système le plus versatile est celui
	qui inclut tout.  S'il y a l'espace disque adéquat, choisissez
	<guimenuitem>All</guimenuitem> comme montré sur la <xref
	linkend="distribution-set1"/> en utilisant les touches
	fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.
	S'il y a un problème quant &agrave; l'espace disque
	considérez l'utilisation d'une option plus appropriée
	&agrave; la situation.  Ne vous tracassez pas au sujet des choix d'ensembles, comme les autres ensembles de distribution peuvent
	être ajoutés après l'installation.</para>

      <figure id="distribution-set1">
	<title>Choix de l'ensemble de distribution</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/dist-set"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>
    </sect2>

    <sect2 id="portscol">
      <title>Installer le catalogue des logiciels portés - &ldquo;Ports
      collection&rdquo;</title>

      <para>Après le choix de l'ensemble de distribution
	désiré, l'opportunité d'installer le catalogue
	des logiciels portés pour FreeBSD se présente.
	Le catalogue des logiciels portés est une
	méthode simple et commode pour installer des logiciels.  Le
	catalogue des logiciels portés ne contient pas le code source
	nécessaire pour compiler le logiciel.  A la place, c'est un ensemble de
	fichiers qui automatise le téléchargement, la
	compilation et l'installation de logiciels tierce-partie.  Le <xref linkend="ports"/> discute de
	l'utilisation du catalogue des logiciels portés.</para>

      <para>Le programme d'installation ne vérifie pas si vous avez
	l'espace requis.  Sélectionnez cette option uniquement si vous
	disposez de l'espace disque adéquat.  Sous
	&os;&nbsp;&rel.current;, le catalogue des logiciels portés
	occupe environ &ports.size; d'espace disque.  Vous pouvez
	sans risque envisager une plus grande valeur pour les versions
	de &os; plus récentes.</para>

<screen>                         User Confirmation Requested
 Would you like to install the FreeBSD ports collection?

 This will give you ready access to over &os.numports; ported software packages,
 at a cost of around &ports.size; of disk space when "clean" and possibly much
 more than that if a lot of the distribution tarballs are loaded
 (unless you have the extra CDs from a FreeBSD CD/DVD distribution
 available and can mount it on /cdrom, in which case this is far less
 of a problem).

 The ports collection is a very valuable resource and well worth having
 on your /usr partition, so it is advisable to say Yes to this option.

 For more information on the ports collection &amp; the latest ports,
 visit:
     http://www.FreeBSD.org/ports

                              [ Yes ]     No</screen>

      <para>Sélectionnez &gui.yes; avec les touches
	fléchées pour installer le catalogue des logiciels
	portés ou &gui.no; pour passer cette
	option.  Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer.
	Le menu de sélection de l'ensemble de distribution
	réapparaîtra.</para>

      <figure id="distribution-set2">
	<title>Confirmer le choix de la distribution</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/dist-set2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Si vous êtes satisfait avec les options, sélectionnez
	<guimenuitem>Exit</guimenuitem> avec les touches fléchées,
	vérifiez que &gui.ok; est surligné, et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap> pour continuer.</para>

    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="install-media">
    <title>Choisir votre support d'installation</title>

    <para>Si vous installez &agrave; partir d'un CDROM ou DVD, utilisez les touches
      fléchées pour sélectionner <guimenuitem>Install from
      a FreeBSD CD/DVD</guimenuitem>.
      Vérifiez que &gui.ok; est surligné, puis
      appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour procéder &agrave;
      l'installation.</para>

    <para>Pour les autre méthodes d'installation, sélectionnez
      l'option appropriée et suivez les instructions.</para>

    <para>Appuyez sur <keycap>F1</keycap> pour afficher l'aide en ligne
      pour le support d'installation.  Appuyez sur
      <keycap>Entrée</keycap> pour revenir au menu de
      sélection du support.</para>

    <figure id="choose-media">
      <title>Choisir le support d'installation</title>

      <mediaobject>
	<imageobject>
	  <imagedata fileref="install/media"/>
	</imageobject>
      </mediaobject>
    </figure>

    <note>
      <title>Modes d'installation par FTP</title>

      <indexterm>
	<primary>installation</primary>
	<secondary>réseau</secondary>
	<tertiary>FTP</tertiary>
      </indexterm>

      <para>Il y a trois modes d'installation par FTP, vous pouvez
	choisir parmi: FTP actif, FTP passif, ou par l'intermédiaire d'un
	proxy HTTP.</para>

      <variablelist>
	<varlistentry>
	  <term>FTP actif: <guimenuitem>Install from an FTP
	      server</guimenuitem></term>

	  <listitem>
	    <para>Cette option fera que tous les transferts FTP
	      utiliseront le mode &ldquo;actif&rdquo;.  Cela ne
	      fonctionnera pas &agrave; travers un coupe-feu, mais fonctionnera
	      souvent avec de vieux serveurs FTP ne supportant pas le
	      mode passif.  Si votre connexion se bloque avec le mode
	      passif (mode par défaut), essayez le mode actif!</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>FTP passif: <guimenuitem>Install from an FTP server through a
	      firewall</guimenuitem></term>

	  <listitem>
	    <indexterm>
	      <primary>FTP</primary>
	      <secondary>mode passif</secondary>
	    </indexterm>

	    <para>Cette option demande &agrave; <application>sysinstall</application> d'utiliser le mode
	      &ldquo;passif&rdquo; pour toutes les opérations FTP.  Cela
	      permet &agrave; l'utilisateur de traverser les coupes-feu qui
	      n'acceptent pas les connexions entrantes sur des ports
	      TCP aléatoires.</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>FTP par l'intermédiaire d'un proxy HTTP:
	    <guimenuitem>Install from an FTP server through a http
	    proxy</guimenuitem></term>

	  <listitem>
	    <indexterm>
	      <primary>FTP</primary>
	      <secondary>via proxy HTTP</secondary>
	    </indexterm>

	    <para>Cette option demande &agrave; <application>sysinstall</application> d'utiliser le protocole
	      HTTP (comme pour un navigateur web) pour se connecter &agrave; un
	      proxy pour toutes les opérations FTP.  Le proxy traduira
	      toutes les requêtes et les transmettra au serveur FTP.
	      Cela permet aux utilisateurs de traverser les coupes-feu
	      qui n'autorisent pas les connexions FTP, mais offrent un
	      proxy HTTP.  Dans ce cas, vous devez préciser le proxy en
	      plus du serveur FTP.</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>
      </variablelist>

      <para>Pour un serveur proxy FTP, vous devriez normalement donner
	le nom du serveur que vous désirez comme partie du nom
	d'utilisateur, après le signe &ldquo;@&rdquo;.  Le serveur proxy
	&ldquo;simulera&rdquo; le serveur réel.  Par exemple, en
	supposant que vous voulez installer &agrave; partir de <hostid
	role="fqdn">ftp.FreeBSD.org</hostid>, en utilisant le serveur proxy
	FTP <hostid role="fqdn">foo.example.com</hostid>, écoutant sur
	le port 1234.</para>

      <para>Dans ce cas, rendez-vous dans le menu d'options, et fixez le
	nom d'utilisateur FTP (&ldquo;username&rdquo;) &agrave;
	<literal>ftp@ftp.FreeBSD.org</literal>, et le mot de passe
	(&ldquo;password&rdquo;) &agrave; votre adresse émail.
	Comme support
	d'installation, vous spécifiez FTP (ou FTP passif, si le proxy
	le supporte), et l'URL
	<literal>ftp://foo.example.com:1234/pub/FreeBSD</literal>.</para>

      <para>Puisque le répertoire <filename>/pub/FreeBSD</filename> de
	<hostid role="fqdn">ftp.FreeBSD.org</hostid> est traduit par le
	proxy en <hostid role="fqdn">foo.example.com</hostid>, vous êtes
	en mesure d'installer depuis <emphasis>cette</emphasis> machine
	(qui ira chercher les fichiers sur <hostid
	role="fqdn">ftp.FreeBSD.org</hostid> quand l'installation
	réclamera des fichiers).</para>
    </note>
  </sect1>

  <sect1 id="install-final-warning">
    <title>Procéder &agrave; l'installation</title>

    <para>L'installation peut être maintenant effectuée si
      désirée.  C'est également la dernière
      chance pour annuler l'installation et
      empêcher l'écriture sur le disque dur.</para>

    <screen>                       User Confirmation Requested
 Last Chance! Are you SURE you want to continue the installation?

 If you're running this on a disk with data you wish to save then WE
 STRONGLY ENCOURAGE YOU TO MAKE PROPER BACKUPS before proceeding!

 We can take no responsibility for lost disk contents!

                             [ Yes ]    No</screen>

    <para>Sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur
      <keycap>Entrée</keycap> pour poursuivre.</para>

    <para>La durée de l'installation variera en fonction de la
      distribution choisie, du support d'installation, et de
      la vitesse de l'ordinateur.  Une série de messages sera
      affichée
      pour indiquer la progression de l'installation.</para>

    <para>L'installation est achevée quand le message suivant est
      affiché:</para>

    <screen>                               Message

Congratulations! You now have FreeBSD installed on your system.

We will now move on to the final configuration questions.
For any option you do not wish to configure, simply select No.

If you wish to re-enter this utility after the system is up, you may
do so by typing: /usr/sbin/sysinstall .

                                 [ OK ]

                      [  Press enter or space  ]</screen>

    <para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour poursuivre avec les
      configurations de post-installation.</para>

    <para>Sélectionner &gui.no; et appuyer sur
      <keycap>Entrée</keycap> annulera l'installation et aucun
      changement ne sera fait &agrave; votre système.  Le message suivant
      apparaîtra:</para>

    <screen>                                Message
Installation complete with some errors.  You may wish to scroll
through the debugging messages on VTY1 with the scroll-lock feature.
You can also choose "No" at the next prompt and go back into the
installation menus to retry whichever operations have failed.

                                 [ OK ]</screen>

    <para>Ce message est généré parce que
      rien n'a été installé.
      L'appui sur <keycap>Entrée</keycap> ramènera au menu
      principal d'installation pour quitter l'installation.</para>
  </sect1>

  <sect1 id="install-post">
    <title>Post-installation</title>

    <para>La configuration de diverses options suit l'installation.  Une
      option peut être configurée en accédant aux options de
      configuration avant de redémarrer le nouveau système
      FreeBSD ou après l'installation en utilisant la commande
      <command>sysinstall</command> et en sélectionnant
      <guimenuitem>Configure</guimenuitem>.</para>

    <sect2 id="inst-network-dev">
      <title>Configuration réseau</title>

      <para>Si vous avez précédemment configuré
	PPP pour une installation par FTP, cet écran n'apparaîtra
	pas et peut être
	configuré plus tard comme décrit ci-dessus.</para>

      <para>Pour une information détaillée sur les
	réseaux locaux et la configuration de FreeBSD en
	passerelle/routeur référez-vous au
	chapitre <link linkend="advanced-networking">Administration
	réseau avancée</link>.</para>

      <screen>                      User Confirmation Requested
   Would you like to configure any Ethernet or SLIP/PPP network devices?

                             [ Yes ]   No</screen>

      <para>Pour configurer un périphérique réseau,
	sélectionnez &gui.yes; et appuyez
	sur <keycap>Entrée</keycap>.
	Sinon, sélectionnez &gui.no; pour
	continuer.</para>

      <figure id="ed-config1">
	<title>Sélection d'un périphérique Ethernet</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/ed0-conf"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Sélectionnez l'interface &agrave; configurer avec les touches
	fléchées et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <screen>                      User Confirmation Requested
       Do you want to try IPv6 configuration of the interface?

                              Yes   [ No ]</screen>

      <para>Dans ce réseau local privé l'actuel protocole
	Internet (<acronym>IPv4</acronym>) était suffisant et &gui.no;
	a été sélectionné
	avec les touches fléchées et suivie
	d'<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <para>Si vous êtes connecté &agrave; une
	réseau (<acronym>IPv6</acronym>), existant avec un
	serveur <acronym>RA</acronym>, alors
	choisissez &gui.yes; et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.  Cela prendra plusieurs secondes pour
	rechercher des serveurs RA.</para>

      <screen>                             User Confirmation Requested
        Do you want to try DHCP configuration of the interface?

                              Yes   [ No ]</screen>

      <para>Si DHCP (&ldquo;Dynamic Host Configuration Protocol&rdquo;)
	n'est pas requis sélectionnez &gui.no;
	&agrave; l'aide des touches fléchées et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <para>Sélectionner &gui.yes; exécutera
	<application>dhclient</application>, et en cas de succès,
	complétera l'information de configuration du réseau
	automatiquement.
	Référez-vous &agrave; la <xref linkend="network-dhcp"/> pour
	plus d'information.</para>

      <para>L'écran de configuration réseau suivant montre la
	configuration du périphérique Ethernet pour un
	système qui sera
	passerelle pour un réseau local.</para>

      <figure id="ed-config2">
	<title>Configuration réseau pour ed0</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/ed0-conf2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Utilisez <keycap>Tab</keycap> pour choisir les champs
	d'information et compléter avec l'information
	appropriée:</para>

      <variablelist>
	<varlistentry>
	  <term>Host - &ldquo;Hôte&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Le nom complet de la machine, e.g. <hostid role="fqdn">k6-2.exemple.com</hostid>
	      dans ce cas.</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Domain - &ldquo;Domaine&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Le nom du domaine auquel appartient votre machine, e.g.
	      <hostid role="domainname">exemple.com</hostid> dans le cas présent.</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>IPv4 Gateway - &ldquo;Passerelle IPv4&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>L'adresse IP de l'hôte transmettant les paquets aux
	      destinations non-locales.  Vous devez complétez cela seulement si la
	      machine est un noeud sur le réseau.  <emphasis>Laissez ce
	      champ vide</emphasis> si la machine est destinée &agrave;
	      être la passerelle vers l'Internet pour le
	      réseau.  La passerelle (&ldquo;gateway&rdquo;)
	      IPv4 est également connue sous le nom de
	      passerelle par défaut ou route par
	      défaut.</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Name server - &ldquo;Serveur de Noms&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>L'adresse IP de votre serveur DNS local.  Il n'y a pas
	      de serveur DNS local sur ce réseau local privé aussi
	      l'adresse IP du serveur DNS du fournisseur d'accès
	      (<hostid role="ipaddr">208.163.10.2</hostid>) fut utilisée.</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>IPv4 address - &ldquo;Adresse IPv4&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>L'adresse IP employée pour cette interface fut
	      <hostid role="ipaddr">192.168.0.1</hostid></para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Netmask - &ldquo;Masque de sous-réseau&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Le bloc d'adresse utilisé pour ce réseau local
	      est le bloc <hostid role="ipaddr">192.168.0.0</hostid> - <hostid role="ipaddr">192.168.0.255</hostid>) avec un
	      masque de sous-réseau de <hostid role="netmask">255.255.255.0</hostid>.</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Extra options to ifconfig - &ldquo;Options
	    supplémentaires pour ifconfig&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Toutes options d'<command>ifconfig</command>
	      spécifiques aux
	      interfaces que vous voudriez ajouter.  Il n'y en avait
	      aucune dans ce cas-ci.</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

      </variablelist>

      <para>Utilisez <keycap>Tab</keycap> pour sélectionner &gui.ok;
	une fois terminé et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>


      <screen>                      User Confirmation Requested
        Would you like to Bring Up the ed0 interface right now?

