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204 KiB
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The FreeBSD Documentation Project
The FreeBSD French Documentation Project
$FreeBSD$
Original revision: 1.392
-->
<chapter id="install">
<chapterinfo>
<authorgroup>
<author>
<firstname>Jim</firstname>
<surname>Mock</surname>
<contrib>Restructuré, réorganisé, et en partie
réécrit par </contrib>
</author>
</authorgroup>
<authorgroup>
<author>
<firstname>Randy</firstname>
<surname>Pratt</surname>
<contrib>Le guide de sysinstall, les copies d'écrans, et la
plupart du texte sont de </contrib>
</author>
</authorgroup>
<!-- January 2000 -->
</chapterinfo>
<title>Installer FreeBSD</title>
&trans.a.fonvieille;
<sect1 id="install-synopsis">
<title>Synopsis</title>
<indexterm><primary>installation</primary></indexterm>
<para>FreeBSD est fourni avec un programme d'installation en mode texte,
facile d'emploi, appelé <application>sysinstall</application>.
C'est le programme d'installation par défaut de FreeBSD, bien que
les vendeurs soient libres de fournir leur propre suite
d'installation s'ils le désirent. Ce chapitre décrit
comment
utiliser <application>sysinstall</application> pour installer
FreeBSD.</para>
<para>Après la lecture de ce chapitre, vous saurez:</para>
<itemizedlist>
<listitem>
<para>Comment créer les disquettes d'installation de
FreeBSD.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Comment FreeBSD attribue, et subdivise votre disque
dur.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Comment lancer <application>sysinstall</application>.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Les questions que <application>sysinstall</application>
vous posera, ce qu'elles signifient, et comment y
répondre.</para>
</listitem>
</itemizedlist>
<para>Avant de lire ce chapitre, vous devrez:</para>
<itemizedlist>
<listitem>
<para>Lire la liste du matériel supporté fournie avec la
version de FreeBSD que vous allez installer, et vérifier que
votre matériel est supporté.</para>
</listitem>
</itemizedlist>
<note>
<para>En général, ces instructions d'installation sont
écrites pour l'architecture &i386; (&ldquo;compatible PC&rdquo;).
Où elles seront applicables, les instructions spécifiques
&agrave; d'autres plateformes (par exemple Alpha) seront
indiquées. Bien que ce guide soit maintenu &agrave; jour
autant que possible, vous pourrez constater des
différences mineures entre le programme d'installation
et ce qui est montré ici. Il est aussi
suggéré d'utiliser ce chapitre comme un guide
général plutôt comme un manuel
d'installation &agrave; suivre &agrave; la ligne
près.</para>
</note>
</sect1>
<sect1 id="install-hardware">
<title>Matériel nécessaire</title>
<sect2 id="install-hardware-minimal">
<title>Configuration minimale</title>
<para>La configuration minimale pour installer &os; varie avec
la version de &os; et l'architecture matérielle
concernée.</para>
<para>Des informations au sujet de la configuration minimale
sont disponibles dans les notes d'installation
présentes sur la page d'<ulink
url="http://www.FreeBSD.org/releases/index.html">Information
des versions</ulink> du site de &os;. Un résumé
de ces informations est présenté dans les
sections suivantes. En fonction de la méthode
d'installation de &os; que vous avez choisie, vous pourrez
avoir besoin d'un lecteur de disquette, d'un lecteur de CDROM
supporté, et dans certains cas d'une carte
réseau. Cela sera abordé dans la <xref
linkend="install-floppies"/>.</para>
<sect3>
<title>Architectures &os;/&arch.i386; et &os;/&arch.pc98;</title>
<para>&os;/&arch.i386; et &os;/&arch.pc98; nécessitent un processeur
486 ou plus performant et au moins 24&nbsp;Mo de RAM. Vous
aurez également besoin d'au moins 150&nbsp;Mo
d'espace libre sur un disque dur pour l'installation la plus
réduite.</para>
<note>
<para>Dans le cas d'anciennes configurations, la plupart du
temps, il sera plus important d'avoir plus de RAM et plus
d'espace disque que d'avoir un processeur plus
rapide.</para>
</note>
</sect3>
<sect3>
<title>Architecture &os;/&arch.alpha;</title>
<indexterm><primary>Alpha</primary></indexterm>
<para>Pour installer &os;/&arch.alpha;, une plate-forme
supportée sera nécessaire (voir <xref
linkend="install-hardware-supported"/>) ainsi qu'un disque
dédié &agrave; &os;. Il n'est pas, pour le
moment, possible de partager un disque avec un autre
système d'exploitation. Ce disque devra être
raccordé &agrave; un contrôleur SCSI
supporté par le firmware SRM ou devra être un
disque IDE en supposant que votre machine permet le
démarrage &agrave; partir de disques IDE.</para>
<indexterm><primary>ARC</primary></indexterm>
<indexterm><primary>Alpha BIOS</primary></indexterm>
<indexterm><primary>SRM</primary></indexterm>
<para>Vous aurez besoin du firmware SRM pour votre
plate-forme. Dans certains cas, il est possible de basculer
entre AlphaBIOS (ou ARC) et SRM. Dans d'autres cas, il sera
nécessaire de récupérer un nouveau
firmware sur le site du constructeur.</para>
<note>
<para>Le support pour l'architecture Alpha cesse avec
&os;&nbsp;7.0. Les versions
&os;&nbsp;6.<replaceable>X</replaceable> sont les
dernières proposant le support de cette
architecture.</para>
</note>
</sect3>
<sect3>
<title>&os;/&arch.amd64;</title>
<para>Il existe deux classes de processeurs en mesure
d'utiliser &os;/&arch.amd64;. La première est
composée des processeurs AMD64, dont les processeurs
&amd.athlon;64, &amd.athlon;64-FX, &amd.opteron; et
suivants.</para>
<para>La seconde classe de processeurs pouvant utiliser
&os;/&arch.amd64; comprend les processeurs basés sur
l'architecture &intel; EM64T. Comme par exemple, les
familles de processeur &intel;&nbsp;&core;&nbsp;2 Duo, Quad,
et Extreme et la série des processeurs
&intel;&nbsp;&xeon; 3000, 5000, et 7000.</para>
<para>Si vous avez une machine basée sur le circuit
nVidia nForce3 Pro-150, vous <emphasis>devez</emphasis>
désactiver l'option IO APIC dans le BIOS de votre
machine. Si vous n'avez pas la possibilité de le
faire, vous devrez désactiver &agrave; la place
l'ACPI. Il existe un certain nombre de bogues dans le
circuit Pro-150 pour lesquels nous n'avons toujours pas
trouvé de solution.</para>
</sect3>
<sect3>
<title>Architecture &os;/&arch.sparc64;</title>
<para>Pour installer &os;/&arch.sparc64;, une plate-forme
supportée sera nécessaire (voir <xref
linkend="install-hardware-supported"/>).</para>
<para>Vous aurez besoin d'un disque dédié pour
&os;/&arch.sparc64;. Il n'est pas, pour le moment, possible de
partager un disque avec un autre système
d'exploitation.</para>
</sect3>
</sect2>
<sect2 id="install-hardware-supported">
<title>Matériel supporté</title>
<para>Une liste du matériel supporté est
disponible avec chaque version de FreeBSD dans la liste de
compatibilité matérielle. Ce document peut
être généralement trouvé sous la
forme d'un fichier nommé
<filename>HARDWARE.TXT</filename>, sur la racine d'un CDROM ou
le répertoire d'un FTP de distribution ou dans le menu
de documentation de <application>sysinstall</application>. Ce
fichier énumère, pour une architecture
donnée, quels sont les périphériques
supportés par chaque version de FreeBSD. La liste du
matériel supporté par chaque version et
architecture peut également être trouvée
sur la page d'<ulink
url="http://www.FreeBSD.org/releases/index.html">Information
sur les versions</ulink> du site Web de FreeBSD.</para>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="install-pre">
<title>Tâches de pré-installation</title>
<sect2 id="install-inventory">
<title>Inventoriez votre ordinateur</title>
<para>Avant d'installer FreeBSD vous devriez faire l'inventaire des
composants de votre ordinateur. Les routines d'installation de
FreeBSD afficheront ces composants (disques durs, cartes
réseaux, lecteurs de CDROM et ainsi de suite) avec leur type et
leur constructeur. FreeBSD essaiera également de
déterminer la configuration correcte pour ces
périphériques, ce qui inclut les
informations sur les IRQs et l'utilisation des ports d'E/S. En
raison des caprices du matériel PC ce processus n'est pas
toujours complètement réussi, et vous pourrez avoir
besoin de corriger
FreeBSD dans sa détection de votre configuration.</para>
<para>Si vous avez déj&agrave; un autre système
d'exploitation installé,
tel que &windows; ou Linux, c'est une bonne idée d'utiliser les
moyens que proposent ces systèmes d'exploitation pour voir
comment votre matériel est actuellement configuré.
Si vous n'êtes pas sûr des réglages
utilisés par une carte
d'extension, vous pouvez les trouver imprimés sur la carte
elle-même. Des valeurs d'IRQ courantes sont 3, 5 et 7, et les
ports d'E/S sont normalement inscrits en hexadécimal, comme par
exemple 0x330.</para>
<para>Nous vous recommandons de prendre note de ces informations
avant d'installer FreeBSD. Il pourra être utile d'utiliser une
table comme celle-ci:</para>
<table pgwide="1" frame="none">
<title>Exemple d'inventaire de périphériques</title>
<tgroup cols="4">
<colspec colwidth="2*"/>
<colspec colwidth="1*"/>
<colspec colwidth="1*"/>
<colspec colwidth="4*"/>
<thead>
<row>
<entry>Nom du Périphérique</entry>
<entry>IRQ</entry>
<entry>Port(s) d'E/S</entry>
<entry>Notes</entry>
</row>
</thead>
<tbody>
<row>
<entry>Premier disque dur</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>40&nbsp;Go, fabriqué par Seagate, premier disque IDE
maître</entry>
</row>
<row>
<entry>CDROM</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>Premier disque IDE esclave</entry>
</row>
<row>
<entry>Second disque dur</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>20&nbsp;Go, fabriqué par IBM, second disque IDE
maître</entry>
</row>
<row>
<entry>Premier contrôleur IDE</entry>
<entry>14</entry>
<entry>0x1f0</entry>
<entry></entry>
</row>
<row>
<entry>Carte réseau</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>&intel; 10/100</entry>
</row>
<row>
<entry>Modem</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>&tm.3com; 56K faxmodem, sur COM1</entry>
</row>
<row>
<entry>&hellip;</entry>
</row>
</tbody>
</tgroup>
</table>
<para>Une fois l'inventaire des composants présents dans
votre ordinateur effectué, vous devez vérifier
s'ils correspondent au matériel nécessaire
&agrave; l'installation de la version de &os; que vous voulez
utiliser.</para>
</sect2>
<sect2>
<title>Sauvegardez vos données</title>
<para>Si l'ordinateur sur lequel vous allez installer FreeBSD
contient des données importantes alors assurez vous que vous les
avez sauvegardées, et que vous avez testé ces sauvegardes
avant d'installer FreeBSD. Le programme d'installation de FreeBSD
vous sollicitera avant d'écrire sur votre disque,
mais une fois que ce processus aura été lancé,
il ne pourra être annulé.</para>
</sect2>
<sect2 id="install-where">
<title>Où installer FreeBSD?</title>
<para>Si vous voulez que FreeBSD utilise tout votre disque, alors
il n'y rien de particulier &agrave; ajouter &agrave; ce niveau
l&agrave; &mdash; vous pouvez passer cette section.</para>
<para>Cependant, si FreeBSD doit coexister avec d'autres systèmes
d'exploitation alors vous avez besoin de comprendre
approximativement comment les données sont disposées
sur le disque, et comment cela vous affecte.</para>
<sect3 id="install-where-i386">
<title>Organisation des disques pour l'architecture &os;/&arch.i386;</title>
<para>Le disque d'un PC peut être divisé en portions
indépendantes.