                             [ Yes ]   No</screen>

      <para>La sélection de &gui.yes; suivie
	d'<keycap>Entrée</keycap> rendra l'accès réseau
	de la machine opérationnel.  Cependant, cela
	ne n'accomplit pas grand chose durant l'installation puisque
	la machine a encore besoin d'être
	redémarrée.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="gateway">
      <title>Configurer la passerelle</title>

      <screen>                       User Confirmation Requested
       Do you want this machine to function as a network gateway?

                              [ Yes ]    No</screen>

      <para>Si la machine jouera le rôle de passerelle pour le
	réseau local et transmettra les paquets entre machines alors
	sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.  Si la machine est un noeud sur le
	réseau alors sélectionnez &gui.no; et
	appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="inetd-services">
      <title>Configurer les services Internet</title>

      <screen>                      User Confirmation Requested
Do you want to configure inetd and the network services that is provides?

                               Yes   [ No ]</screen>

      <para>Si &gui.no; est sélectionné,
	divers services tel que <application>telnetd</application> ne seront
	pas activés.  Cela signifie que des utilisateurs &agrave;
	distance ne pourront pas se connecter par l'intermédiaire de
	<application>telnet</application> &agrave; cette machine.  Les
	utilisateurs locaux seront toujours en mesure d'accéder
	&agrave; des machines distantes avec
	<application>telnet</application>.</para>

      <para>Ces services peuvent être activés après
	l'installation en éditant <filename>/etc/inetd.conf</filename>
	avec votre éditeur
	de texte favori.  Voir la <xref linkend="network-inetd-overview"/> pour
	plus d'information.</para>

      <para>Choisissez &gui.yes; si vous souhaitez
	configurer ces services pendant l'installation.  Une
	confirmation supplémentaire s'affichera:</para>

      <screen>                      User Confirmation Requested
The Internet Super Server (inetd) allows a number of simple Internet
services to be enabled, including finger, ftp and telnetd.  Enabling
these services may increase risk of security problems by increasing
the exposure of your system.

With this in mind, do you wish to enable inetd?

                             [ Yes ]   No</screen>

      <para>Sélectionnez &gui.yes; pour
	continuer.</para>

      <screen>                      User Confirmation Requested
inetd(8) relies on its configuration file, /etc/inetd.conf, to determine
which of its Internet services will be available.  The default FreeBSD
inetd.conf(5) leaves all services disabled by default, so they must be
specifically enabled in the configuration file before they will
function, even once inetd(8) is enabled.  Note that services for
IPv6 must be seperately enabled from IPv4 services.

Select [Yes] now to invoke an editor on /etc/inetd.conf, or [No] to
use the current settings.

                             [ Yes ]   No</screen>

      <para>Le choix &gui.yes; permettra d'ajouter
	des services en supprimant le <literal>#</literal> au début
	d'une ligne.</para>

      <figure id="inetd-edit">
	<title>Edition d'<filename>inetd.conf</filename></title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/edit-inetd-conf"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Après avoir ajouté les services
	désirés, l'appui sur
	<keycap>Echap</keycap> affichera un menu qui permettra de
	quitter et sauver les changements.</para>

    </sect2>

    <sect2 id="ssh-login">
      <title>Autoriser les ouvertures de session SSH</title>

      <indexterm>
	<primary>SSH</primary>
	<secondary>sshd</secondary>
      </indexterm>

      <screen>                      User Confirmation Requested
                  Would you like to enable SSH login?
                           Yes        [  No  ]</screen>

      <para>Sélectionner &gui.yes; activera &man.sshd.8;, le
	programme <quote>daemon</quote> pour
	<application>OpenSSH</application>.  Cela permettra
	l'ouverture &agrave; distance de sessions
	sécurisées sur votre machine.  Pour plus
	d'information au sujet d'<application>OpenSSH</application>
	voir la <xref linkend="openssh"/>.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="ftpanon">
      <title>FTP anonyme</title>

      <indexterm>
	<primary>FTP</primary>
	<secondary>anonyme</secondary>
      </indexterm>

      <screen>                      User Confirmation Requested
 Do you want to have anonymous FTP access to this machine?

                              Yes    [ No ]</screen>

      <sect3 id="deny-anon">
	<title>Interdire l'accès FTP anonyme</title>

	<para>Choisir le &gui.no; par défaut et
	  appuyer sur <keycap>Entrée</keycap> permettra toujours aux
	  utilisateurs ayant des comptes avec mot de passe d'utiliser
	  FTP pour accéder &agrave; la machine.</para>
      </sect3>

      <sect3 id="ftpallow">
	<title>Autoriser l'accès FTP anonyme</title>

	<para>N'importe qui peut accéder &agrave; votre machine si vous
	  choisissez d'autoriser les connexions par FTP anonyme.  Les
	  implications au niveau de la sécurité devraient
	  être
	  considérées avant d'activer cette option.  Pour plus
	  d'information sur la sécurité voir le <xref
	  linkend="security"/>.</para>

	<para>Pour autoriser le FTP anonyme, utilisez les touches
	  fléchées pour sélectionner
	  &gui.yes; et appuyez sur
	  <keycap>Entrée</keycap>.
	  Une confirmation supplémentaire
	  apparaîtra:</para>

	<screen>                       User Confirmation Requested
 Anonymous FTP permits un-authenticated users to connect to the system
 FTP server, if FTP service is enabled.  Anonymous users are
 restricted to a specific subset of the file system, and the default
 configuration provides a drop-box incoming directory to which uploads
 are permitted.  You must separately enable both inetd(8), and enable
 ftpd(8) in inetd.conf(5) for FTP services to be available.  If you
 did not do so earlier, you will have the opportunity to enable inetd(8)
 again later.

 If you want the server to be read-only you should leave the upload
 directory option empty and add the -r command-line option to ftpd(8)
 in inetd.conf(5)

 Do you wish to continue configuring anonymous FTP?

                          [ Yes ]         No</screen>

	<para>Ce message vous indique que le servec FTP devra
	  également être activé dans le fichier
	  <filename>/etc/inetd.conf</filename> si vous voulez
	  autoriser les connexions FTP anonymes, voir la <xref
	  linkend="inetd-services"/>.  Sélectionnez &gui.yes; et
	  appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer;
	  l'écran suivant (ou semblable)
	  apparaîtra:</para>

	<figure id="anon-ftp2">
	  <title>Configuration par défaut du FTP anonyme</title>

	  <mediaobject>
	    <imageobject>
	      <imagedata fileref="install/ftp-anon1"/>
	    </imageobject>
	  </mediaobject>
	</figure>

	<para>Utilisez la touche <keycap>Tab</keycap> pour choisir les
	  champs d'information et compléter avec l'information
	  appropriée:</para>

	<variablelist>
	  <varlistentry>
	    <term>UID</term>

	    <listitem>
	      <para>L'ID utilisateur que vous voulez affecter
		&agrave; l'utilisateur du FTP anonyme.  Tous les
		fichiers chargés sur le serveur appartiendront
		&agrave; cet ID.</para>
	    </listitem>
	  </varlistentry>

	  <varlistentry>
	    <term>Group - <quote>Groupe</quote></term>

	    <listitem>
	      <para>Le groupe auquel appartiendra l'utilisateur du FTP
		anonyme.</para>
	    </listitem>
	  </varlistentry>

	  <varlistentry>
	    <term>Comment - <quote>Commentaire</quote></term>

	    <listitem>
	      <para>La chaîne de caractères
		décrivant cet utilisateur dans le fichier
		<filename>/etc/passwd</filename>.</para>
	    </listitem>
	  </varlistentry>

	  <varlistentry>
	    <term>FTP Root Directory - <quote>Répertoire racine
	      FTP</quote></term>

	    <listitem>
	      <para>L'emplacement où seront conservés
		les fichiers du FTP anonyme.</para>
	    </listitem>
	  </varlistentry>

	  <varlistentry>
	    <term>Upload Subdirectory - <quote>Sous-répertoire
	      de téléchargement</quote></term>

	    <listitem>
	      <para>L'emplacement où seront stockés les
		fichiers téléchargés sur le
		serveur par les utilisateurs du FTP anonyme.</para>
	    </listitem>
	  </varlistentry>
	</variablelist>

	<para>Le répertoire racine du FTP sera placé dans
	  <filename>/var</filename> par défaut.  Si vous n'avez pas de
	  place &agrave; cet endroit pour les besoins prévus du FTP, le
	  répertoire <filename>/usr</filename> pourra être
	  utilisé en
	  configurant le répertoire racine FTP &agrave;
	  <filename>/usr/ftp</filename>.</para>

	<para>Quand vous êtes satisfait de ces valeurs, appuyez sur
	  <keycap>Entrée</keycap> pour continuer.</para>

	<screen>                          User Confirmation Requested
         Create a welcome message file for anonymous FTP users?

                              [ Yes ]    No</screen>

	<para>Si vous sélectionnez &gui.yes; et
	  appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>, un éditeur sera
	  automatiquement lancé vous permettant d'éditer le
	  message.</para>

	<figure id="anon-ftp4">
	  <title>Edition du message de bienvenue du FTP</title>

	  <mediaobject>
	    <imageobject>
	      <imagedata fileref="install/ftp-anon2"/>
	    </imageobject>
	  </mediaobject>
	</figure>

	<para>C'est un éditeur de texte appelé
	  <command>ee</command>.
	  Utilisez les instructions pour modifier le message ou
	  faites-le plus tard en utilisant l'éditeur de texte de votre
	  choix.  Notez l'emplacement/le nom du fichier au bas de
	  l'écran.</para>

	<para>Appuyez sur <keycap>Echap</keycap> et une boîte de
	  dialogue apparaîtra avec l'option <guimenuitem>a) leave
	  editor</guimenuitem> sélectionnée.  Appuyez sur
	  <keycap>Entrée</keycap> pour quitter et continuer.
	  Appuyez &agrave; nouveau sur <keycap>Entrée</keycap>
	  pour sauvegarder les modifications si vous en avez
	  fait.</para>
      </sect3>
    </sect2>

    <sect2 id="nfsconf">
      <title>Configurer le système de fichiers réseau -
	NFS</title>

      <para>Le système de fichiers réseau (NFS) permet le
	partage de fichiers &agrave; travers un réseau.  Une machine
	peut être configurée en serveur, client, ou les deux.
	Référez-vous &agrave; la <xref
	linkend="network-nfs"/> pour plus d'information.</para>

      <sect3 id="nsf-server-options">
	<title>Serveur NFS</title>

	<screen>                       User Confirmation Requested
 Do you want to configure this machine as an NFS server?

                              Yes    [ No ]</screen>

	<para>S'il n'y a aucun de besoin de serveur NFS,
	  sélectionnez &gui.no; et appuyez sur
	  <keycap>Entrée</keycap>.</para>

	<para>Si &gui.yes; est choisi, un message
	  apparaîtra indiquant que le fichier
	  <filename>exports</filename> doit être
	  créé.</para>

	<screen>                               Message
Operating as an NFS server means that you must first configure an
/etc/exports file to indicate which hosts are allowed certain kinds of
access to your local file systems.
Press [Enter] now to invoke an editor on /etc/exports
                               [ OK ]</screen>

	<para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer.  Un
	  éditeur de texte sera lancé pour permettre la
	  création et
	  l'edition du fichier <filename>exports</filename>.</para>

	<figure id="nfs-server-edit">
	  <title>Edition du fichier <filename>exports</filename></title>

	  <mediaobject>
	    <imageobject>
	      <imagedata fileref="install/nfs-server-edit"/>
	    </imageobject>
	  </mediaobject>
	</figure>

	<para>Suivez les instructions pour ajouter les systèmes de
	  fichiers &agrave; exporter maintenant ou plus tard en utilisant
	  l'éditeur de texte de votre choix.  Notez le nom/l'emplacement
	  au bas de l'écran de l'éditeur.</para>

	<para>Appuyez sur <keycap>Echap</keycap> et une boîte de
	  dialogue apparaîtra avec l'option <guimenuitem>a) leave
	  editor</guimenuitem> sélectionnée.  Appuyez sur
	  <keycap>Entrée</keycap> pour quitter et continuer.</para>
      </sect3>

      <sect3 id="nfs-client-options">
	<title>Client NFS</title>

	<para>Le client NFS permet &agrave; votre machine
	  d'accéder &agrave; des serveurs NFS.</para>

	<screen>                       User Confirmation Requested
 Do you want to configure this machine as an NFS client?

                              Yes   [ No ]</screen>

	<para>Avec les touches fléchées, sélectionnez
	  &gui.yes; ou
	  &gui.no; selon vos besoins et appuyez
	  sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>
      </sect3>
    </sect2>

    <sect2 id="console">
      <title>Configuration de la console système</title>

      <para>Ils y a plusieurs options disponibles pour personnaliser la
	console système.</para>

      <screen>                      User Confirmation Requested
       Would you like to customize your system console settings?

                              [ Yes ]  No</screen>

      <para>Pour visualiser et configurer ces options, sélectionnez
	&gui.yes; et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="saver-options">
	<title>Options de configuration de la console système</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/console-saver1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Une option généralement utilisée est
	l'économiseur d'écran.
	Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
	<guimenuitem>Saver</guimenuitem> et appuyez ensuite sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="saver-select">
	<title>Options de l'économiseur d'écran</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/console-saver2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Sélectionnez l'économiseur d'écran
	désiré en utilisant les
	touches fléchées et puis appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.
	Le menu de configuration de la console système
	réapparaîtra.</para>

      <para>L'intervalle de temps par défaut est de 300 secondes.  Pour
	changer cet intervalle de temps, sélectionnez
	<guimenuitem>Saver</guimenuitem> &agrave; nouveau.  Au menu de
	configuration de l'économiseur d'écran,
	sélectionnez
	<guimenuitem>Timeout</guimenuitem> en utilisant les touches
	fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.
	Une boîte de dialogue apparaîtra:</para>

      <figure id="saver-timeout">
	<title>Délai de l'économiseur d'écran</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/console-saver3"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>La valeur peut être changée, ensuite
	sélectionnez &gui.ok;
	et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour retourner au menu de
	configuration de la console système.</para>

      <figure id="saver-exit">
	<title>Sortie de la configuration de la console système</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/console-saver4"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>En sélectionnant <guimenuitem>Exit</guimenuitem> et en
	appuyant sur <keycap>Entrée</keycap> on poursuivra avec les
	options de post-installation.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="timezone">
      <title>Réglage du fuseau horaire</title>

      <para>Régler le fuseau horaire sur votre machine lui permettra de
	corriger automatiquement tout changement horaire régional et
	d'exécuter d'autres fonctions liées au fuseau horaire
	correctement.</para>

      <para>L'exemple présenté est pour une machine
	située dans le
	fuseau horaire oriental des Etats-Unis.  Vos choix changeront en
	fonction de votre position géographique.</para>

      <screen>                      User Confirmation Requested
          Would you like to set this machine's time zone now?

                            [ Yes ]   No</screen>

      <para>Sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap> pour régler le fuseau
	horaire.</para>

      <screen>                       User Confirmation Requested
 Is this machine's CMOS clock set to UTC? If it is set to local time
 or you don't know, please choose NO here!

                              Yes   [ No ]</screen>

      <para>Sélectionnez &gui.yes;
	ou &gui.no; en fonction de la configuration
	de l'horloge de la machine et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="set-timezone-region">
	<title>Choisissez votre région</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/timezone1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>La région appropriée est sélectionnée
	en utilisant les touches fléchées, puis en appuyant sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="set-timezone-country">
	<title>Sélectionnez votre pays</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/timezone2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Sélectionnez le pays approprié en utilisant les
	touches fléchées et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="set-timezone-locality">
	<title>Sélectionnez votre fuseau horaire</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/timezone3"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Le fuseau horaire approprié est sélectionné
	en utilisant les touches fléchées et en appuyant sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <screen>                            Confirmation
            Does the abbreviation 'EDT' look reasonable?

                            [ Yes ]   No</screen>

      <para>Confirmez que l'abréviation pour le fuseau horaire est
	correcte.  Si cela semble bon, appuyez sur <keycap>Enter</keycap>
	pour continuer avec la configuration de post-installation.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="linuxcomp">
      <title>Compatibilité Linux</title>

      <screen>                      User Confirmation Requested
          Would you like to enable Linux binary compatibility?

                            [ Yes ]   No</screen>

      <para>La sélection de &gui.yes; et l'appui
	sur <keycap>Entrée</keycap> permettra d'exécuter des
	logiciels Linux sous FreeBSD.  L'installation ajoutera les logiciels
	pré-compilés appropriés pour la
	compatibilité Linux.</para>

      <para>Si l'on installe par FTP, la machine devra être
	connectée &agrave; l'Internet.  Parfois un site FTP distant
	n'aura pas tous les ensembles de distributions comme la
	compatibilité binaire Linux.  Cela peut être
	installé plus tard si nécessaire.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="mouse">
      <title>Configuration de la souris</title>

      <para>Cette option vous permettra de copier-coller du texte dans
	la console et les programmes utilisateur avec une souris 3
	boutons.  Si vous utilisez une souris 2 boutons,
	référez-vous &agrave;
	la page de manuel &man.moused.8;, après l'installation pour des
	détails sur l'émulation du troisième bouton.
	Cet exemple décrit
	la configuration d'une souris non-USB (comme une souris PS/2
	ou sur port COM):</para>

      <screen>                      User Confirmation Requested
         Does this system have a PS/2, serial, or bus mouse?

                            [ Yes ]   No</screen>

      <para>Sélectionnez &gui.yes; pour une souris
	PS/2 ou série, ou &gui.no; pour une souris USB et
	appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="mouse-protocol">
	<title>Sélectionner la configuration du protocole de la souris</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/mouse1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
	<guimenuitem>Type</guimenuitem> et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="set-mouse-protocol">
	<title>Configurer le protocole de la souris</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/mouse2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>La souris utilisée dans cet exemple est de type PS/2, aussi
	la valeur par défaut <guimenuitem>Auto</guimenuitem> était
	appropriée.  Pour changer le protocole, utilisez les touches
	fléchées pour sélectionner une autre option.
	Vérifiez que &gui.ok; est surligné puis appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap> pour quitter ce menu.</para>

      <figure id="config-mouse-port">
	<title>Configuration du port de la souris</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/mouse3"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
	<guimenuitem>Port</guimenuitem> et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="set-mouse-port">
	<title>Choisir le port de la souris</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/mouse4"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Ce système avait une souris PS/2, aussi la valeur par
	défaut <guimenuitem>PS/2</guimenuitem> était
	appropriée.  Pour changer le port, utilisez les touches
	fléchées et puis appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="test-daemon">
	<title>Activer le &ldquo;daemon&rdquo; - gestionnaire de la
	  souris</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/mouse5"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Finalement, utilisez les touches fléchées
	pour sélectionner <guimenuitem>Enable</guimenuitem>, et
	appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour activer et
	tester le gestionnaire de la souris.</para>

      <figure id="test-mouse-daemon">
	<title>Tester le gestionnaire de la souris</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/mouse6"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Déplacez la souris sur l'écran et vérifiez
	que le curseur répond correctement.  Si c'est le
	cas, sélectionnez &gui.yes;
	et appuyez sur <keycap>Enter</keycap>.  Si ce n'est pas
	le cas, la souris n'a pas été configurée
	correctement &mdash; sélectionnez &gui.no;
	et essayez d'utiliser des options de configuration
	différentes.</para>

      <para>Sélectionnez
	<guimenuitem>Exit</guimenuitem> avec les touches fléchées
	et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer la
	configuration de post-installation.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="packages">
    <title>Installer des logiciels pré-compilés -
      &ldquo;packages&rdquo;</title>

      <para>Les &ldquo;packages&rdquo; sont des logiciels
	pré-compilés
	et sont une manière commode d'installer des programmes.</para>

      <para>L'installation d'un logiciel pré-compilé est
	présenté comme illustration.
	Des logiciels pré-compilés supplémentaires
	peuvent être également ajoutés &agrave; ce
	moment-l&agrave; si désiré.  Après
	l'installation <command>sysinstall</command> peut être
	utilisé pour ajouter des logiciels pré-compilés
	supplémentaires.</para>

      <screen>                     User Confirmation Requested
 The FreeBSD package collection is a collection of hundreds of
 ready-to-run applications, from text editors to games to WEB servers
 and more. Would you like to browse the collection now?

                            [ Yes ]   No</screen>

      <para>La sélection de &gui.yes; et
	l'appui sur <keycap>Entrée</keycap> seront suivis par les
	écrans de sélection des logiciels
	pré-compilés:</para>

      <figure id="package-category">
	<title>Sélection d'une catégorie de logiciels
	  pré-compilés</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/pkg-cat"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Seuls les logiciels du support d'installation sont
	disponibles pour être installés &agrave;
	n'importe quel moment.</para>

      <para>Tous les logiciels disponibles seront affichés si
	<guimenuitem>All</guimenuitem> est sélectionné ou
	vous pouvez choisir une catégorie particulière.
	Faites votre sélection en
	utilisant les touches fléchées puis appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <para>Un menu s'affichera en montrant tous les logiciels
	pré-compilés disponibles pour la catégorie
	sélectionnée:</para>

      <figure id="package-select">
	<title>Sélection des logiciels pré-compilés</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/pkg-sel"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>L'interpréteur de commande <application>bash</application>
	apparaît sélectionné.  Choisissez autant de
	logiciels que désiré
	en les surlignant et en appuyant sur la touche
	<keycap>Espace</keycap>.  Une courte description de chaque
	logiciel apparaîtra dans le coin inférieur gauche de
	l'écran.</para>

      <para>En appuyant sur la touche <keycap>Tab</keycap> on basculera
	entre le dernier logiciel pré-compilé, &gui.ok;, et
	&gui.cancel;.</para>

      <para>Quand vous avez fini de marquer les logiciels
	pré-compilés
	pour l'installation, appuyez sur <keycap>Tab</keycap> une
	nouvelle fois pour basculer sur &gui.ok; et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap> pour revenir au menu de sélection
	des logiciels pré-compilés.</para>

      <para>Les touches fléchées gauche et droite basculeront
	également entre &gui.ok; et &gui.cancel;.
	Cette méthode peut être utilisée pour
	sélectionner &gui.ok; et ensuite appuyer sur
	<keycap>Entrée</keycap> pour retourner au menu de
	sélection des
	logiciels pré-compilés.</para>

      <figure id="package-install">
	<title>Installation des logiciels pré-compilés</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/pkg-install"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Utilisez la touche <keycap>Tab</keycap> et les touches fléchées pour sélectionner
	<guibutton>[ Install ]</guibutton> et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.  Vous devrez alors confirmer que vous
	voulez installer les logiciels pré-compilés:</para>

      <figure id="package-install-confirm">
	<title>Confirmation de l'installation de logiciels pré-compilés</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/pkg-confirm"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Sélectionner &gui.ok; et l'appui sur
	<keycap>Entrée</keycap> lancera l'installation des logiciels.
	Des messages d'installation apparaîtront jusqu'&agrave; la fin de
	l'installation.  Prenez note des éventuels messages
	d'erreur.</para>

      <para>La configuration se poursuit après que les logiciels
	pré-compilés soient installés.  Si vous
	ne choisissez aucun logiciel, et souhaitez retourner &agrave; la
	configuration finale, sélectionnez
	<guibutton>Install</guibutton>.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="addusers">
      <title>Ajouter des Utilisateurs/Groupes</title>

      <para>Vous devriez ajouter au moins un utilisateur pendant
	l'installation de sorte que vous puissiez utiliser le système
	sans être attaché en tant que <username>root</username>.
	La partition racine est généralement petite et utiliser
	des applications en tant que <username>root</username> peut
	rapidement la remplir.  Un plus grand danger est signalé
	ci-dessous:</para>

      <screen>                     User Confirmation Requested
 Would you like to add any initial user accounts to the system? Adding
 at least one account for yourself at this stage is suggested since
 working as the "root" user is dangerous (it is easy to do things which
 adversely affect the entire system).

                            [ Yes ]   No</screen>

      <para>Sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap> pour continuer avec l'ajout d'un
	utilisateur.</para>

      <figure id="add-user2">
	<title>Sélectionner l'ajout d'utilisateur</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/adduser1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Sélectionnez <guimenuitem>User</guimenuitem> avec les touches
	fléchées et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.</para>

      <figure id="add-user3">
	<title>Ajout de l'information utilisateur</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/adduser2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Les descriptions suivantes apparaîtront dans la partie
	inférieure de l'écran au fur et &agrave; mesure que les
	éléments seront sélectionnés avec
	<keycap>Tab</keycap> pour aider dans l'entrée
	des informations nécessaires:</para>

      <variablelist>
	<varlistentry>
	  <term>Login ID - &ldquo;Indentifiant&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>L'identifiant du nouvel utilisateur (obligatoire).</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>UID</term>

	  <listitem>
	    <para>L'identifiant numérique pour cet utilisateur (laisser
	      tel quel pour le choix automatique).</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Group - &ldquo;Groupe&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Le nom du groupe pour cet utilisateur (laisser
	      tel quel pour le choix automatique).</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Password - &ldquo;Mot de passe&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Le mot de passe pour cet utilisateur (compléter ce
	      champ avec précaution!).</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Full name - &ldquo;Nom complet&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Le nom complet de l'utilisateur (commentaire).</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Member groups - &ldquo;Membre des groupes&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Les groupes auxquels appartient l'utilisateur (i.e.
	      dont il a les droits accès).</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Home directory - &ldquo;Répertoire
	    d'utilisateur&rdquo;</term>

	  <listitem>
	    <para>Le répertoire de l'utilisateur (laisser
	      tel quel pour le choix automatique).</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>

	<varlistentry>
	  <term>Login shell - &ldquo;L'interpréteur de
	    commande&rdquo;</term>
	  <listitem>
	    <para>L'interpréteur de commande de l'utilisateur (laisser
	      tel quel pour le choix automatique, i.e.
	      <filename>/bin/sh</filename>).</para>
	  </listitem>
	</varlistentry>
      </variablelist>

      <para>On a changé l'interpréteur de commande
	<filename>/bin/sh</filename> pour
	<filename>/usr/local/bin/bash</filename> afin d'utiliser
	<application>bash</application> qui a été installé
	précédemment sous forme de logiciel
	pré-compilé.  N'essayez pas d'utiliser un
	interpréteur de commande qui n'existe pas ou vous ne serez pas
	en mesure d'ouvrir de session.  L'interpréteur de
	commande le plus commun dans le monde BSD est
	l'interpréteur C shell, qui peut être
	spécifié &agrave; l'aide de
	<filename>/bin/tcsh</filename>.</para>

      <para>L'utilisateur a aussi été ajouté au groupe
	<groupname>wheel</groupname> pour qu'il puisse devenir
	super-utilisateur avec les privilèges de
	<username>root</username>.</para>

      <para>Quand vous êtes satisfait, appuyez sur &gui.ok; et le menu
	de gestion des utilisateurs et des groupes
	réapparaîtra:</para>

      <figure id="add-user4">
	<title>Quitter la gestion des utilisateurs et des groupes</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/adduser3"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Des groupes peuvent également être ajoutés
	&agrave; ce moment si des besoins spécifiques sont connus.
	Sinon, cela pourra être
	fait en utilisant <command>sysinstall</command> quand
	l'installation sera achevée.</para>

      <para>Quand vous en avez terminé avec l'ajout d'utilisateurs,
	sélectionnez <guimenuitem>Exit</guimenuitem> avec les touches
	fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>
	pour continuer l'installation.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="rootpass">
      <title>Définir le mot de passe de <username>root</username></title>

      <screen>                        Message
 Now you must set the system manager's password.
 This is the password you'll use to log in as "root".

                         [ OK ]

               [ Press enter or space ]</screen>

      <para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour définir le
	mot de passe de <username>root</username>.</para>

      <para>Le mot de passe devra être saisi deux fois correctement.
	Inutile de dire, que vous devez vous assurer d'avoir un moyen
	de retrouver le mot de passe si vous l'oubliez.  Notez que le
	mot de passe que vous taperez ne s'affichera pas, il ne sera
	pas non plus remplacé par des astérisques.</para>

      <screen>New password:
Retype new password :</screen>

      <para>L'installation continuera après que le mot de passe ait
	été entré avec succès.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="exit-inst">
      <title>Quitter l'installation</title>

      <para>Si vous devez configurer des <link
	linkend="network-services">services
	réseau supplémentaires</link> ou toute autre
	configuration, vous pouvez le faire &agrave; ce moment-l&agrave;
	ou après l'installation en
	utilisant <command>sysinstall</command>.</para>

      <screen>                     User Confirmation Requested
 Visit the general configuration menu for a chance to set any last
 options?