Ces portions sont appelées <firstterm>partitions</firstterm>.
Comme &os; possède en interne également des partitions, cette
appellation peut rapidement être une source de confusion,
aussi ces portions de disque sont appelées
<quote>tranches de disque</quote> (disk slices) ou tout
simplement tranche (slice) sous &os;. Par exemple,
l'utilitaire &os; <command>fdisk</command> qui agit sur les
partitions PC, fait référence aux slices
plutôt qu'aux partitions.
De par sa conception le PC ne supporte que quatre partitions par
disque. Ces partitions sont appelées
<firstterm>partitions primaires</firstterm>. Pour contourner cette
limitation et autoriser plus de quatre partitions, un nouveau type de
partition a été créé, la
<firstterm>partition étendue</firstterm>.
Un disque ne pourra contenir qu'une seule partition étendue.
Des partitions spéciales, appelées
<firstterm>partitions logiques</firstterm>, peuvent être
créées
&agrave; l'intérieur de la partition étendue.</para>
<para>Chaque partition a un <firstterm>identifiant de
partition</firstterm>, qui est un nombre utilisé pour identifier
le type de donnée présent sur la partition.
Les partitions de
FreeBSD ont l'identifiant <literal>165</literal>.</para>
<para>En général, chaque système d'exploitation
que vous utilisez identifiera les partitions d'une manière
particulière. Par
exemple, DOS, et ses descendants, comme &windows;, associe &agrave;
chaque partition primaire et logique <firstterm>une lettre
appelée lecteur</firstterm>, en commençant avec
<devicename>C:</devicename>.</para>
<para>FreeBSD doit être installé sur une partition primaire.
FreeBSD peut conserver toutes ses données, y compris tous les
fichiers que vous créez, sur cette partition. Cependant, si
vous avez de multiples disques, alors vous pouvez créer une
partition FreeBSD sur tous ou certains d'entre eux. Quand vous
installez FreeBSD, vous devez avoir une partition disponible.
Cela pourrait être une partition vierge que vous avez
préparé, ou une partition existante qui contient
des données dont vous n'avez plus besoin.</para>
<para>Si vous utilisez déj&agrave; toutes les partitions sur
tous vos disques, alors vous devrez libérer l'une d'elle pour
FreeBSD &agrave;
l'aide des outils fournis par les autre systèmes d'exploitation
(e.g. <command>fdisk</command> sous DOS ou &windows;).</para>
<para>Si vous avez une partition disponible alors vous pouvez
l'utiliser. Cependant, vous aurez peut être besoin de diminuer
une ou plusieurs de vos partitions existantes en premier
lieu.</para>
<para>Une installation minimale de FreeBSD prend aussi peu que
100&nbsp;Mo d'espace disque. Cependant c'est vraiment une installation
<emphasis>minimale</emphasis>, ne laissant presque aucun espace
pour vos propres fichiers. Un minimum plus réaliste est 250&nbsp;Mo
sans environnement graphique, et 350&nbsp;Mo ou plus si vous désirez
une interface graphique. Si vous avez l'intention d'installer
beaucoup d'applications alors vous aurez besoin de plus
d'espace.</para>
<para>Vous pouvez utiliser un outil commercial comme
<application>&partitionmagic;</application> ou un outil libre comme <application>GParted</application> pour redimensionner
vos partitions et faire de la place &agrave; FreeBSD.
Le répertoire
<filename>tools</filename> sur le CDROM contient deux logiciels
libres qui peuvent se charger de cette tâche,
<application>FIPS</application> et <application>PResizer</application>.
La documentation pour deux de ces programmes se trouve dans le
même répertoire.
<application>FIPS</application>, <application>PResizer</application>,
et <application>&partitionmagic;</application> peuvent
redimensionner les partitions <acronym>FAT16</acronym> et
<acronym>FAT32</acronym>&mdash; utilisées sous &ms-dos;
jusqu'&agrave; &windows; ME.
Les logiciels <application>&partitionmagic;</application> et
<application>GParted</application> fonctionne également avec
les partitions <acronym>NTFS</acronym>.
<application>GParted</application> est disponible sur
plusieurs CD Live Linux, comme <ulink
url="http://www.sysresccd.org/">SystemRescueCD</ulink>.</para>
<para>Des problèmes ont été
rapportés concernant le redimensionnement des
partitions &microsoft; Vista. Il est recommandé
d'avoir un CDROM de Vista sous la main quand l'on tente une
telle opération. Comme pour toute tâche de
maintenance des disques, il est fortement conseillé de
disposer d'un ensemble de sauvegardes &agrave; jour.</para>
<warning>
<para>Une utilisation incorrecte de ces outils peut détruire les
données sur votre disque. Soyez sûr d'avoir des
sauvegardes récentes et qui fonctionnent avant d'utiliser ces
outils.</para>
</warning>
<example>
<title>Utilisation d'une partition existante</title>
<para>Supposez que vous avez un ordinateur avec un seul disque
de 4&nbsp;Go qui a déj&agrave; une version de &windows;
installée, et que
vous avez divisé ce disque en deux lecteurs
<devicename>C:</devicename> et <devicename>D:</devicename>,
chacun de 2&nbsp;Go. Vous avez 1Go de donnée sur
<devicename>C:</devicename> et 0.5&nbsp;Go sur
<devicename>D:</devicename>.</para>
<para>Cela signifie que vous avez deux partitions sur ce disque,
une par lecteur. Vous pouvez transférer toutes les
données de
<devicename>D:</devicename> vers <devicename>C:</devicename>,
ce qui libérera la partition pour FreeBSD.</para>
</example>
<example>
<title>Redimensionner une partition existante</title>
<para>Supposez que vous avez un ordinateur avec un seul disque
de 4&nbsp;Go qui a déj&agrave; une version de &windows;
installée. Quand vous avez installé &windows; vous
avez créé une seule grande
partition, vous donnant un lecteur <devicename>C:</devicename>
de 4&nbsp;Go. Vous utilisez actuellement un espace de 1.5&nbsp;GB, et
vous désirez 2&nbsp;Go pour FreeBSD.</para>
<para>Afin d'installer FreeBSD vous devrez soit:</para>
<orderedlist>
<listitem>
<para>Sauvegarder vos données &windows;, et ensuite
réinstaller &windows;, en utilisant qu'une partition de 2&nbsp;Go
&agrave; l'installation.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Soit utiliser un des outils comme
<application>&partitionmagic;</application>, décrits plus
haut, pour redimensionner votre partition &windows;</para>
</listitem>
</orderedlist>
</example>
</sect3>
<sect3>
<title>Organisation des disques pour l'architecture Alpha</title>
<indexterm><primary>Alpha</primary></indexterm>
<para>Vous aurez besoin d'un disque dédié pour FreeBSD
sur un Alpha. Il n'est pas possible de partager un disque avec un
autre système d'exploitation pour le moment. Selon le type de
machine Alpha dont vous disposez, ce disque peut soit être un
disque SCSI ou un disque IDE, dès l'instant que votre machine
est capable de démarrer depuis ce disque.</para>
<para>Suivant les conventions des manuels de Digital / Compaq,
toute entrée SRM sera donnée en majuscule. SRM n'est
pas sensible &agrave; la casse des caractères.</para>
<para>Pour déterminer les noms et les types de disques
présent dans votre machine, utilisez la commande <literal>SHOW
DEVICE</literal> &agrave; l'invite de la console SRM:</para>
<screen>&gt;&gt;&gt;<userinput>SHOW DEVICE</userinput>
dka0.0.0.4.0 DKA0 TOSHIBA CD-ROM XM-57 3476
dkc0.0.0.1009.0 DKC0 RZ1BB-BS 0658
dkc100.1.0.1009.0 DKC100 SEAGATE ST34501W 0015
dva0.0.0.0.1 DVA0
ewa0.0.0.3.0 EWA0 00-00-F8-75-6D-01
pkc0.7.0.1009.0 PKC0 SCSI Bus ID 7 5.27
pqa0.0.0.4.0 PQA0 PCI EIDE
pqb0.0.1.4.0 PQB0 PCI EIDE</screen>
<para>Cet exemple provient d'une machine &ldquo;Digital Personal
Workstation 433au&rdquo; et fait apparaître trois disques
attachés &agrave; la machine. Le premier est un lecteur de
CDROM appelé <devicename>DKA0</devicename> et les deux
autres sont des disques dur nommés respectivement
<devicename>DKC0</devicename> et
<devicename>DKC100</devicename>.</para>
<para>Les disques avec des noms de la forme
<devicename>DKx</devicename> sont des disques SCSI. Par
exemple <devicename>DKA100</devicename> correspond &agrave; un
disque SCSI situé sur le premier bus SCSI (A) et avec pour
identifiant 1, tandis que <devicename>DKC300</devicename>
correspond &agrave; un disque SCSI situé sur le
troisième bus (C) et
ayant l'identifiant 3. Le nom de périphérique
<devicename>PKx</devicename> correspond au contrôleur SCSI.