                              Yes   [ No ]</screen>

      <para>Sélectionnez &gui.no; avec les touches
	fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>
	pour retourner au menu principal d'installation.</para>

      <figure id="final-main">
	<title>Quitter l'installation</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/mainexit"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Sélectionnez <guibutton>[X Exit Install]</guibutton> avec les
	touches fléchées et appuyez sur
	<keycap>Entrée</keycap>.  On vous demandera de confirmer
	votre désir de quitter l'installation:</para>

      <screen>                     User Confirmation Requested
 Are you sure you wish to exit? The system will reboot (be sure to
 remove any floppies/CDs/DVDs from the drives).

                            [ Yes ]   No</screen>

      <para>Sélectionnez &gui.yes; et retirez la
	disquette si vous avez démarré depuis le lecteur de
	disquette.
	Le lecteur de CDROM est verrouillé jusqu'au redémarrage
	de la machine.  Le lecteur de CDROM est alors
	déverrouillé et le CDROM
	peut être retiré du lecteur (rapidement).</para>

      <para>Le système redémarrera aussi faites attention
	&agrave; tout message d'erreur qui pourrait apparaître, voir
	la <xref linkend="freebsdboot"/> pour plus de
	détails.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="network-services">
      <sect2info>
	<authorgroup>
	  <author>
	    <firstname>Tom</firstname>
	    <surname>Rhodes</surname>
	    <contrib>Contribution de </contrib>
	  </author>
	</authorgroup>
      </sect2info>
      <title>Configuration des services réseaux
	supplémentaires</title>

      <para>La configuration des services réseaux peut
	être une tâche intimidante pour les nouveaux
	utilisateurs s'ils ne possèdent pas de connaissances
	dans ce domaine.  L'accès réseau, y compris
	l'Internet, est un élément essentiel de tout
	système d'exploitation moderne, c'est le cas de &os;;
	il en résulte, qu'il est très utile de
	comprendre un peu les capacités réseau
	étendues de &os;.  Effectuer cette configuration lors
	de l'installation garantira que les utilisateurs ont une
	compréhension des divers services qui leur sont
	disponibles.</para>

      <para>Les services réseaux sont des programmes qui
	acceptent des entrées depuis n'importe quel endroit du
	réseau.  De nombreux efforts sont fait pour s'assurer
	que ces programmes ne feront rien de &ldquo;nocif&rdquo;.
	Malheureusement, les programmeurs ne sont pas parfait et par
	le passé il y a eu des cas où des bogues dans
	les services réseaux ont été
	exploités par des personnes malveillantes pour faire de
	mauvaises choses.  Il est donc important que vous n'activiez
	que les services dont vous avez besoin.  Dans le doute, il
	vaut mieux que vous n'activiez pas un service réseau
	avant que vous ne vous rendiez compte que vous en avez
	réellement besoin.  Vous pouvez toujours l'activer plus
	tard en relançant <application>sysinstall</application>
	ou en utilisant les options fournies par le fichier
	<filename>/etc/rc.conf</filename>.</para>

      <para>Sélectionner <guimenu>Networking</guimenu> fera
	apparaître un menu similaire au suivant:</para>

      <figure id="network-configuration">
	<title>Configuration réseau</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/net-config-menu1"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>La première option,
	<guimenuitem>Interfaces</guimenuitem>, a été
	précédemment abordée dans la <xref
	linkend="inst-network-dev"/>, aussi cette option peut
	être ignorée sans risque.</para>

      <para>La sélection de l'option
	<guimenuitem>AMD</guimenuitem> ajoute le support de
	l'utilitaire de montage automatique <acronym>BSD</acronym>.
	Il est généralement employé en
	conjonction avec le protocole <acronym>NFS</acronym> (voir
	plus bas) pour monter automatiquement les systèmes de
	fichiers distants.  Aucune configuration particulière
	n'est ici nécessaire.</para>

      <para>La ligne suivante est l'option <guimenuitem>AMD
	Flags</guimenuitem>.  Quand elle est
	sélectionnée, un menu s'affichera pour que vous
	puissiez saisir les paramètres spécifiques
	&agrave; <acronym>AMD</acronym>.  Le menu affiche
	déj&agrave; un ensemble d'options par
	défaut:</para>

      <screen>-a /.amd_mnt -l syslog /host /etc/amd.map /net /etc/amd.map</screen>

      <para>L'option <option>-a</option> fixe l'emplacement de
	montage par défaut qui est ici
	<filename>/.amd_mnt</filename>.  L'option
	<option>-l</option> spécifie le fichier journal par
	défaut, cependant quand <literal>syslogd</literal> est
	utilisé toutes les traces seront envoyées au
	&ldquo;daemon&rdquo; gérant les journaux
	systèmes.  Le répertoire <filename
	class="directory">/host</filename> est employé pour
	monter un système de fichiers exporté par une
	machine distante, tandis que le répertoire <filename
	class="directory">/net</filename> est utilisé pour
	monter un système de fichiers exporté &agrave;
	partir d'une adresse <acronym>IP</acronym>.  Le fichier
	<filename>/etc/amd.map</filename> définit les options
	par défaut pour les exportations
	<acronym>AMD</acronym>.</para>

      <indexterm>
	<primary>FTP</primary>
	<secondary>anonyme</secondary>
      </indexterm>

      <para>L'option <guimenuitem>Anon FTP</guimenuitem> autorise les
	connexions <acronym>FTP</acronym> anonymes.
	Sélectionnez cette option pour faire de la machine un
	serveur <acronym>FTP</acronym> anonyme.  Soyez cependant
	conscient des risques de sécurité
	impliqués avec cette option.  Un autre menu sera
	affiché pour expliquer les risques au niveau de la
	sécurité et la configuration en
	détail.</para>

      <para>Le menu de configuration
	<guimenuitem>Gateway</guimenuitem> paramétrera la
	machine pour agir en passerelle comme expliqué
	précédemment.  Cela peut être
	utilisé pour désactiver l'option
	<guimenuitem>Gateway</guimenuitem> si vous l'avez
	sélectionné accidentellement durant le processus
	d'installation.</para>

      <para>L'option <guimenuitem>Inetd</guimenuitem> peut être
	utilisée pour configurer ou complètement
	désactiver le &ldquo;daemon&rdquo; &man.inetd.8; comme
	exposé plus haut.</para>

      <para>L'option <guimenuitem>Mail</guimenuitem> est
	employée pour configurer l'agent de transfert du
	courrier électronique (&ldquo;MTA&rdquo;) par
	défaut du système.  Choisir cette option fera
	afficher le menu suivant:</para>

      <figure id="mta-selection">
	<title>Sélection du MTA par défaut</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/mta-main"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>On vous propose ici un choix de <acronym>MTA</acronym>
	&agrave; installer et &agrave; utiliser par défaut.  Un
	<acronym>MTA</acronym> n'est ni plus ni moins qu'un serveur de
	courrier électronique qui délivre le courrier
	électronique aux utilisateurs sur le système ou
	sur l'Internet.</para>

      <para>Sélectionner <guimenuitem>Sendmail</guimenuitem>
	installera le serveur <application>sendmail</application> qui
	est celui par défaut sous &os;. L'option
	<guimenuitem>Sendmail local</guimenuitem> fera en sorte que
	<application>sendmail</application> soit le
	<acronym>MTA</acronym> par défaut, mais
	désactivera sa capacité &agrave; recevoir du
	courrier électronique en provenance de l'Internet.  Les
	autres options, <guimenuitem>Postfix</guimenuitem> et
	<guimenuitem>Exim</guimenuitem> agissent de façon
	similaire &agrave; <guimenuitem>Sendmail</guimenuitem>.  Dans
	les deux cas le courrier électronique sera
	également distribué; cependant, certains
	utilisateurs, préfèrent ces alternatives au
	<acronym>MTA</acronym>
	<application>sendmail</application>.</para>

      <para>Après la sélection d'un
	<acronym>MTA</acronym>, ou avoir choisi de ne pas
	sélectionner de MTA, le menu de configuration du
	réseau apparaîtra avec l'option suivante qui est
	<guimenuitem>NFS client</guimenuitem>.</para>

      <para>L'option <guimenuitem>NFS client</guimenuitem> configurera
	le système pour communiquer avec un serveur via
	<acronym>NFS</acronym>.  Un serveur <acronym>NFS</acronym>
	rend disponible &agrave; d'autres serveurs des systèmes
	de fichiers par l'intermédiaire du protocole
	<acronym>NFS</acronym>.  Si c'est une machine
	indépendante, cette option peut rester
	désactivée.  Ce système peut demander
	plus de configuration ultérieurement, consultez la
	<xref linkend="network-nfs"/> pour plus d'informations sur la
	configuration du client et du serveur.</para>

      <para>Sous cette option se trouve l'option <guimenuitem>NFS
	server</guimenuitem>, vous permettant de configurer le
	système comme serveur <acronym>NFS</acronym>.  Ceci
	ajoute l'information nécessaire pour démarrer
	les services d'appel de procédures distantes
	(<acronym>RPC</acronym>).  Les RPC sont utilisées pour
	coordonner les connexions entre machines et programmes.</para>

      <para>L'option suivante est <guimenuitem>Ntpdate</guimenuitem>,
	qui traite de la synchronisation de l'horloge.  Quand cette
	option est sélectionnée, un menu semblable au
	suivant apparaît:</para>

      <figure id="Ntpdate-config">
	<title>Configuration de ntpdate</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/ntp-config"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>A partir de ce menu, sélectionnez le serveur le
	plus proche de chez vous.  En choisir un proche rendra la
	synchronisation plus précise qu'avec un serveur
	éloigné qui pourra présenter plus de
	délais dans la connexion.</para>

      <para>L'option suivante est la sélection de
	<acronym>PCNFSD</acronym>.  Cette option installera le
	paquetage <filename role="package">net/pcnfsd</filename>.
	C'est un programme très utile qui fournit des services
	d'authentification pour les systèmes qui sont dans
	l'incapacité de fournir leur propre service
	d'authentification, comme le système d'exploitation
	&ms-dos; de Microsoft.</para>

      <para>Maintenant vous devez faire défiler l'écran
	vers le bas pour voir les autres option:</para>

      <figure id="Network-configuration-cont">
	<title>Configuration réseau suite</title>

	<mediaobject>
	  <imageobject>
	    <imagedata fileref="install/net-config-menu2"/>
	  </imageobject>
	</mediaobject>
      </figure>

      <para>Les utilitaires &man.rpcbind.8;, &man.rpc.statd.8;, et
	&man.rpc.lockd.8; sont utilisés pour les appels de
	procédures distantes (<acronym>RPC</acronym>).
	L'utilitaire <command>rpcbind</command> gère la
	communication entre serveurs et clients
	<acronym>NFS</acronym>, et est nécessaire aux serveurs
	<acronym>NFS</acronym> pour fonctionner correctement.  Le
	&ldquo;daemon&rdquo; <application>rpc.statd</application>
	interagit avec le &ldquo;daemon&rdquo;
	<application>rpc.statd</application> d'autres machines pour
	fournir une possibilité de surveiller l'état des
	communications.  Le rapport est généralement
	conservé dans le fichier
	<filename>/var/db/statd.status</filename>.  La dernière
	option proposée ici est l'option
	<guimenuitem>rpc.lockd</guimenuitem>, qui, quand elle est
	sélectionnée, fournira des services de
	verrouillage des fichiers.  Cela est habituellement
	utilisé avec <application>rpc.statd</application> pour
	surveiller quelles machines demandent des verrous et la
	fréquence de ces demandes.  Alors que ces options sont
	parfaites pour le déboguage, elles ne sont pas
	nécessaires pour le bon fonctionnement des serveurs et
	clients <acronym>NFS</acronym>.</para>

      <para>En parcourant la liste, l'option suivante est
	<guimenuitem>Routed</guimenuitem>, qui est le
	&ldquo;daemon&rdquo; de routage.  L'utilitaire &man.routed.8;
	gère les tables de routage réseau, repère
	les routeurs multicast, et fournit sur demande une copie des
	tables de routage &agrave; toute machine connectée sur
	le réseau.  Ceci est principalement utilisé pour
	les machines jouant le rôle de passerelle pour le
	réseau local.  Quand cette option est
	sélectionnée, un menu apparaîtra demandant
	l'emplacement par défaut de l'utilitaire.  Cet
	emplacement par défaut est déj&agrave;
	défini pour vous, et peut être acquitté
	avec la touche <keycap>Entrée</keycap>.  Vous sera
	alors présenté un nouveau menu, demandant cette
	fois les paramètres &agrave; passer &agrave;
	<application>routed</application>.  Par défaut:
	<option>-q</option> qui devrait apparaître sur
	l'écran.</para>

      <para>La ligne suivante est l'option
	<guimenuitem>Rwhod</guimenuitem>, qui quand elle est
	sélectionnée, lancera le &ldquo;daemon&rdquo;
	&man.rwhod.8; &agrave; l'initialisation du système.
	L'utilitaire <command>rwhod</command> diffuse les messages
	système sur le réseau
	régulièrement, ou les collecte quand il est dans
	le mode &ldquo;consumer&rdquo;.  Plus d'informations peuvent
	être obtenues dans les pages de manuel &man.ruptime.1;
	et &man.rwho.1;.</para>

      <para>L'option suivante dans la liste est le
	&ldquo;daemon&rdquo; &man.sshd.8;.  C'est le serveur de
	connexions sécurisées pour
	<application>OpenSSH</application> et est hautement
	recommandé &agrave; la place de
	<application>telnet</application> et des serveurs
	<acronym>FTP</acronym>.  Le serveur
	<application>sshd</application> est employé pour
	créer une connexion sécurisée d'une
	machine vers une autre en utilisant des connexions
	cryptées.</para>

      <para>Enfin, il y a l'option <guimenuitem>TCP
	Extensions</guimenuitem>.  Celle-ci active les extensions
	<acronym>TCP</acronym> comme définies dans les
	<acronym>RFC</acronym>&nbsp;1323 et
	<acronym>RFC</acronym>&nbsp;1644.  Alors que cela peut sur
	certaines machines rendre les connexions plus rapides, cela
	peut également être &agrave; l'origine de pertes
	de connexion.  Cette option n'est pas recommandée pour
	les serveurs, mais peut être bénéfique
	pour les machines individuelles.</para>

      <para>Une fois que vous avez configuré les services
	réseaux, vous pouvez remonter l'écran
	jusqu'&agrave; la toute première option qui est
	<guimenuitem>X Exit</guimenuitem> et poursuivre avec la section
	de configuration suivante ou tout simplement quitter
	<application>sysinstall</application> en sélectionnant
	deux fois &agrave; suite <guimenuitem>X Exit</guimenuitem>
	puis <guibutton>[X Exit Install]</guibutton>.</para>
    </sect2>

    <sect2 id="freebsdboot">
      <title>Démarrage de FreeBSD</title>

      <sect3 id="freebsdboot-i386">
        <title>Démarrage de FreeBSD sur &os;/&arch.i386;</title>

      <para>Si tout s'est bien passé, vous verrez des messages
	défiler &agrave; l'écran et vous arriverez &agrave;
	l'invite de session.  Vous pouvez
	visualiser ces messages en appuyant sur
	<keycap>Arrêt-défil</keycap> et en utilisant les touches
	<keycap>PgUp</keycap> et <keycap>PgDn</keycap>.  En appuyant &agrave;
	nouveau sur <keycap>Arrêt-défil</keycap> on retournera
	&agrave; l'invite.</para>

      <para>L'intégralité des messages peut de pas être
	affichée (limitation du tampon) mais peut être
	visualisée depuis la ligne
	de commande après l'ouverture d'une session en tapant
	<command>dmesg</command> &agrave; l'invite.</para>

      <para>Attachez-vous au système en utilisant le nom d'utilisateur
	et le mot de passe définis durant l'installation (<username>rpratt</username>, dans
	cet exemple).  Evitez d'ouvrir des sessions en tant que
	<username>root</username> excepté quand cela est
	nécessaire.</para>

      <para>Messages de démarrage typiques (information sur la version omise):</para>

<screen>Copyright (c) 1992-2002 The FreeBSD Project.
Copyright (c) 1979, 1980, 1983, 1986, 1988, 1989, 1991, 1992, 1993, 1994
        The Regents of the University of California. All rights reserved.

Timecounter "i8254"  frequency 1193182 Hz
CPU: AMD-K6(tm) 3D processor (300.68-MHz 586-class CPU)
  Origin = "AuthenticAMD"  Id = 0x580  Stepping = 0
  Features=0x8001bf&lt;FPU,VME,DE,PSE,TSC,MSR,MCE,CX8,MMX&gt;
  AMD Features=0x80000800&lt;SYSCALL,3DNow!&gt;
real memory  = 268435456 (262144K bytes)
config&gt; di sn0
config&gt; di lnc0
config&gt; di le0
config&gt; di ie0
config&gt; di fe0
config&gt; di cs0
config&gt; di bt0
config&gt; di aic0
config&gt; di aha0
config&gt; di adv0
config&gt; q
avail memory = 256311296 (250304K bytes)
Preloaded elf kernel "kernel" at 0xc0491000.
Preloaded userconfig_script "/boot/kernel.conf" at 0xc049109c.
md0: Malloc disk
Using $PIR table, 4 entries at 0xc00fde60
npx0: &lt;math processor&gt; on motherboard
npx0: INT 16 interface
pcib0: &lt;Host to PCI bridge&gt; on motherboard
pci0: &lt;PCI bus&gt; on pcib0
pcib1: &lt;VIA 82C598MVP (Apollo MVP3) PCI-PCI (AGP) bridge&gt; at device 1.0 on pci0
pci1: &lt;PCI bus&gt; on pcib1
pci1: &lt;Matrox MGA G200 AGP graphics accelerator&gt; at 0.0 irq 11
isab0: &lt;VIA 82C586 PCI-ISA bridge&gt; at device 7.0 on pci0
isa0: &lt;ISA bus&gt; on isab0
atapci0: &lt;VIA 82C586 ATA33 controller&gt; port 0xe000-0xe00f at device 7.1 on pci0
ata0: at 0x1f0 irq 14 on atapci0
ata1: at 0x170 irq 15 on atapci0
uhci0: &lt;VIA 83C572 USB controller&gt; port 0xe400-0xe41f irq 10 at device 7.2 on pci0
usb0: &lt;VIA 83C572 USB controller&gt; on uhci0
usb0: USB revision 1.0
uhub0: VIA UHCI root hub, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1
uhub0: 2 ports with 2 removable, self powered
chip1: &lt;VIA 82C586B ACPI interface&gt; at device 7.3 on pci0
ed0: &lt;NE2000 PCI Ethernet (RealTek 8029)&gt; port 0xe800-0xe81f irq 9 at
device 10.0 on pci0
ed0: address 52:54:05:de:73:1b, type NE2000 (16 bit)
isa0: too many dependant configs (8)
isa0: unexpected small tag 14
fdc0: &lt;NEC 72065B or clone&gt; at port 0x3f0-0x3f5,0x3f7 irq 6 drq 2 on isa0
fdc0: FIFO enabled, 8 bytes threshold
fd0: &lt;1440-KB 3.5" drive&gt; on fdc0 drive 0
atkbdc0: &lt;keyboard controller (i8042)&gt; at port 0x60-0x64 on isa0
atkbd0: &lt;AT Keyboard&gt; flags 0x1 irq 1 on atkbdc0
kbd0 at atkbd0
psm0: &lt;PS/2 Mouse&gt; irq 12 on atkbdc0
psm0: model Generic PS/2 mouse, device ID 0
vga0: &lt;Generic ISA VGA&gt; at port 0x3c0-0x3df iomem 0xa0000-0xbffff on isa0
sc0: &lt;System console&gt; at flags 0x1 on isa0
sc0: VGA &lt;16 virtual consoles, flags=0x300&gt;
sio0 at port 0x3f8-0x3ff irq 4 flags 0x10 on isa0
sio0: type 16550A
sio1 at port 0x2f8-0x2ff irq 3 on isa0
sio1: type 16550A
ppc0: &lt;Parallel port&gt; at port 0x378-0x37f irq 7 on isa0
ppc0: SMC-like chipset (ECP/EPP/PS2/NIBBLE) in COMPATIBLE mode
ppc0: FIFO with 16/16/15 bytes threshold
ppbus0: IEEE1284 device found /NIBBLE
Probing for PnP devices on ppbus0:
plip0: &lt;PLIP network interface&gt; on ppbus0
lpt0: &lt;Printer&gt; on ppbus0
lpt0: Interrupt-driven port
ppi0: &lt;Parallel I/O&gt; on ppbus0
ad0: 8063MB &lt;IBM-DHEA-38451&gt; [16383/16/63] at ata0-master using UDMA33
ad2: 8063MB &lt;IBM-DHEA-38451&gt; [16383/16/63] at ata1-master using UDMA33
acd0: CDROM &lt;DELTA OTC-H101/ST3 F/W by OIPD&gt; at ata0-slave using PIO4
Mounting root from ufs:/dev/ad0s1a
swapon: adding /dev/ad0s1b as swap device
Automatic boot in progress...
/dev/ad0s1a: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS
/dev/ad0s1a: clean, 48752 free (552 frags, 6025 blocks, 0.9% fragmentation)
/dev/ad0s1f: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS
/dev/ad0s1f: clean, 128997 free (21 frags, 16122 blocks, 0.0% fragmentation)
/dev/ad0s1g: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS
/dev/ad0s1g: clean, 3036299 free (43175 frags, 374073 blocks, 1.3% fragmentation)
/dev/ad0s1e: filesystem CLEAN; SKIPPING CHECKS
/dev/ad0s1e: clean, 128193 free (17 frags, 16022 blocks, 0.0% fragmentation)
Doing initial network setup: hostname.
ed0: flags=8843&lt;UP,BROADCAST,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST> mtu 1500
        inet 192.168.0.1 netmask 0xffffff00 broadcast 192.168.0.255
        inet6 fe80::5054::5ff::fede:731b%ed0 prefixlen 64 tentative scopeid 0x1
        ether 52:54:05:de:73:1b
lo0: flags=8049&lt;UP,LOOPBACK,RUNNING,MULTICAST&gt; mtu 16384
        inet6 fe80::1%lo0 prefixlen 64 scopeid 0x8
        inet6 ::1 prefixlen 128
        inet 127.0.0.1 netmask 0xff000000
Additional routing options: IP gateway=YES TCP keepalive=YES
routing daemons:.
additional daemons: syslogd.
Doing additional network setup:.
Starting final network daemons: creating ssh RSA host key
Generating public/private rsa1 key pair.
Your identification has been saved in /etc/ssh/ssh_host_key.
Your public key has been saved in /etc/ssh/ssh_host_key.pub.
The key fingerprint is:
cd:76:89:16:69:0e:d0:6e:f8:66:d0:07:26:3c:7e:2d root@k6-2.example.com
 creating ssh DSA host key
Generating public/private dsa key pair.
Your identification has been saved in /etc/ssh/ssh_host_dsa_key.
Your public key has been saved in /etc/ssh/ssh_host_dsa_key.pub.
The key fingerprint is:
f9:a1:a9:47:c4:ad:f9:8d:52:b8:b8:ff:8c:ad:2d:e6 root@k6-2.example.com.
setting ELF ldconfig path: /usr/lib /usr/lib/compat /usr/X11R6/lib
/usr/local/lib
a.out ldconfig path: /usr/lib/aout /usr/lib/compat/aout /usr/X11R6/lib/aout
starting standard daemons: inetd cron sshd usbd sendmail.
Initial rc.i386 initialization:.
rc.i386 configuring syscons: blank_time screensaver moused.
Additional ABI support: linux.
Local package initilization:.
Additional TCP options:.

FreeBSD/i386 (k6-2.example.com) (ttyv0)

login: rpratt
Password:</screen>

      <para>La génération des clés RSA et DSA peut
	prendre du temps sur les machines lentes.
	Cela ne se produit qu'au premier démarrage
	d'une nouvelle installation.  Les démarrages suivants seront
	plus rapides.</para>

      <para>Si le serveur X a été configuré et
	l'environnement de travail par défaut choisi, il peut
	être lancé en tapant
	<command>startx</command> sur la ligne de commande.</para>

      </sect3>

      <sect3>
        <title>Démarrage de FreeBSD sur &os;/&arch.alpha;</title>

	<indexterm><primary>Alpha</primary></indexterm>

        <para>Une fois la procédure d'installation terminée,
	  vous serez en mesure de démarrer FreeBSD en tapant quelque
	  chose comme ceci &agrave; l'invite SRM:</para>

	<screen>&gt;&gt;&gt;<userinput>BOOT DKC0</userinput></screen>

	<para>Cela demande au firmware de démarrer sur le disque
	  indiqué.  Pour faire démarrer FreeBSD automatiquement
	  dans le futur, utilisez ces commandes:</para>

	<screen><prompt>&gt;&gt;&gt;</prompt> <userinput>SET BOOT_OSFLAGS A</userinput>
<prompt>&gt;&gt;&gt;</prompt> <userinput>SET BOOT_FILE ''</userinput>
<prompt>&gt;&gt;&gt;</prompt> <userinput>SET BOOTDEF_DEV DKC0</userinput>
<prompt>&gt;&gt;&gt;</prompt> <userinput>SET AUTO_ACTION BOOT</userinput></screen>

	<para>Les messages de démarrage seront semblables (mais pas
	identiques) &agrave; ceux produits par le démarrage de FreeBSD
	sur &i386;.</para>
      </sect3>
    </sect2>

    <sect2 id="shutdown">
      <title>Arrêt de FreeBSD</title>

      <para>Il est important d'arrêter proprement le système
	d'exploitation.  N'appuyez pas directement sur votre bouton de
	marche-arrêt.  Tout d'abord, devenez super-utilisateur en tapant
	<command>su</command> sur la ligne de commande et en entrant le
	mot de passe de <username>root</username>.  Cela ne fonctionnera
	que si l'utilisateur est membre du groupe
	<groupname>wheel</groupname>.  Sinon, ouvrez une session en tant
	que <username>root</username> et utilisez <command>shutdown -h
	now</command>.</para>

      <screen>The operating system has halted.
Please press any key to reboot.</screen>

      <para>On peut arrêter la machine sans risques après la que
	commande d'arrêt ait été effectuée et que le
	message &ldquo;Please press any key to reboot&rdquo; (Veuillez appuyez
	sur une touche pour redémarrer) apparaît.  Si une touche
	est enfoncée plutôt que d'arrêter l'ordinateur, le
	système redémarrera.</para>

      <para>Vous pouvez également utiliser la combinaison de touches
	<keycombo action='simul'><keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap>
	<keycap>Suppr</keycap></keycombo>, cependant cela n'est pas
	recommandé pour une utilisation normale.</para>

    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="install-trouble">
    <title>Dépannage</title>

    <indexterm>
      <primary>installation</primary>
      <secondary>dépannage</secondary>
    </indexterm>
    <para>La section suivante couvre le dépannage de base de
      l'installation, les problèmes courants qui ont été
      rapportés.  Il y a aussi un ensemble de questions-réponses
      pour les personnes désirant
      un double démarrage FreeBSD et &ms-dos; ou &windows;.</para>

    <sect2>
      <title>Que faire si quelque chose se passe mal</title>

      <para>En raison des nombreuses limitations de l'architecture PC,
	il est impossible que la détection du matériel soit
	&agrave; 100% fiable, cependant, il y a quelques petites choses que
	vous pouvez faire si cela échoue.</para>

      <para>Vérifiez la <ulink url="http://www.FreeBSD.org/releases/index.html">liste du matériel supporté</ulink> pour
	votre version de FreeBSD pour être sûr que votre
	matériel est bien supporté.</para>

      <para>Si votre matériel est supporté et que vous
	expérimentez
	toujours des blocages ou autres problèmes, vous devrez
	compiler un <link linkend="kernelconfig">noyau
	personnalisé</link>.  Cela permettra d'ajouter le
	support pour les périphériques qui ne sont pas
	présent dans le noyau <filename>GENERIC</filename>.  Le
	noyau présent sur les disques de démarrage est
	configuré de telle façon qu'il supposera que la
	plupart des périphériques seront dans leur
	configuration d'usine en termes d'IRQs, d'adresses d'E/S, et
	canaux de DMA.  Si votre matériel a été
	reconfiguré vous devrez très probablement
	éditer le fichier de configuration du noyau et de le
	recompiler pour indiquer &agrave; &os; où
	trouver les choses.</para>

      <para>Il est également possible que la détection d'un
	périphérique absent provoque plus tard l'échec
	de la détection d'un périphérique présent.
	Dans ce cas, les pilotes de périphériques
	conflictuels devraient être désactivés.</para>

      <note>
        <para>Quelques problèmes d'installation peuvent être
	  évités ou allégés en mettant &agrave;
	  jour le firmware de divers composants matériels, en
	  particulier la carte mère.  Le firmware de la
	  carte mère peut également être
	  désigné par le terme
	  <acronym>BIOS</acronym> et la plupart des constructeurs de
	  cartes mères ou d'ordinateur ont un site web où peuvent
	  être trouvées les mises &agrave; jour et les
	  informations de mises &agrave; jour.</para>

        <para>La plupart des fabricants déconseillent fortement de
	  mettre &agrave; jour le <acronym>BIOS</acronym> de la carte
	  mère &agrave; moins d'avoir une bonne raison de le faire,
	  ce qui pourrait probablement être une mise &agrave; jour
	  critique si l'on peut dire.
	  Le processus de mise &agrave; jour <emphasis>peut</emphasis> mal se
	  passer, causant des dommages permanents au circuit contenant
	  le <acronym>BIOS</acronym>.</para>
        </note>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Traiter les partitions &ms-dos; existantes</title>