Comme le montre le résultat de la commande <literal>SHOW
DEVICE</literal>, les lecteurs de CDROM SCSI sont traités
comme n'importe quel disque dur SCSI.</para>
<para>Les disque IDE ont des noms du type
<devicename>DQx</devicename> et
<devicename>PQx</devicename> correspond au contrôleur IDE
associé.</para>
</sect3>
</sect2>
<sect2>
<title>Connaître la configuration de votre réseau</title>
<para>Si vous avez l'intention d'utiliser un réseau pour
votre installation de FreeBSD (par exemple, si vous allez
installer &agrave; partir d'un site FTP, ou d'un serveur NFS), alors
vous devez connaître votre configuration réseau. On vous
demandera ces informations durant l'installation afin que
FreeBSD puisse se connecter au réseau pour terminer
l'installation.</para>
<sect3>
<title>Connexion par réseau Ethernet, ou modem Cable/DSL</title>
<para>Si vous vous connectez &agrave; un réseau Ethernet, ou que
vous avez une connexion Internet par câble ou DSL utilisant une carte Ethernet, alors vous
aurez besoin des informations suivantes:</para>
<orderedlist>
<listitem>
<para>Adresse IP</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Adresse IP de la passerelle par défaut</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Nom de l'hôte</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Adresses IP du serveur DNS</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Masque de sous-réseau</para>
</listitem>
</orderedlist>
<para>Si vous ne connaissez pas ces informations, alors
adressez-vous &agrave; votre administrateur système ou votre
fournisseur d'accès. Ils peuvent vous dire que ces
informations sont assignées automatiquement par
l'intermédiaire
de <firstterm>DHCP</firstterm>. Si c'est le cas prenez en
note.</para>
</sect3>
<sect3>
<title>Connexion par modem</title>
<para>Si vous vous connectez &agrave; un fournisseur d'accès
en utilisant un
modem classique alors vous pouvez toujours installer FreeBSD en
utilisant Internet, cela prendra juste beaucoup de temps.</para>
<para>Vous devrez connaître:</para>
<orderedlist>
<listitem>
<para>Le numéro de téléphone de connexion
&agrave; votre fournisseur d'accès</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Le port COM: le port auquel votre modem est connecté</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Le nom d'utilisateur et le mot de passe de votre
compte Internet</para>
</listitem>
</orderedlist>
</sect3>
</sect2>
<sect2>
<title>Vérifier l'Errata</title>
<para>Bien que le projet FreeBSD s'efforce de s'assurer que chaque
version de FreeBSD soit aussi stable que possible, des bogues
peuvent parfois exister. Il est très rare que ces bogues
affectent le processus d'installation. Dès que ces
problèmes sont découverts et corrigés, ils
sont notés dans l'<ulink url="http://www.FreeBSD.org/releases/&rel.current;R/errata.html">Errata de FreeBSD</ulink>, présent sur le
site web de FreeBSD. Vous devriez vérifier l'errata avant
l'installation afin d'être sûr qu'il n'y a pas de
problème de dernière minute &agrave; prendre
en compte.</para>
<para>Les informations sur chaque version, y compris les errata,
peuvent être trouvé dans la section <ulink
url="&url.base;/releases/index.html">d'information sur les
différentes
versions</ulink> située sur le <ulink
url="&url.base;/index.html">site web de FreeBSD</ulink>.</para>
</sect2>
<sect2>
<title>Obtenir les fichiers d'installation de FreeBSD</title>
<para>Le processus d'installation de FreeBSD peut installer
FreeBSD &agrave; partir de fichiers placés dans
les endroits suivants:</para>
<itemizedlist>
<title>Un média local</title>
<listitem>
<para>Un CDROM ou un DVD</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Une partition DOS sur le même ordinateur</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Une bande SCSI ou QIC</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Des disquettes</para>
</listitem>
</itemizedlist>
<itemizedlist>
<title>Le réseau</title>
<listitem>
<para>Un site FTP, en passant par un coupe-feu, ou en
utilisant un proxy HTTP si nécessaire</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Un serveur NFS</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Une connexion dédiée parallèle
ou série</para>
</listitem>
</itemizedlist>
<para>Si vous avez acheté FreeBSD sur CD ou DVD alors vous
disposez déj&agrave; de ce que vous avez besoin,
et vous devriez passer &agrave; la section suivante
(<xref linkend="install-floppies"/>).</para>
<para>Si vous n'avez pas récupéré les fichiers
d'installation de FreeBSD vous devriez aller directement &agrave; la
<xref linkend="install-diff-media"/> qui explique comment se
préparer &agrave; installer FreeBSD &agrave; partir d'une des
solutions données ci-dessus. Après avoir lu cette
section, vous devrez revenir ici, et continuer la lecture avec la
<xref linkend="install-floppies"/>.</para>
</sect2>
<sect2 id="install-floppies">
<title>Préparer les supports de démarrage</title>
<para>Le processus d'installation de FreeBSD est lancé en
démarrant votre ordinateur dans l'installateur de
FreeBSD&mdash;ce n'est pas un programme que vous exécutez
&agrave; partir d'un autre système d'exploitation. Votre
ordinateur démarre normalement en utilisant le système
d'exploitation installé sur votre disque dur, mais il peut
également être configuré pour
utiliser une disquette &ldquo;bootable&rdquo;.
La plupart des ordinateurs modernes peuvent
également démarrer &agrave; partir d'un CDROM
présent dans le lecteur de CDROM.</para>
<tip>
<para>Si vous avez FreeBSD sur CDROM ou DVD (soit un que vous
avez acheté, soit préparez vous-même),
et que votre ordinateur vous permet de démarrer sur le lecteur
de CDROM ou DVD (typiquement une option du BIOS appelée
&ldquo;Boot Order&rdquo; ou équivalent) alors vous pouvez
passer cette section.
Les CDROMs ou DVDs de FreeBSD sont bootable et peuvent
être utilisés pour installer FreeBSD sans autre
préparation.</para>
</tip>
<para>Pour créer les images des disquettes de démarrage,
suivez les étapes suivantes:</para>
<procedure>
<step>
<title>Obtenir les images des disquettes de démarrage</title>
<para>Les images des disquettes de démarrage sont disponibles
sur votre média d'installation dans le répertoire
<filename>floppies/</filename> et peuvent également être
téléchargées par FTP depuis le
répertoire <filename class="directory">floppies</filename>,
<literal>ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/<replaceable>&lt;arch&gt;</replaceable>/<replaceable>&lt;version&gt;</replaceable>-RELEASE/floppies/</literal>.
Remplacez <replaceable>&lt;arch&gt;</replaceable> et
<replaceable>&lt;version&gt;</replaceable> avec
respectivement l'architecture et le numéro de
version que vous désirez installer. Par exemple,
les images de disquettes de démarrage de
&os;/&arch.i386;&nbsp;&rel.current;-RELEASE sont
disponibles &agrave; partir de l'adresse
<ulink url="ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/i386/&rel.current;-RELEASE/floppies/"></ulink>.</para>
<para>Les images de disquettes ont l'extension
<filename>.flp</filename>. Le répertoire
<filename>floppies/</filename> contient un certain nombre
d'images différentes, et celles que vous devrez utiliser
dépendent de la version de FreeBSD que vous allez
installer, et
dans certains cas, du matériel sur lequel vous effectuez
l'installation.
Dans la plupart des cas vous aurez besoin
de quatre disquettes: <filename>boot.flp</filename>,
<filename>kern1.flp</filename>,
<filename>kern2.flp</filename>, et
<filename>kern3.flp</filename>. Consultez
<filename>README.TXT</filename> dans le même
répertoire pour une information actualisée
sur ces images de disquette.</para>
<important>
<para>Votre programme FTP doit utiliser le <emphasis>mode
binaire</emphasis> pour télécharger ces images.
Quelques navigateurs sont connus pour employer le mode
<emphasis>texte</emphasis> (ou
<emphasis>ASCII</emphasis>), ce qui sera manifeste si vous
ne pouvez démarrer depuis ces images.</para>
</important>
</step>
<step>
<title>Préparer les disquettes</title>
<para>Vous devez préparer une disquette par fichier que vous
avez dû télécharger. Il est impératif
que ces disquettes soient exemptes de défauts.
La manière la plus simple de
tester cela est de les formater soi-même. Ne faites pas
confiance aux disquettes préformatées.
L'utilitaire de formatage &windows; n'indiquera pas la
présence de blocs défectueux, il les
marquera simplement comme étant
&ldquo;défectueux&rdquo; et les ignorera. Il est
recommandé d'utiliser des disquettes neuves si l'on
choisit cette méthode d'installation.</para>
<important>
<para>Si vous essayez d'installer FreeBSD et que le
programme d'installation &ldquo;plante&rdquo;, se bloque,
ou présente d'autres dysfonctionnements,
les premières choses
&agrave; suspecter sont les disquettes. Essayez de copier les
images sur des disquettes neuves et essayez encore.</para>
</important>
</step>
<step>
<title>Ecrire les fichiers image sur les disquettes</title>
<para>Les fichiers <filename>.flp</filename> ne sont
<emphasis>pas</emphasis> des fichiers que vous pouvez copier
directement sur une disquette. Ce sont des
images du contenu complet de disquettes. Cela signifie que
vous <emphasis>ne pouvez pas</emphasis> simplement copier
les fichiers d'un disque vers un autre.
Vous devez utilisez des outils
spécifiques pour écrire directement les images sur
les disquettes.</para>
<indexterm><primary>DOS</primary></indexterm>
<para>Si vous créez ces disquettes depuis un ordinateur
fonctionnant sous &ms-dos;/&windows;, alors nous fournissons pour
faire cela un outil appelé <command>fdimage</command>.</para>
<para>Si vous utilisez les images présentes sur le CDROM, et
que votre lecteur CDROM est <devicename>E:</devicename>,
alors vous devez procéder comme suit:</para>
<screen><prompt>E:\&gt;</prompt> <userinput>tools\fdimage floppies\boot.flp A:</userinput></screen>
<para>Répétez cette commande pour chaque fichier
<filename>.flp</filename>, en remplaçant la disquette
&agrave; chaque fois, en étant sûr de noter sur
les disquettes le nom du fichier copié.
Ajuster la ligne de commande selon
l'endroit où vous avez placé les fichiers
<filename>.flp</filename>. Si vous n'avez pas de CDROM,
alors <command>fdimage</command> peut être
téléchargé de
puis le <ulink
url="ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/tools/">répertoire
<filename class="directory">tools</filename></ulink> sur le site FTP de
FreeBSD.</para>
<para>Si vous créez les disquettes depuis un système
&unix; (comme par exemple un autre système FreeBSD) vous
pouvez
utiliser la commande &man.dd.1; pour écrire les fichiers
image directement sur les disquettes. Sous FreeBSD, vous
lanceriez:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>dd if=boot.flp of=/dev/fd0</userinput></screen>
<para>Sous FreeBSD, <filename>/dev/fd0</filename> correspond au
premier lecteur de disquettes ( le lecteur
<devicename>A:</devicename>). <filename>/dev/fd1</filename> serait
le lecteur <devicename>B:</devicename>, et ainsi de suite.
D'autres variantes d'&unix; peuvent avoir des noms différents
pour les lecteurs de disquettes, et vous devrez consulter la
documentation du système si besoin est.</para>
</step>
</procedure>
<para>Vous êtes maintenant prêt &agrave; commencer
l'installation de FreeBSD.</para>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="install-start">
<title>Débuter l'installation</title>
<important>
<para>Par défaut, le processus d'installation ne modifiera rien
sur le(s) disque(s) dur(s) jusqu'&agrave; ce que vous voyiez le message
suivant.</para>
<literallayout class="monospaced">Last Chance: Are you SURE you want continue the installation?
If you're running this on a disk with data you wish to save then WE
STRONGLY ENCOURAGE YOU TO MAKE PROPER BACKUPS before proceeding!
We can take no responsibility for lost disk contents!</literallayout>
<para>L'installation peut être quittée &agrave; tout
moment avant
l'avertissement final sans changer le contenu du disque dur. Si
vous avez mal configuré quelque chose, vous pouvez
juste éteindre
l'ordinateur avant l'étape finale sans aucun risque.</para>
</important>
<sect2 id="install-starting">
<title>Démarrage</title>
<sect3 id="install-starting-i386">
<title>Démarrage pour l'architecture &i386;</title>
<procedure>
<step>
<para>Commencez avec votre ordinateur éteint.</para>
</step>
<step>
<para>Allumez l'ordinateur. En démarrant il devrait afficher
une option pour entrer dans le menu de configuration du
système, ou BIOS, généralement &agrave;
l'aide des touches
<keycap>F2</keycap>, <keycap>F10</keycap>, <keycap>Suppr</keycap>,
ou
<keycombo action="simul">
<keycap>Alt</keycap>
<keycap>S</keycap>
</keycombo>. Employez ce qui est indiqué &agrave;
l'écran. Dans
certains cas votre ordinateur peut afficher une image pendant
son démarrage. Typiquement, l'appui sur
<keycap>Esc</keycap> effacera l'image et vous permettra de
voir les messages de démarrage.</para>
</step>
<step>
<para>Trouvez le paramètre qui contrôle &agrave;
partir de quel
périphérique le système démarre.