      <indexterm><primary>DOS</primary></indexterm>
      <para>De nombreux utilisateurs veulent installer FreeBSD sur des
	<acronym>PC</acronym>s qui fonctionnent sous un système d'exploitation de &microsoft;.
	Dans ce cas, &os; dispose d'un utilitaire connu sous le nom de
	<application>FIPS</application>.  Cette utilitaire peut
	être trouvé dans le répertoire
	<filename>tools</filename> du CD-ROM d'installation, ou
	téléchargé &agrave; partir des différents
	<link linkend="mirrors">miroirs	&os;</link>.</para>

      <para>L'utilitaire <application>FIPS</application> vous permet de
	scinder en deux une partition &ms-dos; existante, tout en
	préservant le contenu de la partition originale et vous
	permettant d'installer FreeBSD sur la partition ainsi
	créée.
	Vous devez défragmenter tout d'abord votre partition
	&ms-dos; en utilisant l'utilitaire &windows;
	<application>Défragmenteur de disque</application> (allez
	dans l'Explorateur, clic-droit sur le disque dur, et choisissez
	de défragmenter votre disque dur) ou les
	<application>Norton Disk Tools</application>.  Vous pouvez
	ensuite lancer le programme
	<application>FIPS</application>.  Il vous demandera le
	reste des informations dont il a besoin, suivez juste les
	instructions &agrave; l'écran.  Ensuite, vous
	pouvez redémarrer et installer FreeBSD sur la tranche
	libre.  Voyez le menu <guimenuitem>Distributions</guimenuitem>
	pour avoir une estimation de l'espace libre dont vous
	aurez besoin pour le type d'installation que vous
	désirez.</para>

      <para>Il existe également un produit
	très utile de chez <ulink
	url="http://www.powerquest.com/">PowerQuest</ulink> appelé
	<application>&partitionmagic;</application>.  Cette
	application a bien plus de fonctionnalités que
	<application>FIPS</application>, et est fortement
	recommandée si vous projetez d'ajouter/retirer
	régulièrement des systèmes d'exploitation.
	Cependant ce programme n'est pas gratuit, et si vous projetez
	d'installer FreeBSD et ensuite le laisser
	installé, <application>FIPS</application> sera
	probablement parfait pour vous.</para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Utilisation des systèmes de fichiers &ms-dos; et &windows;</title>

      <para>Pour le moment, &os;, ne supporte pas les systèmes
	de fichiers compressés avec l'application
	<application>Double Space&trade;</application>.  Par
	conséquent, le système de fichiers doit
	être décompressé avant que &os; ne puisse
	accéder aux données.  Cela peut être
	fait en lançant l'<application>Agent de
	compression</application> situé dans le menu
	<guimenuitem>Démarrer</guimenuitem>&gt;
	<guimenuitem>Programmes</guimenuitem> &gt;
	<guimenuitem>Outils Système</guimenuitem>.</para>

      <para>&os; supporte les systèmes de fichiers &ms-dos;
	(parfois appelés systèmes de fichiers FAT).  La
	commande &man.mount.msdosfs.8; greffe ce type de
	système de fichiers sur l'arborescence
	déj&agrave; existante permettant ainsi l'accès
	au contenu du système de fichiers.  La commande
	&man.mount.msdosfs.8; n'est, en général, pas
	invoquée directement; au lieu de cela, elle est
	appelée par le système via une ligne du fichier
	<filename>/etc/fstab</filename> pour par un appel &agrave;
	l'utilitaire &man.mount.8; avec les paramètres
	adéquates.</para>

      <para>Une entrée typique de
	<filename>/etc/fstab</filename> sera:</para>

      <programlisting>/dev/ad0sN  /dos  msdosfs rw  0	0</programlisting>

      <note>
	<para>Pour que cela fonctionne, il faut que le
	  répertoire <filename
	  class="directory">/dos</filename> existe déj&agrave;.
	  Pour plus de détails au sujet du format de
	  <filename>/etc/fstab</filename>, consultez la page de manuel
	  &man.fstab.5;.</para>
      </note>

      <para>Un appel &agrave; &man.mount.8; pour un système de
	fichiers &ms-dos; ressemblera &agrave;:</para>

      <screen>&prompt.root; <userinput>mount -t msdosfs /dev/ad0s1 /mnt</userinput></screen>

      <para>Dans cet exemple, le système de fichiers &ms-dos;
	est situé sur la première partition du premier
	disque dur.  Votre situation peut être
	différente, contrôlez les sorties des commandes
	<command>dmesg</command> et <command>mount</command>.
	Elles doivent fournir suffisamment d'information pour donner
	une idée de l'organisation des partitions.</para>

      <note>
	<para>&os; peut numéroter les tranches (par exemple les
	  partitions &ms-dos;) différemment des autres
	  systèmes d'exploitation.  En particulier, les
	  partitions &ms-dos; étendues sont
	  généralement affectées d'un
	  numéro de tranche supérieur &agrave; celui des
	  partitions primaires &ms-dos;.  L'utilitaire &man.fdisk.8;
	  peut aider &agrave; déterminer les tranches qui
	  appartiennent &agrave; &os; et celles appartenant &agrave;
	  d'autres systèmes d'exploitation.</para>
      </note>

	<para>Les partitions NTFS peuvent également être
	  montées d'une manière similaire en employant
	  la commande &man.mount.ntfs.8;.</para>
    </sect2>

    <sect2>
      <title>Questions et réponses de dépannage</title>

      <qandaset>
	<qandaentry>
	  <question>
	    <para>Mon système se bloque au niveau de la
	      détection du matériel lors du
	      démarrage, ou se comporte de manière
	      étrange lors de l'installation, ou le lecteur de
	      disquette n'est pas détecté.</para>
	  </question>
	  <answer>
	    <para>&os; utilise de manière
	      intensive le système ACPI sur les plateformes
	      i386, amd64 et ia64 s'il est détecté au
	      démarrage pour aider &agrave; la détection
	      du matériel.  Malheureusement, des bogues
	      persistent dans le pilote ACPI, et sur les cartes
	      mères et leur BIOS.  L'utilisation de l'ACPI peut
	      être désactivé en fixant le
	      paramètre <literal>hint.acpi.0.disabled</literal>
	      pour le chargeur:</para>

	    <screen><userinput>set hint.acpi.0.disabled="1"</userinput></screen>

	    <para>Ce paramètre est réinitialisé
	      &agrave; chaque démarrage du système, il
	      est donc nécessaire d'ajouter
	      <literal>hint.acpi.0.disabled="1"</literal> au fichier
	      <filename>/boot/loader.conf</filename>.  Plus
	      d'information au sujet du chargeur peut être
	      trouvée dans la <xref
	      linkend="boot-synopsis"/>.</para>
	  </answer>
	</qandaentry>
	<qandaentry>
	  <question>
	    <para>Je tente de démarrer &agrave; partir du
	      disque dur pour la première fois après
	      l'installation de &os;, le noyau est chargé et
	      détecte mon matériel, mais s'arrête
	      avec un message du type:</para>

	    <screen>changing root device to ad1s1a panic: cannot mount root</screen>

	    <para>Qu'est-ce qui ne va pas?  Que puis-je faire?</para>

	    <para>Que représente la ligne
	      <literal>bios_drive:interface(unit,partition)kernel_name</literal>
	      qui est affichée comme message d'aide?</para>
	  </question>
	  <answer>
	    <para>Il existe un problème de longue date dans le
	      cas où le disque de démarrage n'est pas le
	      premier disque du système.  Le BIOS utilise un
	      modèle de numérotation des disques
	      différent de celui de &os;, et déterminer
	      quel numéro correspond avec quoi est relativement
	      compliqué.</para>

	    <para>Si le disque de démarrage n'est pas le
	      premier disque du système, &os; peut avoir besoin
	      d'aide pour le trouver.  Nous sommes en
	      général en face de deux situations et dans
	      ces deux cas vous devez indiquer &agrave; &os; où
	      se trouve le système de fichiers racine.  Cela se
	      fait en précisant le numéro du disque
	      BIOS, le type de disque et le numéro &os; de
	      disque pour ce type de disque.</para>

	    <para>La première situation correspond au cas
	      où vous disposez de deux disques IDE,
	      configurés chacun en maître sur leur bus
	      IDE respectif, et que vous désirez
	      démarrer &os; &agrave; partir du second disque.
	      Le BIOS voit ces disques en tant que disque 0 et disque
	      1, tandis que &os; en tant que
	      <devicename>ad0</devicename> et
	      <devicename>ad1</devicename>.</para>

	    <para>&os; se trouve sur le disque BIOS numéro 1
	      qui est de type <literal>ad</literal> alors que le
	      numéro de disque pour &os; sera le 2, aussi vous
	      utiliserez la syntaxe:</para>

	    <screen><userinput>1:ad(2,a)kernel</userinput></screen>

	    <para>Notez que si vous avez un esclave sur le bus
	      primaire, ce qui précède n'est pas
	      nécessaire (et est en fait erroné).</para>

	    <para>Le deuxième cas concerne le démarrage
	      &agrave; partir d'un disque SCSI quand on dispose d'un
	      ou plusieurs disques IDE dans le système.  Dans
	      ce cas, le numéro de disque &os; est
	      inférieur au numéro de disque BIOS.  Si
	      vous avez deux disques IDE en plus du disque SCSI, le
	      disque SCSI sera le disque BIOS numéro 2, de type
	      <literal>da</literal> et sera vu en tant que disque 0
	      par &os;, aussi vous utiliserez la syntaxe:</para>

	    <screen><userinput>2:da(0,a)kernel</userinput></screen>

	    <para>pour indiquer &agrave; &os; que vous voulez
	      démarrer &agrave; partir du disque BIOS
	      numéro 2, qui est le premier disque SCSI du
	      système.  Si vous n'avez qu'un seul disque IDE,
	      vous utiliseriez &agrave; la place
	      <literal>1:</literal>.</para>

	    <para>Une fois que vous avez déterminé les
	      valeurs correctes &agrave; employer, vous pouvez ajouter
	      dans le fichier <filename>/boot.config</filename>
	      &agrave; l'aide d'un éditeur de textes la
	      commande que vous auriez tapé.  A moins d'une
	      instruction contraire, &os; utilisera le contenu de ce
	      fichier comme réponses par défaut &agrave;
	      l'invite <literal>boot:</literal>.</para>
	  </answer>
	</qandaentry>
	<qandaentry>
	  <question>
	    <para>J'essaye de démarrer &agrave; partir du
	      disque dur pour la première fois après
	      l'installation de &os;, mais l'invite du gestionnaire de
	      démarrage n'affiche que <literal>F?</literal> et
	      la procédure de démarrage ne va pas plus
	      loin.</para>
	  </question>
	  <answer>
	    <para>La géométrie du disque dur n'a pas
	      été correctement configurée dans
	      l'éditeur de partitions quand vous avez
	      installé &os;.  Retournez dans l'éditeur
	      de partitions et indiquez la géométrie
	      réelle de votre disque dur.  Vous devez
	      réinstaller complètement &os; avec la
	      bonne géométrie.</para>

	    <para>Si vous ne parvenez pas &agrave; déterminer
	      la géométrie de votre disque, voici une
	      astuce: créez une petite partition DOS au
	      début du disque et installez ensuite &os;.  Le
	      programme d'installation verra la partition DOS et
	      tentera d'en déduire la géométrie
	      correcte, ce qui fonctionne
	      généralement.</para>

	    <para>L'astuce suivante n'est plus conseillée, mais
	      est conservée comme
	      référence:</para>

	    <blockquote>
	      <para>Si vous montez un serveur ou une station de
		travail complètement dédiés
		&agrave; &os; pour lesquels vous n'avez que faire
		(dans le futur) d'une compatibilité avec DOS,
		&linux;, ou tout autre système d'exploitation,
		vous avez également l'option d'utiliser
		l'intégralité du disque
		(<guimenuitem>A</guimenuitem> dans l'éditeur de
		partition), en sélectionnant l'option
		non-standard pour laquelle &os; occupe
		entièrement le disque du premier jusqu'au
		dernier secteur.  Cela laissera de côté
		toutes les considérations au sujet de la
		géométrie du disque, mais c'est quelque
		peu limitatif &agrave; moins que vous n'ayez pas
		l'intention d'utiliser autre chose que &os; sur ce
		disque.</para>
	    </blockquote>
	  </answer>
	</qandaentry>
	<qandaentry>
	  <question>
	    <para>Le système trouve ma carte réseau
	      &man.ed.4;, mais je continue &agrave; avoir des erreurs
	      de dépassement des délais
	      d'attente.</para>
	  </question>
	  <answer>
	    <para>Votre carte utilise probablement une IRQ
	      différente de celle spécifiée dans
	      le fichier <filename>/boot/device.hints</filename>.  Le
	      pilote &man.ed.4; n'utilise pas la configuration
	      <quote>soft</quote> par défaut (les valeurs
	      entrées &agrave; l'aide de EZSETUP sous DOS),
	      mais utilisera la configuration logicielle si vous
	      précisez la valeur <literal>-1</literal> pour les
	      paramètres de l'interface en question.</para>

	    <para>Positionnez le cavalier sur la carte pour une
	      configuration <quote>hard</quote> (en modifiant les
	      paramètres du noyau si nécessaire), ou
	      spécifiez l'IRQ en tant que <literal>-1</literal>
	      en fixant le paramètre
	      <literal>hint.ed.0.irq="-1"</literal>.  Cela demandera
	      au noyau d'utiliser la configuration logicielle.</para>

	    <para>Une autre possibilité est que votre carte
	      utilise l'IRQ 9, qui est partagée avec l'IRQ 2 et
	      est une cause fréquente de problèmes (tout
	      particulièrement dans le cas où vous avez
	      une carte VGA utilisant l'IRQ 2!).  Vous ne devriez pas
	      utiliser les IRQs 2 et 9 autant que possible.</para>
	  </answer>
	</qandaentry>

	<qandaentry>

	  <question>
	    <indexterm>
	      <primary>couleur</primary>
	      <secondary>contraste</secondary>
	    </indexterm>

	    <para>Quand <application>sysinstall</application> est
	      utilisé dans un terminal X11, la police de
	      caractères jaune sur fond gris-clair peut
	      être difficile &agrave; lire.  Existe-t-il un
	      moyen d'obtenir un contraste plus élevé
	      pour cette application?</para>
	  </question>