Cela est généralement nommé &ldquo;Boot
Order&ldquo; (ordre de démarrage) et habituellement sous
la forme d'une liste de périphériques, comme
<literal>Floppy</literal>, <literal>CDROM</literal>,
<literal>First Hard Disk</literal>, et ainsi de suite.</para>
<para>Si vous avez dû préparer des disquettes
de démarrage, assurez-vous alors que le lecteur de
disquettes est sélectionné. Si vous
démarrez depuis le CDROM alors vérifiez que c'est
celui-ci qui est sélectionné &agrave; la place.
En cas de doute, vous devriez consulter le manuel fourni
avec votre ordinateur, et/ou sa carte mère.</para>
<para>Effectuez les changements, ensuite sauvez et quittez.
L'ordinateur devrait maintenant redémarrer.</para>
</step>
<step>
<para>Si vous avez dû préparer des disquettes de
démarrage, comme décrit dans la
<xref linkend="install-floppies"/> alors l'une d'elles sera la
première disquette de démarrage,
probablement celle contenant <filename>boot.flp</filename>.
Introduisez cette disquette dans votre lecteur.</para>
<para>Si vous démarrez depuis le CDROM, alors vous devrez
allumer votre ordinateur, et insérer le CDROM &agrave;
la première occasion.</para>
<para>Si votre ordinateur démarre comme &agrave;
l'accoutumé, et charge le système d'exploitation
existant, alors soit:</para>
<orderedlist>
<listitem>
<para>Les disques (CDROM ou disquette) n'ont pas
été insérés assez tôt
dans le processus de démarrage.
Laissez-les, et essayez de redémarrer votre
ordinateur.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Soit les changements du BIOS, plus tôt, n'ont pas
fonctionné correctement. Vous devriez refaire cette
étape jusqu'&agrave; obtenir la bonne option.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Soit votre BIOS ne supporte pas le
démarrage &agrave; partir du support
désiré.</para>
</listitem>
</orderedlist>
</step>
<step>
<para>FreeBSD démarrera. Si vous démarrez depuis
le CDROM vous verrez un affichage similaire &agrave; ceci (information sur la version omise):</para>
<screen>Booting from CD-Rom...
CD Loader 1.2
Building the boot loader arguments
Looking up /BOOT/LOADER... Found
Relocating the loader and the BTX
Starting the BTX loader
BTX loader 1.00 BTX version is 1.01
Console: internal video/keyboard
BIOS CD is cd0
BIOS drive C: is disk0
BIOS drive D: is disk1
BIOS 639kB/261120kB available memory
FreeBSD/i386 bootstrap loader, Revision 1.1
Loading /boot/defaults/loader.conf
/boot/kernel/kernel text=0x64daa0 data=0xa4e80+0xa9e40 syms=[0x4+0x6cac0+0x4+0x88e9d]
\</screen>
<para>Si vous démarrez depuis une disquette, vous verrez un
affichage similaire &agrave; ceci (information sur la version omise):</para>
<screen>Booting from Floppy...
Uncompressing ... done
BTX loader 1.00 BTX version is 1.01
Console: internal video/keyboard
BIOS drive A: is disk0
BIOS drive C: is disk1
BIOS 639kB/261120kB available memory
FreeBSD/i386 bootstrap loader, Revision 1.1
Loading /boot/defaults/loader.conf
/kernel text=0x277391 data=0x3268c+0x332a8 |
Insert disk labelled "Kernel floppy 1" and press any key...</screen>
<para>Suivez ces instructions en retirant la disquette
<filename>boot.flp</filename>, puis insérez la disquette
<filename>kern1.flp</filename> et enfin appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>. Démarrez sur la
première disquette; quand on vous le demande,
insérez les autres disquettes.</para>
</step>
<step>
<para>Que vous démarriez &agrave; partir
de disquettes ou de CDROM, le processus de démarrage
vous amènera au menu du chargeur &os;:</para>
<figure id="boot-loader-menu">
<title>Menu du chargeur &os;</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/boot-loader-menu"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Attendez dix secondes, ou appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
</step>
</procedure>
</sect3>
<sect3>
<title>Démarrage pour l'architecture Alpha</title>
<indexterm><primary>Alpha</primary></indexterm>
<procedure>
<step>
<para>Commencez avec votre ordinateur éteint.</para>
</step>
<step>
<para>Allumez votre ordinateur et attendez l'invite de
commande du moniteur de démarrage.</para>
</step>
<step>
<para>Si vous avez dû préparer des disquettes de
démarrage, comme décrit dans la
<xref linkend="install-floppies"/> alors l'une d'elles sera la
première disquette de démarrage,
probablement celle contenant <filename>boot.flp</filename>.
Introduisez cette disquette dans votre lecteur et tapez les
commandes suivantes pour démarrer la disquette (en
remplaçant le nom de votre lecteur de disquette si
nécessaire):</para>
<screen>&gt;&gt;&gt;<userinput>BOOT DVA0 -FLAGS '' -FILE ''</userinput></screen>
<para>Si vous démarrez depuis le CDROM, insérez
le CDROM dans
son lecteur et tapez la commande suivante pour démarrer
l'installation (en remplaçant le nom du lecteur de CDROM si
nécessaire par celui approprié):</para>
<screen>&gt;&gt;&gt;<userinput>BOOT DKA0 -FLAGS '' -FILE ''</userinput></screen>
</step>
<step>
<para>FreeBSD démarrera. Si vous démarrez depuis une
disquette, au bout d'un moment vous verrez le message:</para>
<screen>Insert disk labelled "Kernel floppy 1" and press any key...</screen>
<para>Suivez ces instructions en retirant la disquette
<filename>boot.flp</filename>, puis insérez la disquette
<filename>kern1.flp</filename> et enfin appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
</step>
<step>
<para>Que vous démarriez &agrave; partir
de disquettes ou du CDROM, le processus de démarrage
vous amènera au point suivant:</para>
<screen>Hit [Enter] to boot immediately, or any other key for command prompt.
Booting [kernel] in 9 seconds... _</screen>
<para>Attendez dix secondes, ou appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>. Cela lancera le menu de
configuration du noyau.</para>
</step>
</procedure>
</sect3>
<sect3>
<title>Démarrage pour l'architecture &sparc64;</title>
<para>La plupart des systèmes &sparc64; sont
configurés pour démarrer automatiquement
&agrave; partir du disque dur. Pour installer &os;, vous
devez démarrer &agrave; partir du réseau ou
&agrave; partir d'un CDROM, ce qui nécessitera un
passage par le PROM (OpenFirmware).</para>
<para>Pour cela, redémarrez le système, et
attendez l'affichage des messages de démarrage. En
fonction du modèle, vous devriez voir quelque chose
comme ce qui suit:</para>
<screen>Sun Blade 100 (UltraSPARC-IIe), Keyboard Present
Copyright 1998-2001 Sun Microsystems, Inc. All rights reserved.
OpenBoot 4.2, 128 MB memory installed, Serial #51090132.
Ethernet address 0:3:ba:b:92:d4, Host ID: 830b92d4.</screen>
<para>Si votre système tente de démarrer
&agrave; partir du disque dur en cet endroit, vous devrez
alors appuyer sur <keycombo
action="simul"><keycap>L1</keycap><keycap>A</keycap></keycombo>
ou <keycombo
action="simul"><keycap>Stop</keycap><keycap>A</keycap></keycombo>
sur le clavier, ou envoyer un <command>BREAK</command> par
l'intermédiaire de la console série (en
utilisant par exemple <command>~#</command> sous &man.tip.1;
ou &man.cu.1;) pour obtenir l'invite PROM. Elle ressemble
&agrave; ceci:</para>
<screen><prompt>ok </prompt><co id="prompt-single"/>
<prompt>ok {0} </prompt><co id="prompt-smp"/></screen>
<calloutlist>
<callout arearefs="prompt-single">
<para>C'est l'invite utilisée sur les
systèmes avec un seul CPU.</para>
</callout>
<callout arearefs="prompt-smp">
<para>C'est l'invite utilisée sur les
systèmes SMP, le chiffre indiquant le nombre de
CPU actifs.</para>
</callout>
</calloutlist>
<para>En ce point, placez le CDROM dans le lecteur, et
&agrave; l'invite PROM, tapez <command>boot
cdrom</command>.</para>
</sect3>
</sect2>
<sect2 id="view-probe">
<title>Examen des résultats de la détection du
matériel</title>
<para>La dernière centaine de lignes qui a été
affichée &agrave; l'écran
est stockée et peut être relue.</para>
<para>Pour relire le tampon, appuyez sur
<keycap>Arrêt Défil</keycap>.
Cela activera le défilement de l'affichage. Vous pouvez alors
utiliser les touches fléchées, ou
<keycap>PageUp</keycap> et
<keycap>PageDown</keycap> pour visualiser les résultats.
Appuyer &agrave; nouveau sur <keycap>Arrêt Défil</keycap>
pour revenir dans le mode normal.</para>
<para>Faites cela maintenant, pour relire le texte qui a
défilé en dehors de l'écran quand le noyau
effectuait la détection du matériel. Vous verrez
quelque chose de semblable &agrave; la <xref
linkend="install-dev-probe"/>, bien que le texte sera différent
en fonction des périphériques que vous avez dans votre
ordinateur.</para>
<figure id="install-dev-probe">
<title>Résultats typiques de la détection du
matériel</title>
<screen>avail memory = 253050880 (247120K bytes)
Preloaded elf kernel "kernel" at 0xc0817000.
Preloaded mfs_root "/mfsroot" at 0xc0817084.
md0: Preloaded image &lt;/mfsroot&gt; 4423680 bytes at 0xc03ddcd4
md1: Malloc disk
Using $PIR table, 4 entries at 0xc00fde60
npx0: &lt;math processor&gt; on motherboard
npx0: INT 16 interface
pcib0: &lt;Host to PCI bridge&gt; on motherboard
pci0: &lt;PCI bus&gt; on pcib0
pcib1:&lt;VIA 82C598MVP (Apollo MVP3) PCI-PCI (AGP) bridge&gt; at device 1.0 on pci0
pci1: &lt;PCI bus&gt; on pcib1
pci1: &lt;Matrox MGA G200 AGP graphics accelerator&gt; at 0.0 irq 11
isab0: &lt;VIA 82C586 PCI-ISA bridge&gt; at device 7.0 on pci0
isa0: &lt;iSA bus&gt; on isab0
atapci0: &lt;VIA 82C586 ATA33 controller&gt; port 0xe000-0xe00f at device 7.1 on pci0
ata0: at 0x1f0 irq 14 on atapci0
ata1: at 0x170 irq 15 on atapci0
uhci0: &lt;VIA 83C572 USB controller> port 0xe400-0xe41f irq 10 at device 7.2 on pci0
usb0: &lt;VIA 83C572 USB controller> on uhci0
usb0: USB revision 1.0
uhub0: VIA UHCI root hub, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1
uhub0: 2 ports with 2 removable, self powered
pci0: &lt;unknown card&gt; (vendor=0x1106, dev=0x3040) at 7.3
dc0: &lt;ADMtek AN985 10/100BaseTX&gt; port 0xe800-0xe8ff mem 0xdb000000-0xeb0003ff ir
q 11 at device 8.0 on pci0
dc0: Ethernet address: 00:04:5a:74:6b:b5
miibus0: &lt;MII bus&gt; on dc0
ukphy0: &lt;Generic IEEE 802.3u media interface&gt; on miibus0
ukphy0: 10baseT, 10baseT-FDX, 100baseTX, 100baseTX-FDX, auto
ed0: &lt;NE2000 PCI Ethernet (RealTek 8029)&gt; port 0xec00-0xec1f irq 9 at device 10.
0 on pci0
ed0 address 52:54:05:de:73:1b, type NE2000 (16 bit)
isa0: too many dependant configs (8)
isa0: unexpected small tag 14
orm0; &lt;Option ROM&gt; at iomem 0xc0000-0xc7fff on isa0
fdc0: &lt;NEC 72065B or clone&gt; at port 0x3f0-0x3f5,0x3f7 irq6 drq2 on isa0
fdc0: FIFO enabled, 8 bytes threshold
fd0: &lt;1440-KB 3.5&rdquo; drive&gt; on fdc0 drive 0
atkbdc0: &lt;keyboard controller (i8042)&gt; at port 0x60-0x64 on isa0
atkbd0: &lt;AT Keyboard&gt; flags 0x1 irq 1 on atkbdc0
kbd0 at atkbd0
psm0: &lt;PS/2 Mouse&gt; irq 12 on atkbdc0
psm0: model Generic PS/2 mouse, device ID 0
vga0: &lt;Generic ISA VGA&gt; at port 0x3c0-0c3df iomem 0xa0000-0xbffff on isa0
sc0: &lt;System console&gt; at flags 0x100 on isa0
sc0: VGA &lt;16 virtual consoles, flags-0x300&gt;
sio0 at port 0x3f8-0x3ff irq 4 flags 0x10 on isa0
sio0: type 16550A
sio1: at port 0x2f8-0x2ff irq3 on isa0
sio1: type 16550A
ppc0: &lt;Parallel port&gt; at port 0x378-0x37f irq 7 on isa0
ppc0: SMC-like chipset (ECP/EPP/PS2/NIBBLE) in COMPATIBLE mode
ppc0: FIFO with 16/16/15 bytes threshold
plip0: &lt;PLIP network interface&gt; on ppbus0
ad0: 8063MB &lt;IBM-DHEA-38451> [16383/16/63] at ata0-master using UDMA33
acd0: CD-RW &lt;LITE-ON LTR-1210B&gt; at ata1-slave PIO4
Mounting root from ufs:/dev/md0c
/stand/sysinstall running as init on vty0</screen>
</figure>
<para>Vérifiez les résultats de la détection
soigneusement pour s'assurer que FreeBSD a trouvé tous les
périphériques que vous
attendiez. Si un périphérique n'a pas été
trouvé, il ne sera alors pas affiché.
Un <link linkend="kernelconfig">noyau
personnalisé</link> vous permet d'ajouter le support
pour des périphériques qui ne sont pas
présents dans le noyau <filename>GENERIC</filename>,
comme les cartes son.</para>
<para>Pour &os;&nbsp;6.2 et les versions suivantes, après
la détection des périphériques, vous
verrez l'écran correspondant &agrave; la <xref
linkend="config-country"/>. Utilisez les touches
fléchées pour choisir un pays, une
région, ou un groupe. Appuyez ensuite sur la touche
<keycap>Enter</keycap>, pour sélectionner votre pays et
votre table de clavier. Il est facile de quitter le programme
<application>sysinstall</application> et de recommencer
&agrave; nouveau.</para>
<figure id="config-country">
<title>Menu de sélection du pays</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/config-country"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<figure id="sysinstall-exit">
<title>Quitter sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/sysinstall-exit"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
<guimenuitem>Exit Install</guimenuitem> dans le menu principal
d'installation. Le message suivant apparaîtra:</para>
<screen> User Confirmation Requested
Are you sure you wish to exit? The system will reboot
(be sure to remove any floppies/CDs/DVDs from the drives).
[ Yes ] No</screen>
<para>Le programme d'installation redémarrera &agrave; nouveau si le
CDROM est resté dans le lecteur et que
&gui.yes; est sélectionné.</para>
<para>Si vous démarrez &agrave; partir de disquettes, il sera
nécessaire
de retirer la disquette <filename>boot.flp</filename> avant de
redémarrer.</para>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="using-sysinstall">
<title>Présentation de sysinstall</title>
<para>L'utilitaire <application>sysinstall</application> est l'application
d'installation fournie par le projet FreeBSD. C'est une
application pour la console et qui est divisée en un certain nombre
de menus et d'écrans que vous pouvez utiliser pour configurer et
contrôler le processus d'installation.</para>
<para>Le système de menu de <application>sysinstall</application>
est contrôlé &agrave; l'aide des touches
fléchées, <keycap>Entrée</keycap>,
<keycap>Tab</keycap>,
<keycap>Espace</keycap> et d'autres touches. Une description
détaillée de ces touches, et de ce qu'elles font,
se trouve dans les informations d'utilisation de
<application>sysinstall</application>.</para>
<para>Pour voir ces informations, assurez-vous que l'entrée
<guimenuitem>Usage</guimenuitem> est surlignée et que le bouton
<guibutton>[Select]</guibutton> est sélectionné, comme
montré dans
la <xref linkend="sysinstall-main3"/>, ensuite appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<para>Les instructions sur l'utilisation du système de menu seront
affichées. Après les avoir lues, appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour revenir au menu principal.</para>
<figure id="sysinstall-main3">
<title>Sélection de l'entrée Usage dans le menu
principal de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/main1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<sect2 id="select-doc">
<title>Sélectionner le menu de documentation</title>
<para>Depuis le menu principal, sélectionnez
<guimenuitem>Doc</guimenuitem> avec les touches fléchées
et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="main-doc">
<title>Sélectionner le menu de documentation</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/main-doc"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Cela affichera le menu de documentation.</para>
<figure id="docmenu1">
<title>Menu de documentation de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/docmenu1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Il est important de lire la documentation fournie.</para>
<para>Pour voir un document, sélectionnez-le avec les touches
fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.
Quand vous
avez terminé la lecture d'un document, l'appui sur
<keycap>Entrée</keycap> vous ramènera au menu de
documentation.</para>
<para>Pour revenir au menu principal d'installation, sélectionnez
<guimenuitem>Exit</guimenuitem> avec les touches fléchées
et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>
</sect2>
<sect2 id="keymap">
<title>Sélectionner le menu des tables de clavier</title>
<para>Pour changer le type de clavier, utilisez les touches
fléchées pour sélectionner
<guimenuitem>Keymap</guimenuitem>
depuis le menu et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.
Ceci est nécessaire seulement si vous utilisez un
clavier non-standard ou non-américain.</para>
<figure id="sysinstall-keymap">
<title>Menu principal de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/main-keymap"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Une table de clavier différente peut être choisie en
sélectionnant l'élément du menu en utilisant
les touches fléchées et en appuyant sur
<keycap>Espace</keycap>. Appuyer &agrave; nouveau sur
<keycap>Espace</keycap> désélectionnera
l'élément.
Une fois terminé, choisissez &gui.ok; en utilisant les touches
fléchées et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<para>Seule une liste partielle est montrée dans cet exemple.
Utiliser &gui.cancel; en appuyant sur <keycap>Tab</keycap> sélectionnera la table de clavier par
défaut et ramènera au menu principal
d'installation.</para>
<figure id="sysinstall-keymap-menu">
<title>Menu des tables de clavier de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/keymap"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
</sect2>
<sect2 id="viewsetoptions">
<title>Ecran des options d'installation</title>
<para>Sélectionner <guimenuitem>Options</guimenuitem> et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="sysinstall-options">
<title>Menu principal de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/main-options"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<figure id="options">
<title>Options de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/options"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Les valeurs par défaut sont généralement
parfaites pour la
plupart des utilisateurs et ne nécessitent pas d'être
modifiées. Le nom de la version variera en fonction de
la version que l'on installe.</para>
<para>La description de l'élément
sélectionné apparaîtra en bas de
l'écran surlignée en bleu. Notez qu'une des options est
<guimenuitem>Use Defaults</guimenuitem> pour réinitialiser
toutes les options &agrave; leur valeur de départ.</para>
<para>Appuyez sur <keycap>F1</keycap> pour lire l'écran d'aide
&agrave; propos des diverses options.</para>
<para>L'appui sur <keycap>Q</keycap> ramènera au menu principal
d'installation.</para>
</sect2>
<sect2 id="start-install">
<title>Commencer une installation standard</title>
<para>L'installation <guimenuitem>Standard</guimenuitem> est
l'option recommandée pour ceux qui sont nouveaux &agrave;
&unix; ou FreeBSD.
Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
<guimenuitem>Standard</guimenuitem> et ensuite appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour débuter
l'installation.</para>
<figure id="sysinstall-standard">
<title>Commencer une installation standard</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/main-std"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="install-steps">
<title>Allouer l'espace disque</title>
<para>Votre première tâche est d'allouer de l'espace disque
&agrave; FreeBSD, et labéliser cet espace de sorte que
<application>sysinstall</application> puisse le préparer. Afin de
faire cela vous devez savoir comment FreeBSD s'attend &agrave; trouver
l'information sur le disque.</para>
<sect2 id="install-drive-bios-numbering">
<title>La numérotation des disques par le BIOS</title>
<para>Avant que vous installiez et configuriez FreeBSD sur votre
système, il y a un sujet important dont vous devriez être
conscient, particulièrement si vous avez plusieurs disques
durs.</para>
<indexterm><primary>DOS</primary></indexterm>
<indexterm><primary>Microsoft Windows</primary></indexterm>
<para>Dans un PC utilisant un système d'exploitation
dépendant du
BIOS comme &ms-dos; ou &microsoft.windows;, le BIOS est capable de
modifier l'ordre normal des disques, et le système
d'exploitation suivra le changement. Ceci permet &agrave;
l'utilisateur de démarrer depuis un disque autre que le
prétendu &ldquo;premier disque maître&rdquo;. C'est
particulièrement commode pour les utilisateurs qui ont
trouvé
que la manière la plus simple et la moins onéreuse de
sauvegarder un système est d'acheter un second disque dur
identique, et d'exécuter des copies régulières
du premier disque
vers le second en utilisant <application><trademark class="registered">Ghost</trademark></application> ou
<application>XCOPY</application>. Alors, si le premier disque
tombe en panne, ou est attaqué par un virus, ou corrompu par un
défaut du système d'exploitation, on peut facilement
y faire
face en demandant au BIOS de permuter logiquement les disques.