	  <answer>
	    <para>Si vous avez déj&agrave; installé X11
	      et que les couleurs par défaut choisies par
	      <application>sysinstall</application> rendent le texte
	      illisible lors de l'utilisation de &man.xterm.1; ou
	      &man.rxvt.1;, ajouter la ligne suivante &agrave; votre
	      fichier <filename>~/.Xdefaults</filename> pour obtenir
	      un fond gris plus foncé: <literal>XTerm*color7:
	      #c0c0c0</literal></para>
	  </answer>
	</qandaentry>
      </qandaset>
    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="install-advanced">
    <sect1info>
      <authorgroup>
	<author>
	  <firstname>Valentino</firstname>
	  <surname>Vaschetto</surname>
	  <contrib>Contribution de </contrib>
	</author>
	<!-- May 2001 -->
      </authorgroup>
    </sect1info>

    <title>Guide avancé d'installation</title>

    <para>Cette section décrit comment installer FreeBSD dans des cas
      exceptionnels.</para>

    <sect2 id="headless-install">
      <title>Installer FreeBSD sur un système sans moniteur ou sans
	clavier</title>

      <indexterm>
        <primary>installation</primary>
        <secondary>headless (console série)</secondary>
      </indexterm>
      <indexterm><primary>console série</primary></indexterm>
      <para>Ce type d'installation est appelé &ldquo;headless
	install&rdquo; (installation sans écran), parce que la machine
	sur laquelle vous êtes en train d'installer FreeBSD soit n'a pas
	de moniteur, soit n'a même pas de sortie VGA.  Comment est-ce
	possible, allez-vous demander? En utilisant une console série.
	Une console série est en quelques mots l'utilisation d'une autre
	machine comme écran et clavier pour un autre système.
	Pour cela, suivez juste les étapes de création des
	disquettes d'installation, expliquées dans <xref
	linkend="install-floppies"/>.</para>

      <para>Pour modifier ces disquettes afin de démarrer
	&agrave; travers une console série, suivez les
	étapes suivantes:</para>

      <procedure>
	<step>
	  <title>Configurer les disquettes de démarrage pour
	    démarrer &agrave; travers la console
	    série</title>
	    <indexterm>
          <primary><command>mount</command></primary>
        </indexterm>
	    <para>Si vous deviez démarrer avec les disquettes que vous
	      venez de faire, FreeBSD démarrerait dans son mode
	      d'installation normal.  Nous voulons que FreeBSD démarre
	      sur la console série pour notre installation.  Pour faire
	      cela, vous devez monter la disquette
	      <filename>boot.flp</filename> sur votre système FreeBSD en
	      utilisant la commande &man.mount.8;.</para>

            <screen>&prompt.root; <userinput>mount /dev/fd0 /mnt</userinput></screen>

	    <para>Maintenant que vous avez la disquette montée, vous
	      devez vous rendre dans le répertoire <filename class="directory">/mnt</filename>:</para>

	    <screen>&prompt.root; <userinput>cd /mnt</userinput></screen>

	    <para>C'est &agrave; cet endroit que vous devez configurer la
	      disquette pour démarrer sur la console série.
	      Vous devez créer un fichier appelé
	      <filename>boot.config</filename>
	      contenant la ligne <literal>/boot/loader -h</literal>.
	      Tout ceci provoque le passage d'une option au chargeur
	      pour démarrer sur la console série.</para>

	    <screen>&prompt.root; <userinput>echo "/boot/loader -h" &gt; boot.config</userinput></screen>

	    <para>Maintenant que vous avez votre disquette correctement
	      configurée, vous devez démonter la disquette en
	      utilisant la commande &man.umount.8;:</para>

            <screen>&prompt.root; <userinput>cd /</userinput>
&prompt.root; <userinput>umount /mnt</userinput></screen>

	    <para>Maintenant vous pouvez retirer la disquette de son
	      lecteur.</para>
	  </step>

	  <step>
	    <title>Connecter votre câble null-modem</title>

  	    <indexterm><primary>câble null-modem</primary></indexterm>
	    <para>Vous devez maintenant connecter un <link linkend="term-cables-null">câble null-modem</link>
	      entre les deux machines.  Connectez juste le câble sur le
	      port série des deux machines.  <emphasis>Un câble
	      série normal ne conviendra pas ici</emphasis>, vous avez
	      besoin d'un câble null-modem parce certains fils sont
	      croisés &agrave; l'intérieur.</para>
	  </step>

	  <step>
	    <title>Démarrer l'installation</title>

	    <para>Il est maintenant temps de lancer l'installation.
	      Mettez la disquette <filename>boot.flp</filename> dans le
	      lecteur de la machine que vous allez installer sans
	      moniteur et clavier, et allumez la machine.</para>
	  </step>

	  <step>
	    <title>Connexion &agrave; la machine sans moniteur ni
	      clavier</title>
	    <indexterm>
        <primary><command>cu</command></primary>
      </indexterm>
	    <para>Maintenant vous devez vous connecter &agrave; cette machine
	      &agrave; l'aide de &man.cu.1;:</para>

	    <screen>&prompt.root; <userinput>cu -l /dev/cuad0</userinput></screen>
	  </step>
      </procedure>

      <para>Voil&agrave;!  Vous devriez maintenant pouvoir contrôler la machine sans
	moniteur et sans clavier &agrave; travers votre session
	<command>cu</command>.  On vous demandera d'insérer la disquette
	<filename>kern1.flp</filename>, et ensuite on vous proposera
	de choisir le type de terminal &agrave; utiliser.
	Sélectionnez la
	console couleur FreeBSD et effectuez votre installation!</para>

    </sect2>
  </sect1>

  <sect1 id="install-diff-media">
    <title>Préparer votre propre support d'installation</title>

    <note>
      <para>Pour éviter les répétitions, &ldquo;disque
	FreeBSD&rdquo;
	dans ce contexte signifie un CDROM ou DVD FreeBSD que vous avez
	acheté, ou produit vous-même.</para>
    </note>

    <para>Il peut y avoir quelques situations dans lesquelles vous devez
      créer votre propre support et/ou source d'installation de FreeBSD.
      Cela pourrait être un support physique, comme une bande, ou une
      source que <application>sysinstall</application> pourrait employer
      pour récupérer les fichiers, comme un site FTP local, ou une
      partition &ms-dos;.</para>

    <para>Par exemple:</para>

    <itemizedlist>
      <listitem>
	<para>Vous avez beaucoup de machines connectées sur votre
	  réseau
	  local, et un seul disque FreeBSD.  Vous voulez créer un site
	  FTP local utilisant le contenu du disque FreeBSD, et ensuite
	  faire utiliser ce site FTP local par vos machines plutôt que
	  de se connecter &agrave; l'Internet.</para>
      </listitem>

      <listitem>
	<para>Vous avez un disque FreeBSD, et FreeBSD ne reconnaît pas
	  votre lecteur de CD/DVD, mais &ms-dos;/&windows; oui.  Vous voulez
	  copier les fichiers d'installation de FreeBSD sur une
	  partition DOS sur le même ordinateur, et ensuite installer
	  FreeBSD en utilisant ces fichiers.</para>
      </listitem>

      <listitem>
	<para>L'ordinateur sur lequel vous voulez installer n'a pas de
	  lecteur de CD/DVD, ou de carte réseau, mais vous pouvez
	  connecter un câble série ou parallèle de
	  &ldquo;type
	  Laplink&rdquo; sur un ordinateur qui lui dispose d'un lecteur
	  de CD/DVD ou d'une carte réseau.</para>
      </listitem>

      <listitem>
	<para>Vous voulez créer une bande qui peut être
	  utilisée pour installer FreeBSD.</para>
      </listitem>
    </itemizedlist>

    <sect2 id="install-cdrom">
      <title>Créer un CDROM d'installation</title>

      <para>Comme élément de chaque nouvelle version, le
	projet FreeBSD met &agrave; disposition au moins deux images de CDROM
	(&ldquo;images ISO&rdquo;) par architecture supportée.  Ces images peuvent être inscrites
	(&ldquo;gravées&rdquo;)	sur CDs si vous disposez d'un
	graveur de CD, et puis être utilisées pour installer
	FreeBSD.  Si vous avez un graveur de CD, et comme la bande
	passante est bon marché, alors c'est la méthode
	la plus simple pour installer FreeBSD.</para>

      <procedure>
	<step>
	  <title>Télécharger les bonnes images ISO</title>

	  <para>Les images ISO de chaque version peuvent être
	    téléchargées &agrave; partir de
	    <filename>ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/ISO-IMAGES-<replaceable>arch</replaceable>/<replaceable>version</replaceable></filename>
	    ou du miroir le plus proche.  Remplacez
	    <replaceable>arch</replaceable> et
	    <replaceable>version</replaceable> par les valeurs
	    appropriées.</para>

	  <para>Ce répertoire contiendra normalement les images
	    suivantes:</para>

	  <table frame="none">
	    <title>Noms des images ISO &os;
	      6.<replaceable>X</replaceable> et
	      7.<replaceable>X</replaceable> et leurs
	      significations</title>

	    <tgroup cols="2">
	      <thead>
		<row>
		  <entry>Nom du fichier</entry>

		  <entry>Contenu</entry>
		</row>
	      </thead>

	      <tbody>
		<row>
		  <entry><filename><replaceable>version</replaceable>-RELEASE-<replaceable>arch</replaceable>-bootonly.iso</filename></entry>

		  <entry>Tout ce dont vous avez besoin pour
		    démarrer un noyau &os; et lancer
		    l'interface d'installation.  Les fichiers
		    d'installation doivent être
		    récupérés par FTP ou &agrave;
		    partir d'une autre source
		    supportée.</entry>
		</row>

		<row>
		  <entry><filename><replaceable>version</replaceable>-RELEASE-<replaceable>arch</replaceable>-disc1.iso</filename></entry>

		  <entry>Tout ce dont vous avez besoin pour installer
		    &os; et incorpore un système de fichiers
		    <quote>live</quote>, qui est utilisé avec
		    la fonction de <quote>Repair</quote> de
		    <application>sysinstall</application>.</entry>
		</row>

		<row>
		  <entry><filename><replaceable>version</replaceable>-RELEASE-<replaceable>arch</replaceable>-disc2.iso</filename></entry>

		  <entry>Autant de logiciels
		    tiers pré-compilés que l'espace sur
		    le disque le permet.</entry>
		</row>

		<row>
		  <entry><filename><replaceable>version</replaceable>-RELEASE-<replaceable>arch</replaceable>-docs.iso</filename></entry>

		  <entry>La documentation &os;.</entry>
		</row>
	      </tbody>
	    </tgroup>
	  </table>

	  <para>Vous <emphasis>devez</emphasis> télécharger soit
	    l'image ISO bootonly (si elle existe), soit l'image du disque numéro un.  Ne
	    télécharger pas les deux, étant donné
	    que le disque numéro un contient tout le contenu de
	    l'image ISO bootonly.</para>

	  <para>Utilisez l'ISO bootonly si votre accès Internet est bon
	    marché.  Elle vous laissera installer FreeBSD, et vous
	    pourrez ensuite installer des logiciels tiers en les
	    téléchargeant en employant le système de
	    logiciels pré-compilés/logiciels portés
	    (voir le <xref linkend="ports"/>) si nécessaire.</para>

	  <para>Utilisez l'image du disque numéro un si vous
	    voulez installer &os; avec
	    également une bonne sélection de logiciels
	    tiers.</para>

	  <para>Les images des autres disques sont utiles, mais pas
	    indispensables, tout particulièrement si vous disposez
	    d'un accès Internet &agrave; haut débit.</para>
	</step>

	<step>
	  <title>Graver les CDs</title>

	  <para>Vous devez ensuite graver les images de CD.  Si vous
	    faites cela &agrave; partir d'un autre système FreeBSD
	    consultez alors la <xref linkend="creating-cds"/> pour plus
	    d'informations (en particulier les <xref linkend="burncd"/>
	    et <xref linkend="cdrecord"/>).</para>

	  <para>Si vous le faites &agrave; partir d'une autre plate-forme alors
	    vous devrez utiliser les utilitaires existants pour
	    commander votre graveur de CD sur cette plate-forme.  Les
	    images fournies le sont dans le standard ISO qui est
	    supporté par de nombreuses applications de gravure
	    de CD.</para>
	</step>
      </procedure>

      <note>
	<para>Si vous vous intéressez &agrave; la
	  réalisation d'une version sur mesure de FreeBSD,
	  veuillez consulter l'<ulink
	  url="&url.articles.releng;">article sur la création des
	  versions</ulink>.</para>
      </note>
    </sect2>

    <sect2 id="install-ftp">
      <title>Création d'un site FTP local avec le disque FreeBSD</title>

      <indexterm>
	<primary>installation</primary>
	<secondary>réseau</secondary>
	<tertiary>FTP</tertiary>
      </indexterm>

      <para>Les disques FreeBSD sont présentés comme le site FTP.
	Cela rend très facile la création d'un site FTP local qui
	peut être utilisé par d'autres machines de votre
	réseau lors de l'installation de FreeBSD.</para>

      <procedure>
	<step>
	  <para>Sur l'ordinateur FreeBSD qui hébergera le site FTP,
	    soyez sûr que le CDROM est dans la lecteur, et monté en
	    <filename>/cdrom</filename>.</para>

	  <screen>&prompt.root; <userinput>mount /cdrom</userinput></screen>
	</step>

	<step>
	  <para>Créez un compte pour le FTP anonyme dans
	    <filename>/etc/passwd</filename>.  Faites cela en éditant
	    <filename>/etc/passwd</filename> avec &man.vipw.8; et en
	    ajoutant cette ligne:</para>

	  <programlisting>ftp:*:99:99::0:0:FTP:/cdrom:/nonexistent</programlisting>
	</step>

	<step>
	  <para>Vérifiez que le service FTP est activé dans
	    <filename>/etc/inetd.conf</filename>.</para>
	</step>
      </procedure>

      <para>N'importe qui avec un accès réseau &agrave; votre
	machine peut désormais choisir un support de type FTP et taper
	<userinput>ftp://<replaceable>votre machine</replaceable></userinput>
	après avoir sélectionné
	&ldquo;Other&rdquo; dans le menu des sites FTP durant
	l'installation.</para>

      <note>
	<para>Si la version du support de démarrage (des
	  disquettes en général) pour vos clients FTP
	  n'est pas exactement la même que celle du site FTP
	  local, alors <application>sysinstall</application> ne vous
	  laissera pas achever l'installation.  Si les versions ne sont
	  pas identiques mais que vous désirez forcer
	  l'installation, vous devez vous rendre dans le menu
	  <guimenu>Options</guimenu> et changer le nom de la
	  distribution pour <guimenuitem>any</guimenuitem>.</para>
      </note>

      <warning>
	<para>Cette approche est correcte pour une machine qui est sur votre
	  réseau local, et qui est protégée par votre
	  coupe-feu.  Offrir un accès FTP &agrave; d'autres machines sur
	  Internet (et non sur votre réseau local) expose votre
	  ordinateur &agrave; l'attention de crackers et autres
	  indésirables.  Nous recommandons fortement de suivre de bonnes
	  pratiques de sécurité si vous
	  faites cela.</para>
      </warning>
    </sect2>