C'est comme si l'on échangeait les câbles sur les disques,
mais sans avoir &agrave; ouvrir le boîtier.</para>
<indexterm><primary>SCSI</primary></indexterm>
<indexterm><primary>BIOS</primary></indexterm>
<para>Des systèmes plus onéreux avec des contrôleurs
SCSI incluent
souvent des extensions de BIOS permettant aux disques SCSI
d'être réorganisés dans un mode semblable et cela
jusqu'&agrave; sept disques.</para>
<para>Un utilisateur qui est accoutumé &agrave; tirer profit de ces
caractéristiques pourra s'étonner quant aux
résultats inattendus
obtenus sous FreeBSD. FreeBSD n'utilise pas le BIOS, et ne
connaît pas &ldquo;la table logique des disques du BIOS&rdquo;.
Cela peut mener &agrave; des situations relativement
déconcertantes,
particulièrement quand les disques sont physiquement identiques,
et que ce sont également des clones au niveau des
données.</para>
<para>Quand vous utilisez FreeBSD, veillez &agrave; rétablir la
numérotation naturelle des disques dans le BIOS, et
laissez-l&agrave; telle quelle. Si vous devez inverser les
disques, alors faites-le mais au niveau matériel en ouvrant
votre boîtier et en
déplaçant les cavaliers et les câbles.</para>
<sidebar>
<title>Une illustration d'après les extraordinaires aventures
des fichiers de Bill et Fred:</title>
<para>Bill transforme une vieille machine Wintel en une nouvelle
machine FreeBSD pour Fred. Bill installe un disque SCSI comme
unité de disque SCSI zéro et install
FreeBSD dessus.</para>
<para>Fred commence &agrave; utiliser le système, mais
après plusieurs
jours remarque que le vieux disque SCSI signale de nombreuses
erreurs logiciels et en fait part &agrave; Bill.</para>
<para>Quelques jours après, Bill décide qu'il est
temps de s'occuper de ce problème, il va donc chercher un
disque SCSI identique dans la &ldquo;réserve &agrave;
disques&rdquo;. Un contrôle de la surface indique que le
disque fonctionne correctement, aussi Bill installe ce disque comme
unité SCSI numéro quatre et effectue une copie
&agrave; l'identique du disque zéro sur le
disque quatre. Maintenant que le nouveau disque est installé
et fonctionne parfaitement, Bill décide que ce serait une
bonne idée de commencer &agrave; l'utiliser, aussi
utilise-t-il une fonction dans le BIOS SCSI pour réordonner
les disques durs pour faire démarrer le système
&agrave; partir de l'unité SCSI
quatre. FreeBSD démarre et fonctionne correctement.</para>
<para>Fred continue son travail pendant quelques jours, et
bientôt Bill et Fred décident qu'il est temps pour une
nouvelle aventure &mdash; temps pour mettre &agrave; jour vers une version
plus récente de FreeBSD. Bill retire le disque SCSI
zéro parce qu'il était un peu capricieux et le
remplace par un autre identique provenant de la
&ldquo;réserve &agrave; disques&rdquo;.
Bill installe alors la nouvelle version de FreeBSD sur le
nouveau disque SCSI en utilisant les magiques disquettes
d'installation par FTP de Fred. L'installation se passe
bien.</para>
<para>Fred utilise la nouvelle version de FreeBSD pendant
quelques jours, et certifie qu'elle est suffisamment stable pour
être utilisée dans le département
d'ingénierie. Il est temps
de transférer tout son travail depuis l'ancienne version.
Alors Fred monte l'unité SCSI quatre (la dernière
copie de l'ancienne version de FreeBSD). Fred est accablé
de constater que rien de son précieux travail n'est
présent sur l'unité SCSI quatre.</para>
<para>Ou sont passées les données?</para>
<para>Quand Bill &agrave; fait une copie parfaite du disque
SCSI zéro originel sur l'unité SCSI quatre,
l'unité quatre est devenue le &ldquo;nouveau clone&rdquo;.
Quand Bill a réordonné le
BIOS SCSI pour qu'il puisse démarrer sur l'unité
SCSI quatre, il était juste en train de se tromper.
FreeBSD tournait toujours sur l'unité SCSI zéro.
Faire de tels changements dans le BIOS fera qu'une partie ou tout
le code de démarrage et de chargement sera
lue sur le disque sélectionné par le
BIOS, mais quand les pilotes du noyau de FreeBSD prendrons le
contrôle, la numérotation des disques par le BIOS sera
ignorée, et FreeBSD reprendra la numérotation
normale des disques.
Dans l'illustration actuelle, le système a continué
d'opérer sur l'unité SCSI zéro d'origine,
et toutes les données de Fred se trouvaient l&agrave;
et non pas sur l'unité SCSI
quatre. Le fait que le système semblait fonctionner sur
l'unité quatre n'était juste qu'une impression due aux
attentes de nos utilisateurs.</para>
<para>Nous sommes heureux d'annoncer qu'aucun octet n'a
été détruit ou endommagé
durant la découverte de ce phénomène.
L'ancienne unité SCSI zéro a été
récupérée sur une pile de
disques au rebut, et tout le travail de Fred lui a
été rendu
(et Bill sait désormais qu'il peut compter jusqu'&agrave;
zéro).</para>
<para>Bien que cela soit des disques SCSI qui furent utilisés
dans cet exemple, le concept s'applique de la même
manière aux disques IDE.</para>
</sidebar>
</sect2>
<sect2 id="main-fdisk">
<title>Création des tranches - &ldquo;slices&rdquo; en utilisant
FDisk</title>
<note>
<para>Aucun changement que vous faites &agrave; ce niveau de
l'installation ne sera écrit sur le disque. Si vous pensez
que vous avez fait une erreur et que vous voulez recommencer,
vous pouvez utiliser les menus pour quitter
<application>sysinstall</application> et essayer encore ou
appuyez sur <keycap>U</keycap> pour utiliser l'option
<guimenuitem>Undo</guimenuitem>. Si
vous êtes perdu et ne voyez pas comment quitter, vous pouvez
toujours éteindre votre ordinateur.</para>
</note>
<para>Après avoir choisi de commencer une installation standard
<application>sysinstall</application> affichera ce message:</para>
<screen> Message
In the next menu, you will need to set up a DOS-style ("fdisk")
partitioning scheme for your hard disk. If you simply wish to devote
all disk space to FreeBSD (overwriting anything else that might be on
the disk(s) selected) then use the (A)ll command to select the default
partitioning scheme followed by a (Q)uit. If you wish to allocate only
free space to FreeBSD, move to a partition marked "unused" and use the
(C)reate command.
[ OK ]
[ Press enter or space ]</screen>
<para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> comme demandé.
On vous affichera alors une liste de tous les disques durs que le noyau
a trouvés durant la détection des
périphériques. La <xref
linkend="sysinstall-fdisk-drive1"/> présente l'exemple d'un
système avec deux disques IDE. Ils ont été
appelés <devicename>ad0</devicename> et
<devicename>ad2</devicename>.</para>
<figure id="sysinstall-fdisk-drive1">
<title>Sélection du disque pour FDisk</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/fdisk-drive1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Vous pourriez vous demander pourquoi
<devicename>ad1</devicename> n'est pas listé ici.
Pourquoi est-il manquant?</para>
<para>Considérez ce qu'il se produirait si vous aviez deux disques
durs IDE, un en tant que maître sur le premier contrôleur
IDE, et un autre en tant que maître sur le second
contrôleur IDE. Si FreeBSD numérotait ces derniers
comme il les a trouvés, en tant
que <devicename>ad0</devicename> et <devicename>ad1</devicename>
alors tout devrait fonctionner.</para>
<para>Mais si vous ajoutiez un troisième disque, en tant que
disque esclave sur le premier contrôleur IDE, ce serait
maintenant <devicename>ad1</devicename>, et
l'<devicename>ad1</devicename> précédent deviendrait
<devicename>ad2</devicename>.
Puisque les noms de périphériques
(comme <devicename>ad1s1a</devicename>) sont utilisés pour
trouver les systèmes de fichiers, vous pouvez soudainement
découvrir que certains de vos systèmes de fichiers
n'apparaissent plus correctement, et vous devrez modifier votre
configuration de FreeBSD.</para>
<para>Pour s'affranchir de cela, le noyau peut être
configuré pour nommer les périphériques IDE en
fonction de l'endroit où ils
sont placés, et non pas en fonction de l'ordre dans lequel ils
ont été trouvés. Avec cet arrangement le
disque maître sur le
second contrôleur IDE sera <emphasis>toujours</emphasis>
<devicename>ad2</devicename>, même s'il n'y a aucun disque
<devicename>ad0</devicename> ou
<devicename>ad1</devicename>.</para>
<para>Cette configuration est celle par défaut du noyau de
FreeBSD, c'est pourquoi notre exemple montre
<devicename>ad0</devicename> et <devicename>ad2</devicename>.
La machine sur laquelle furent prises les captures d'écran avait
des disques IDE sur les canaux maîtres de chaque
contrôleur IDE, et aucun disque esclave.</para>
<para>Vous devrez choisir le disque sur lequel vous désirez
installer FreeBSD, et ensuite appuyer sur &gui.ok;.
<application>FDisk</application> démarrera, avec un écran
semblable &agrave; celui montré sur la <xref
linkend="sysinstall-fdisk1"/>.</para>
<para>L'affichage de <application>FDisk</application> est
séparé en trois parties.</para>
<para>La première partie, occupant les deux premières
lignes de l'écran, montre les détails au sujet du
disque actuellement sélectionné, dont son nom sous
FreeBSD, sa géométrie, et la
taille du disque.</para>
<para>La deuxième partie montre les tranches qui sont actuellement
présentes sur le disque, où elles débutent et
se terminent, leur
taille, le nom que leur donne FreeBSD, et leur description et
sous-type. Cette exemple montre deux petites tranches
inutilisées, qui sont les conséquences de l'arrangement du
disque sous PC. Il montre également une grande tranche de type
<acronym>FAT</acronym>, qui est presque certainement le lecteur
<devicename>C:</devicename> sous &ms-dos; / &windows;, et une tranche
étendue, qui doit contenir d'autres lecteurs pour &ms-dos; /
&windows;.</para>
<para>La troisième partie affiche les commandes disponibles dans
<application>FDisk</application>.</para>
<figure id="sysinstall-fdisk1">
<title>Partitions Fdisk typiques avant édition</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/fdisk-edit1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Ce que vous allez faire maintenant dépend de comment vous
voulez diviser votre disque.</para>
<para>Si vous voulez utiliser tout le disque pour FreeBSD (ce qui
effacera toutes les autres données sur votre disque quand vous
confirmerez, plus tard dans le processus d'installation, que vous
voulez que <application>sysinstall</application> continue) alors
vous pouvez appuyer sur <keycap>A</keycap>, ce qui correspond &agrave;
l'option <guimenuitem>Use Entire Disk</guimenuitem> (utiliser
l'intégralité du disque). Les tranches existantes seront
supprimées, et remplacées par une petite zone
étiquetée
<literal>unused</literal> (encore une fois, une particularité de
l'organisation des disques sous PC), et ensuite une grande
tranche pour FreeBSD. Si vous faites cela vous devriez
sélectionner la tranche FreeBSD nouvellement
créée en utilisant
les touches fléchées, et appuyer sur
<keycap>S</keycap> pour
marquer la tranche comme pouvant être démarrable.
L'écran sera
alors semblable &agrave; la <xref linkend="sysinstall-fdisk2"/>. Notez
le <literal>A</literal> dans la colonne
<literal>Flags</literal>, qui indique que cette tranche est
<emphasis>active</emphasis>, et sera démarrable.</para>
<para>Si vous supprimez une tranche existante pour faire de la
place pour FreeBSD alors vous devriez sélectionner la tranche en
utilisant les touches fléchées, et ensuite appuyer sur
<keycap>D</keycap>. Vous pouvez alors appuyer sur
<keycap>C</keycap>, on vous demandera la taille de la tranche
que vous désirez créer. Entrez la taille requise et
appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>. La valeur par
défaut dans cette boîte de dialogue
représente la tranche la plus grande possible que vous
pouvez créer, qui peut être le plus grand bloc
d'espace contiguë non alloué ou la taille de
l'intégralité du disque dur.</para>
<para>Si vous avez déj&agrave; fait de la place pour FreeBSD
(peut-être
en utilisant un outil comme <application>&partitionmagic;</application>&reg;) alors vous pouvez appuyer sur
<keycap>C</keycap> pour créer une nouvelle tranche. Encore une
fois, vous serez sollicité pour entrer la taille de la tranche
que vous désirez créer.</para>
<figure id="sysinstall-fdisk2">
<title>Partionnement Fdisk utilisant l'intégralité du
disque</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/fdisk-edit2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Une fois terminé, appuyez sur <keycap>Q</keycap>. Vos
modifications seront sauvegardées dans
<application>sysinstall</application>, mais ne seront pas
encore inscrites sur le disque.</para>
</sect2>
<sect2 id="bootmgr">
<title>Installer un gestionnaire de démarrage</title>
<para>Vous avez maintenant la possibilité d'installer un
gestionnaire de démarrage. En général, vous
devriez installer
le gestionnaire de démarrage de FreeBSD si:</para>
<itemizedlist>
<listitem>
<para>Vous avez plus d'un disque, et vous avez installé
FreeBSD sur un disque autre que le premier.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Vous avez installé FreeBSD &agrave; côté
d'un autre système
d'exploitation sur le même disque, et vous voulez pouvoir
choisir de lancer soit FreeBSD soit l'autre système
d'exploitation au démarrage de votre ordinateur.</para>
</listitem>
</itemizedlist>
<para>Si &os; sera le seul système d'exploitation sur
cette machine, installé sur le premier disque dur,
alors le gestionnaire de démarrage
<guimenuitem>Standard</guimenuitem> suffira.
Sélectionnez <guimenuitem>None</guimenuitem> si vous
utilisez un gestionnaire de démarrage tiers capable de
démarrer &os;.</para>
<para>Faites votre choix, et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="sysinstall-bootmgr">
<title>Menu du gestionnaire de démarrage de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/boot-mgr"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>L'écran d'aide, obtenu par l'appui sur <keycap>F1</keycap>,
discute des problèmes qui peuvent être
rencontrés quand on
essaye de partager un disque entre plusieurs systèmes
d'exploitation.</para>
</sect2>
<sect2>
<title>Création de tranches - &ldquo;slices&rdquo; sur un
autre disque</title>
<para>S'il y a plus d'un disque, on reviendra &agrave; l'écran de
sélection des disques après la sélection du
gestionnaire de
démarrage. Si vous souhaitez installer FreeBSD sur plus d'un
disque, alors vous pouvez choisir un autre disque ici et
répéter le processus en utilisant
<application>FDisk</application>.</para>
<important>
<para>Si vous installez &os; sur un disque différent de
votre premier disque, alors le gestionnaire de démarrage
de &os; doit être installé sur les deux disques.</para>
</important>
<figure id="sysinstall-fdisk-drive2">
<title>Quitter la sélection de disque</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/fdisk-drive2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>La touche <keycap>Tab</keycap> permet de basculer entre le
dernier disque sélectionné, &gui.ok;, et
&gui.cancel;.</para>
<para>Appuyez sur <keycap>Tab</keycap> une fois pour basculer sur
&gui.ok;, ensuite appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour
continuer l'installation.</para>
</sect2>
<sect2 id="bsdlabeleditor">
<title>Créer des partitions en utilisant
<application>Disklabel</application></title>
<para>Vous devez maintenant créer des partitions &agrave;
l'intérieur de
chaque tranche que vous venez de créer. Rappelez-vous que
chaque partition est représentée par une lettre, depuis
<literal>a</literal> jusqu'&agrave; <literal>h</literal>, et que les
partitions <literal>b</literal>, <literal>c</literal>, et
<literal>d</literal> ont par convention des significations
particulières que vous devriez respecter.</para>
<para>Certaines applications peuvent tirer avantage d'un
partionnement particulier, tout spécialement si vous organisez
vos partitions sur plus d'un disque. Cependant, pour votre
première installation de FreeBSD, vous ne devriez ne pas trop
attacher d'importance &agrave; la façon dont vous divisez
votre disque.
Il est plus important que vous installiez FreeBSD et commenciez
&agrave; apprendre &agrave; l'utiliser. Vous pouvez toujours
réinstaller
FreeBSD pour modifier votre partionnement quand vous serez plus
familier avec le système d'exploitation.</para>
<para>Cette organisation présente quatre partitions&mdash;une pour
l'espace de pagination, et trois pour les systèmes de
fichiers.</para>
<table frame="none" pgwide="1">
<title>Partitionnement du premier disque</title>
<tgroup cols="4">
<colspec colwidth="1*"/>
<colspec colwidth="1*"/>
<colspec colwidth="1*"/>
<colspec colwidth="4*"/>
<thead>
<row>
<entry>Partition</entry>
<entry>Système de fichiers</entry>
<entry>Taille</entry>
<entry>Description</entry>
</row>
</thead>
<tbody>
<row>
<entry><literal>a</literal></entry>
<entry><filename>/</filename></entry>
<entry>512&nbsp;Mo</entry>
<entry>C'est le système de fichiers racine. Tous les
autres systèmes de fichiers seront montés sous ce
dernier. 512&nbsp;Mo est une taille raisonnable pour ce
système de fichiers. Vous ne devrez pas stocker trop de
données dessus, comme une installation habituelle de
FreeBSD prendra environ 128&nbsp;Mo. La place restante est pour les
données temporaires, et laisse également de
l'espace si les futures version de FreeBSD nécessitent
plus de place dans <filename>/</filename></entry>
</row>
<row>
<entry><literal>b</literal></entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>2-3 x RAM</entry>
<entry><para>L'espace de pagination du système
est placé
sur la partition <literal>b</literal>. Choisir la bonne quantité
d'espace de pagination peut s'avérer être tout un
art. Un bon principe est de prendre un espace de
pagination égal &agrave; deux ou trois fois la
mémoire
physique disponible sur le système (RAM). Vous devrez
également avoir au moins 64&nbsp;Mo d'espace de pagination,
donc si vous avez moins de 32&nbsp;Mo de RAM dans votre
ordinateur fixez la taille de l'espace de pagination &agrave;
64&nbsp;Mo.</para><para>
Si vous avez plus d'un disque alors vous pouvez
mettre de l'espace de pagination sur chaque disque.
FreeBSD utilisera alors chaque disque pour la
pagination, ce qui accélérera le processus de
pagination. Dans ce cas calculez la quantité d'espace
dont vous avez besoin (e.g., 128&nbsp;Mo), et divisez-la par
le nombre de disques que vous avez (e.g., deux disques)
pour obtenir la quantité &agrave; mettre sur chaque
disque,
dans cet exemple, 64&nbsp;Mo d'espace de pagination par
disque.</para></entry>
</row>
<row>
<entry><literal>e</literal></entry>
<entry><filename>/var</filename></entry>
<entry>256&nbsp;Mo &agrave; 1024nbsp;Mo</entry>
<entry>Le répertoire <filename>/var</filename> contient
des fichiers variant constamment; fichiers de traces, et
autre fichiers d'administration. Beaucoup de ces
fichiers sont lus et écrits de façon intensive
durant le
fonctionnement de FreeBSD. Mettre ces fichiers sur un
autre système de fichiers permet &agrave; FreeBSD
d'optimiser l'accès &agrave; ces fichiers sans affecter
les autres fichiers d'autres répertoires n'ayant pas
les même conditions d'accès.</entry>
</row>
<row>
<entry><literal>f</literal></entry>
<entry><filename>/usr</filename></entry>
<entry>Le reste du disque (au moins 2nbsp;Go)</entry>
<entry>Tous vos autres fichiers seront normalement stockés
dans <filename>/usr</filename>, et ses
sous-répertoires.</entry>
</row>
</tbody>
</tgroup>
</table>
<warning>
<para>Les valeurs ci-dessus sont données &agrave; titre
d'exemple et ne devraient être utilisées que
par des utilisateurs expérimentés. Les
utilisateurs sont encouragés &agrave; utiliser le
partitionnement automatique appelé <literal>Auto
Defaults</literal> par l'éditeur de partition de
&os;.</para>
</warning>
<para>Si vous installez FreeBSD sur plus d'un disque alors vous
devez également créer des partitions sur les autres
tranches que vous avez configurées.
La manière la plus simple est de créer
deux partitions sur chaque disque, une pour l'espace de
pagination, et une autre pour le système de fichiers.</para>
<table frame="none" pgwide="1">
<title>Partitionnement pour les disques suivants</title>
<tgroup cols="4">
<colspec colwidth="1*"/>
<colspec colwidth="1*"/>
<colspec colwidth="2*"/>
<colspec colwidth="3*"/>
<thead>
<row>
<entry>Partition</entry>
<entry>Système de fichiers</entry>
<entry>Taille</entry>
<entry>Description</entry>
</row>
</thead>
<tbody>
<row>
<entry><literal>b</literal></entry>
<entry>N/A</entry>
<entry>Voir description</entry>
<entry>Comme déj&agrave; discuté,
vous pouvez répartir l'espace de
pagination sur chaque disque. Même si la partition
<literal>a</literal> est libre, les conventions nous dictent
que l'espace de pagination doit rester sur la partition
<literal>b</literal>.</entry>
</row>
<row>
<entry><literal>e</literal></entry>
<entry>/disque<replaceable>n</replaceable></entry>
<entry>le reste du disque</entry>
<entry>Le reste du disque est utilisé en une seule grande
partition. Cela pourrait facilement être la partition
<literal>a</literal>, au lieu de la partition
<literal>e</literal>. Cependant, conventionnellement la
partition <literal>a</literal> sur une tranche est
réservée au système de fichiers racine
(<filename>/</filename>). Vous n'êtes pas obligé
de suivre cette convention mais
<application>sysinstall</application> le fait, et donc
la suivre rendra l'installation plus claire. Vous
pouvez choisir de monter ce système de fichiers
n'importe où; cet exemple suggère que vous les
montiez en tant que répertoires
<filename>/disque<replaceable>n</replaceable></filename>,
<replaceable>n</replaceable> est un nombre qui change
pour chaque disque. Mais vous pouvez choisir une autre
organisation si vous le préférez.</entry>
</row>
</tbody>
</tgroup>
</table>
<para>Après avoir choisi votre partitionnement vous pouvez
maintenant le créer en utilisant
<application>sysinstall</application>.