      <sect2>
        <title>Création de disquettes d'installation</title>

      <indexterm>
	<primary>installation</primary>
	<secondary>disquettes</secondary>
      </indexterm>

      <para>Si vous devez installer &agrave; partir de disquettes (ce que nous
	suggérons de ne <emphasis>pas</emphasis> faire), soit en raison
	d'un matériel non supporté, soit que vous aimez vous
	compliquer la vie, vous devez d'abord préparer des disquettes
	pour l'installation.</para>

	<para>Il vous faudra au minimum autant de disquettes 1.44&nbsp;Mo
	  que nécessaire pour y mettre tous les fichiers du
	  répertoire <filename>base</filename> (distribution de base).
	  Si vous préparez ces disquettes sous DOS, alors elles
	  <emphasis>doivent</emphasis> être formatées en utilisant
	  la commande &ms-dos; <command>FORMAT</command>.  Si vous utilisez
	  &windows;, utilisez l'Explorateur pour formater les disquettes
	  (clic-droit sur le lecteur <devicename>A:</devicename> , et
	  sélectionnez &ldquo;Formater&rdquo;).</para>

	<para>Ne faites <emphasis>pas</emphasis> confiance aux
	  disquettes préformatées en usine.  Reformatez-les
	  vous-même, de façon &agrave; être sûr.
	  Nos utilisateurs nous ont, dans le passé, signalé de
	  nombreux problèmes dus &agrave; des disquettes
	  incorrectement formatées, ce qui explique pourquoi nous
	  insistons autant maintenant.</para>

	<para>Si vous créez les disquettes sur une autre machine
	  FreeBSD, ce n'est toujours pas une mauvaise idée de les
	  formatter, bien que vous n'ayez pas besoin de mettre un
	  système de fichiers &ms-dos; sur chaque disquette.  Vous pouvez
	  utiliser les commandes <command>bsdlabel</command> et
	  <command>newfs</command> pour y mettre un système de fichier
	  UFS &agrave; la place, comme le montre la séquence de commandes
	  suivantes (pour une disquette 3.5" de 1.44&nbsp;Mo):</para>

	<screen>&prompt.root; <userinput>fdformat -f 1440 fd0.1440</userinput>
&prompt.root; <userinput>bsdlabel -w fd0.1440 floppy3</userinput>
&prompt.root; <userinput>newfs -t 2 -u 18 -l 1 -i 65536 /dev/fd0</userinput></screen>

	<para>Vous pouvez alors les monter et y écrire comme sur
	  n'importe quel autre système de fichiers.</para>

	<para>Après avoir formatter les disquettes, vous devrez y copier
	  les fichiers.  Les fichiers de la distribution sont scindés en
	  morceaux de taille telle que cinq d'entre eux tiendront sur une
	  disquette 1.44&nbsp;Mo ordinaire.  Préparez les disquettes les unes
	  après les autres, en y mettant sur chacune autant de fichiers
	  que vous pouvez, jusqu'&agrave; ce que vous ayez recopié
	  toutes les
	  distributions que vous voulez installer.  Chaque distribution
	  doit avoir son propre sous-répertoire sur la disquette, e.g.:
	  <filename>a:\base\base.aa</filename>,
	  <filename>a:\base\base.ab</filename>, et ainsi de suite.</para>

	<important>
	  <para>Le fichier <filename>base.inf</filename> doit
	    également être présent sur la
	    première disquette de l'ensemble
	    <filename>base</filename> puisqu'il est lu par le
	    programme d'installation pour déterminer le nombre
	    de fichiers &agrave; rechercher lors de la
	    récupération et l'assemblage de la
	    distribution.</para>
	</important>

	<para>Une fois que vous êtes &agrave; l'écran de
	  sélection du support
	  d'installation, sélectionnez <guimenuitem>Floppy</guimenuitem> (disquette)
	  et vous aurez ensuite des indications sur la marche &agrave;
	  suivre.</para>
      </sect2>

      <sect2 id="install-msdos">
        <title>Installation depuis une partition &ms-dos;</title>

	<indexterm>
    <primary>installation</primary>
    <secondary>depuis MS-DOS</secondary>
  </indexterm>
	<para>Pour préparer l'installation depuis une partition &ms-dos;,
	  copiez les fichiers de la distribution dans un répertoire
	  appelé <filename>freebsd</filename> dans le répertoire
	  racine de cette partition.  Par exemple,
	  <filename>c:\freebsd</filename>.  L'arborescence des
	  répertoires du CDROM ou du site FTP doit être
	  partiellement reproduite dans ce répertoire, aussi nous
	  suggérons
	  l'utilisation de la commande DOS <command>xcopy</command> si
	  vous copiez &agrave; partir d'un CDROM.  Par exemple, pour
	  préparer une installation minimale de FreeBSD:</para>

	<screen><prompt>C:\&gt;</prompt> <userinput>md c:\freebsd</userinput>
<prompt>C:\&gt;</prompt> <userinput>xcopy e:\bin c:\freebsd\bin\ /s</userinput>
<prompt>C:\&gt;</prompt> <userinput>xcopy e:\manpages c:\freebsd\manpages\ /s</userinput></screen>

	<para>En supposant que <devicename>C:</devicename> est l'endroit
	  où vous avez de l'espace libre et que votre CDROM soit
	  monté sur <devicename>E:</devicename>.</para>

	<para>Si vous n'avez pas de lecteur de CDROM, vous pouvez
	  télécharger la distribution depuis <ulink
	  url="ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/i386/&rel.current;-RELEASE/">ftp.FreeBSD.org</ulink>.
	  Chaque distribution est dans son propre répertoire; par
	  exemple la distribution <emphasis>base</emphasis>
	  peut être trouvée dans le répertoire <ulink
	  url="ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/i386/&rel.current;-RELEASE/base/">&rel.current;/base/</ulink>.</para>

	<para>Copiez chaque distribution que vous voulez installer
	  depuis la partition &ms-dos; (et pour laquelle vous avez de
	  l'espace libre) dans <filename>c:\freebsd</filename> &mdash;
	  la distribution <literal>BIN</literal> n'est que le minimum
	  obligatoire.</para>
      </sect2>

      <sect2>
        <title>Création d'une bande d'installation</title>

	<indexterm>
    <primary>installation</primary>
    <secondary>&agrave; partir de bandes QIC/SCSI</secondary>
  </indexterm>
	<para>Installer &agrave; partir de bandes est probablement la
	  méthode
	  la plus simple, mis &agrave; part l'installation en ligne avec FTP ou
	  depuis le CDROM.  Le programme d'installation s'attend &agrave; ce
	  que les fichiers soient simplement archivés sur la bande.
	  Après avoir récupéré tous les fichiers
	  des distributions qui vous intéressent, archivez-les avec
	  <command>tar</command> sur la bande:</para>

	<screen>&prompt.root; <userinput>cd /freebsd/distdir</userinput>
&prompt.root; <userinput>tar cvf /dev/rwt0 dist1 ... dist2</userinput></screen>

	<para>Quand vous installez, vous devez vous assurer qu'il y a
	  assez de place dans un répertoire temporaire (que vous pourrez
	  choisir) pour y mettre le contenu <emphasis>entier</emphasis>
	  de la bande que vous avez créée.  En raison de
	  l'accès non-aléatoire des bandes, cette méthode
	  exige un espace de
	  stockage temporaire important.</para>

	<note>
	  <para>Au moment d'installer, la bande doit être dans le lecteur
	    <emphasis>avant</emphasis> de démarrer avec la disquette.
	    Sinon les tests risquent de ne pas la trouver.</para>
	</note>
      </sect2>

      <sect2>
        <title>Avant d'installer via le réseau</title>

	<indexterm>
    <primary>installation</primary>
    <secondary>réseau</secondary>
    <tertiary>série (SLIP ou PPP)</tertiary>
  </indexterm>
	<indexterm>
    <primary>installation</primary>
    <secondary>réseau</secondary>
    <tertiary>parallèle (PLIP)</tertiary>
  </indexterm>
	<indexterm>
    <primary>installation</primary>
    <secondary>réseau</secondary>
    <tertiary>Ethernet</tertiary>
  </indexterm>
	<para>Il y a trois types d'installation réseau disponibles. Par
	  Ethernet (un contrôleur Ethernet standard), par
	  port série (SLIP ou PPP), ou par port parallèle (PLIP
	  (câble laplink)).</para>

	<para>Pour une installation réseau la plus rapide
	  possible, une carte Ethernet est toujours un bon choix!
	  FreeBSD supporte la plupart des cartes Ethernet PC
	  courantes; une liste des cartes supportées (et leur
	  paramétrage requis) est fournie dans la liste de
	  compatibilité matérielle de chaque version de
	  FreeBSD.  Si vous utilisez une des cartes Ethernet PCMCIA
	  supportée, assurez-vous qu'elle soit en place
	  <emphasis>avant</emphasis> d'allumer le portable!  FreeBSD
	  ne supporte pas, malheureusement, actuellement l'insertion
	  &agrave; chaud des cartes PCMCIA pendant
	  l'installation.</para>

	<para>Vous devrez aussi connaître votre adresse IP sur
	  le réseau, le masque de réseau pour votre
	  classe d'adresses, et le nom de votre machine.  Si vous
	  installez par l'intermédiaire d'une connexion PPP et
	  que vous n'avez pas d'IP fixe, ne prenez pas peur, l'adresse
	  IP peut être dynamiquement assignée par votre
	  fournisseur d'accès.  Votre administrateur
	  système peut vous dire quelles valeurs utiliser pour
	  votre configuration réseau particulière.  Si
	  vous devez référencer d'autres machines par
	  leur nom plutôt que par leurs adresses IP, vous devrez
	  aussi connaître un serveur de noms et peut-être
	  l'adresse d'une passerelle (si vous utilisez PPP, c'est
	  l'adresse IP de votre fournisseur d'accès) pour
	  accéder &agrave; ce serveur.  Si vous voulez
	  installer par FTP via un proxy HTTP, vous aurez
	  également besoin de l'adresse du proxy.  Si vous
	  n'avez pas les réponses &agrave; toutes ou la plupart
	  de ces questions, alors vous devriez vraiment en discuter
	  avec votre administrateur système ou votre
	  fournisseur d'accès <emphasis>avant</emphasis>
	  d'essayer ce type d'installation.</para>

	<para>Le support SLIP est assez rudimentaire, et essentiellement
	  limité aux lignes directes, comme un câble série
	  entre un
	  ordinateur portable et un autre ordinateur.  La liaison devra
	  être directe car l'installation par SLIP n'offre pas la
	  possibilité de se connecter par téléphone; cette
	  fonctionnalité est fournie par l'utilitaire PPP, qu'il faut
	  utiliser de préférence &agrave; SLIP chaque fois que
	  c'est possible.</para>

	<para>Si vous utilisez un modem, PPP est presque certainement
	  votre seul choix.  Veillez &agrave; avoir sous la main les
	  informations concernant votre fournisseur d'accès car vous en
	  aurez besoin assez tôt dans la procédure
	  d'installation.</para>

	<para>Si vous utilisez PAP ou CHAP pour vous connecter &agrave; votre
	  fournisseur d'accès (en d'autres termes, si vous pouvez vous
	  connecter au fournisseur d'accès sous &windows; sans utiliser de
	  script), alors tout ce que vous aurez &agrave; faire est de taper
	  <command>dial</command> &agrave; l'invite de
	  <application>ppp</application>.  Sinon, vous devrez savoir comment se
	  connecter &agrave; votre fournisseur d'accès en utilisant
	  les &ldquo;commandes AT&rdquo; propres &agrave; votre modem, car le
	  programme d'appel PPP ne fournit qu'un émulateur de terminal
	  très simplifié.  Veuillez vous reporter aux sections
	  concernant ppp utilisateur du <link
	  linkend="userppp">Manuel</link> et de la <ulink
	  url="&url.books.faq;/ppp.html">FAQ</ulink> pour plus d'informations.
	  Si vous avez des problèmes, connectez-vous directement &agrave;
	  l'écran avec la commande <command>set log local
	  ...</command>.</para>

	<para>Si vous disposez d'une liaison directe &agrave; une autre machine
	  FreeBSD (2.0-R ou ultérieure), vous pourrez envisager
	  d'installer avec un câble &ldquo;laplink&rdquo; sur le port
	  parallèle.  La vitesse de transmission sur le port
	  parallèle
	  est plus importante que celle que l'on obtient habituellement
	  avec une liaison série (jusqu'&agrave; 50&nbsp;Koctets/sec), ce qui
	  accélère l'installation.</para>

	<sect3>
	  <title>Avant d'installer par NFS</title>

    <indexterm>
      <primary>installation</primary>
      <secondary>réseau</secondary>
      <tertiary>NFS</tertiary>
    </indexterm>
	  <para>L'installation NFS est assez directe.  Copiez simplement
	    les fichiers de la distribution FreeBSD que vous voulez
	    quelque part sur un serveur NFS et ensuite mentionnez-le
	    au moment de sélectionner le support
	    NFS.</para>

	  <para>Si le serveur n'accepte que les accès sur les
	    &ldquo;ports privilégiés&rdquo; (ce qui est
	    généralement le
	    cas par défaut sur les stations de travail Sun), vous devrez
	    préciser l'option <literal>NFS Secure</literal> dans le menus des <guimenu>Options</guimenu> avant de
	    procéder &agrave; l'installation.</para>

	  <para>Si vous avez une carte Ethernet de mauvaise qualité qui
	    souffre de vitesses de transfert très faibles, vous devrez
	    peut-être aussi positionner l'option
	    <literal>NFS Slow</literal>.</para>

	  <para>Pour que l'installation NFS fonctionne, le serveur doit
	    pouvoir monter des sous-répertoires, par exemple, si le
	    répertoire
	    pour votre distribution de FreeBSD&nbsp;&rel.current; est:
	    <filename>ziggy:/usr/archive/stuff/FreeBSD</filename>, alors
	    <hostid>ziggy</hostid> devra autoriser le montage de
	    <filename>/usr/archive/stuff/FreeBSD</filename>, et non
	    seulement de <filename>/usr</filename> ou
	    <filename>/usr/archive/stuff</filename>.</para>

	  <para>Dans le fichier <filename>/etc/exports</filename> de
	    FreeBSD, on contrôle cela avec l'option
	    <option>-alldirs</option>.  D'autres serveurs NFS peuvent
	    avoir d'autres conventions.  Si le serveur vous envoie des
	    messages <errorname>permission denied</errorname>, alors il est
	    probable que vous n'avez pas activé correctement cette
	    fonctionnalité.</para>
	</sect3>

      </sect2>
  </sect1>
</chapter>