Vous verrez ce message:</para>
<screen> Message
Now, you need to create BSD partitions inside of the fdisk
partition(s) just created. If you have a reasonable amount of disk
space (200MB or more) and don't have any special requirements, simply
use the (A)uto command to allocate space automatically. If you have
more specific needs or just don't care for the layout chosen by
(A)uto, press F1 for more information on manual layout.
[ OK ]
[ Press enter or space ]</screen>
<para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour lancer
l'éditeur de
partition de FreeBSD, appelé
<application>Disklabel</application>.</para>
<para>La <xref linkend="sysinstall-label"/> présente l'affichage
que l'on obtient quand on lance pour la première fois
<application>Disklabel</application>. L'écran est
divisé en trois parties.</para>
<para>Les premières lignes affichent le nom du disque sur lequel
vous êtes en train de travailler, et la tranche qui contient les
partitions que vous êtes en train de créer (&agrave; cet
endroit <application>Disklabel</application> nomme cela
<literal>Partition name</literal>, nom de partition, plutôt que
le nom slice). Cet écran montre également la
quantité d'espace libre dans la tranche; c'est &agrave;
dire l'espace qui a été
mis de côté dans la tranche, et qui n'a pas
été encore attribué
&agrave; une partition.</para>
<para>Le centre de l'écran présente les partitions qui
ont été créées, le nom du système
de fichiers que chaque partition
contient, leur taille, et des options concernant la création du
système de fichiers.</para>
<para>Le bas de l'écran donne les combinaisons de touches valides
dans <application>Disklabel</application>.</para>
<figure id="sysinstall-label">
<title>L'éditeur Disklabel de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/disklabel-ed1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para><application>Disklabel</application> peut automatiquement
créer des partitions pour vous et leur assigner des tailles par
défaut. Les tailles par défaut sont
déterminées &agrave; l'aide d'un algorithme
interne basé sur la taille du disque. Essayez cette
fonction en appuyant sur
<keycap>A</keycap>. Vous verrez un affichage semblable &agrave; celui
donné par la <xref linkend="sysinstall-label2"/>. En fonction de
la taille de votre disque, les valeurs par défaut peuvent
être ou non appropriées.
Cela n'a pas d'importance, car vous n'êtes
pas obligé d'accepter ces valeurs.</para>
<note>
<para>Le partionnement par défaut assigne
au répertoire <filename>/tmp</filename> sa propre partition
plutôt que d'appartenir &agrave; la partition
<filename>/</filename>. Cela permet d'éviter de remplir la
partition <filename>/</filename> avec des fichiers
temporaires.</para>
</note>
<figure id="sysinstall-label2">
<title>L'éditeur Disklabel de sysinstall en mode
automatique</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/disklabel-auto"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Si vous décidez de ne pas utiliser les partitions
par défaut
et vous désirez les remplacer par les vôtres, utilisez les touches
fléchées pour sélectionner la
première partition, et appuyez sur <keycap>D</keycap> pour
l'effacer. Répétez cela pour effacer toutes les
partitions suggérées.</para>
<para>Pour créer la première partition
(<literal>a</literal>, montée en
<filename>/</filename> &mdash; racine), assurez-vous que la tranche du
disque correcte en haut de l'écran est sélectionnée,
et appuyez sur
<keycap>C</keycap>. Une boîte de dialogue s'affichera et vous
demandera la taille de la nouvelle partition (comme montré sur
la <xref linkend="sysinstall-label-add"/>). Vous pouvez entrer
la taille sous la forme du nombre de blocs disque que vous
voulez utiliser, ou sous forme d'un nombre suivi
soit par <literal>M</literal> pour mégaoctets,
<literal>G</literal> pour gigaoctets, ou soit par
<literal>C</literal> pour cylindres.</para>
<figure id="sysinstall-label-add">
<title>Espace libre pour la partition racine</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/disklabel-root1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>La taille par défaut proposée créera une partition qui
occupera le reste de la tranche. Si vous utilisez les tailles
de partitions comme décrit dans l'exemple précédent, alors effacez la
valeur proposée en utilisant <keycap>Backspace</keycap>,
et ensuite tapez <userinput>512M</userinput>,
comme présenté sur la <xref
linkend="sysinstall-label-add2"/>. Puis appuyez sur &gui.ok;.</para>
<figure id="sysinstall-label-add2">
<title>Edition de la taille de la partition racine</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/disklabel-root2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Après avoir choisi la taille de la partition on vous
demandera si cette partition contiendra un système de fichiers
ou de l'espace de pagination.
La boîte de dialogue est présentée dans
la <xref linkend="sysinstall-label-type"/>. Cette première
partition contiendra un système de fichiers, vérifiez
donc que <guimenuitem>FS</guimenuitem>
est sélectionné et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="sysinstall-label-type">
<title>Choisir le type de la partition racine</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/disklabel-fs"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Finalement, comme vous créez un système de
fichiers, vous devez indiquer &agrave;
<application>Disklabel</application> où le
système de fichiers sera monté.
La boîte de dialogue est
montrée sur la <xref linkend="sysinstall-label-mount"/>. Le
point de montage du système de fichiers racine est
<filename>/</filename>, tapez donc <userinput>/</userinput>, et
appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="sysinstall-label-mount">
<title>Choisir le point de montage de la partition racine</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/disklabel-root3"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>L'affichage sera mis &agrave; jour pour montrer la partition
nouvellement créée. Vous devrez répéter
cette procédure pour les
autres partitions. Quand vous créerez la partition de l'espace
de pagination, on ne vous demandera pas de point de montage pour
le système de fichiers, étant donné que les
partitions de pagination ne sont jamais montées.
Quand vous créez la dernière
partition <filename>/usr</filename>, vous pouvez laisser la
taille suggérée telle qu'elle, pour utiliser le
reste de la tranche.</para>
<para>Votre dernier écran de l'éditeur DiskLabel de FreeBSD
apparaîtra semblable &agrave; la
<xref linkend="sysinstall-label4"/>, bien que vos valeurs puissent
être différentes. Appuyez sur
<keycap>Q</keycap> pour terminer.</para>
<figure id="sysinstall-label4">
<title>Editeur Disklabel de sysinstall</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/disklabel-ed2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="install-choosing">
<title>Choisir ce que l'on va installer</title>
<sect2 id="distset">
<title>Sélectionner l'ensemble de distribution</title>
<para>Décider quel ensemble de distribution installer
dépendra en
grande partie de l'utilisation prévue du système et de la
quantité d'espace disque disponible.
Les options prédéfinies
vont de l'installation la plus petite possible &agrave; l'installation
de la totalité des éléments disponibles.
Ceux qui sont nouveaux
&agrave; &unix; et/ou FreeBSD devraient presque certainement choisir une
de ces options prédéfinies. Personnaliser un ensemble de
distribution est normalement réservé &agrave;
l'utilisateur plus expérimenté.</para>
<para>Appuyez sur <keycap>F1</keycap> pour plus d'informations
sur les options des ensembles de distribution et sur ce qu'ils
contiennent. Une fois la lecture de l'aide terminée, l'appui
sur <keycap>Entrée</keycap> ramènera au menu de
sélection des distributions.</para>
<para>Si une interface graphique utilisateur est
désirée alors un
ensemble de distribution qui est précédé par un
<literal>X</literal> devra être choisi. La configuration
du serveur X et la sélection d'un environnement de
travail doivent être effectuées après
l'installation de &os;. Plus d'information concernant la
configuration d'un serveur X peut être trouvé
dans le <xref linkend="x11"/>.</para>
<para><application>&xorg;</application> est la version d'X11
qui sera installée par défaut.</para>
<para>Si la compilation d'un noyau personnalisé est prévue,
sélectionnez une option qui inclut le code source. Pour plus
d'information sur l'intérêt d'un noyau personnalisé
ou comment compiler un noyau personnalisé voir le <xref
linkend="kernelconfig"/>.</para>
<para>A l'évidence, le système le plus versatile est celui
qui inclut tout. S'il y a l'espace disque adéquat, choisissez
<guimenuitem>All</guimenuitem> comme montré sur la <xref
linkend="distribution-set1"/> en utilisant les touches
fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.
S'il y a un problème quant &agrave; l'espace disque
considérez l'utilisation d'une option plus appropriée
&agrave; la situation. Ne vous tracassez pas au sujet des choix d'ensembles, comme les autres ensembles de distribution peuvent
être ajoutés après l'installation.</para>
<figure id="distribution-set1">
<title>Choix de l'ensemble de distribution</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/dist-set"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
</sect2>
<sect2 id="portscol">
<title>Installer le catalogue des logiciels portés - &ldquo;Ports
collection&rdquo;</title>
<para>Après le choix de l'ensemble de distribution
désiré, l'opportunité d'installer le catalogue
des logiciels portés pour FreeBSD se présente.
Le catalogue des logiciels portés est une
méthode simple et commode pour installer des logiciels. Le
catalogue des logiciels portés ne contient pas le code source
nécessaire pour compiler le logiciel. A la place, c'est un ensemble de
fichiers qui automatise le téléchargement, la
compilation et l'installation de logiciels tierce-partie. Le <xref linkend="ports"/> discute de
l'utilisation du catalogue des logiciels portés.</para>
<para>Le programme d'installation ne vérifie pas si vous avez
l'espace requis. Sélectionnez cette option uniquement si vous
disposez de l'espace disque adéquat. Sous
&os;&nbsp;&rel.current;, le catalogue des logiciels portés
occupe environ &ports.size; d'espace disque. Vous pouvez
sans risque envisager une plus grande valeur pour les versions
de &os; plus récentes.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Would you like to install the FreeBSD ports collection?
This will give you ready access to over &os.numports; ported software packages,
at a cost of around &ports.size; of disk space when "clean" and possibly much
more than that if a lot of the distribution tarballs are loaded
(unless you have the extra CDs from a FreeBSD CD/DVD distribution
available and can mount it on /cdrom, in which case this is far less
of a problem).
The ports collection is a very valuable resource and well worth having
on your /usr partition, so it is advisable to say Yes to this option.
For more information on the ports collection &amp; the latest ports,
visit:
http://www.FreeBSD.org/ports
[ Yes ] No</screen>
<para>Sélectionnez &gui.yes; avec les touches
fléchées pour installer le catalogue des logiciels
portés ou &gui.no; pour passer cette
option. Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer.
Le menu de sélection de l'ensemble de distribution
réapparaîtra.</para>
<figure id="distribution-set2">
<title>Confirmer le choix de la distribution</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/dist-set2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Si vous êtes satisfait avec les options, sélectionnez
<guimenuitem>Exit</guimenuitem> avec les touches fléchées,
vérifiez que &gui.ok; est surligné, et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour continuer.</para>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="install-media">
<title>Choisir votre support d'installation</title>
<para>Si vous installez &agrave; partir d'un CDROM ou DVD, utilisez les touches
fléchées pour sélectionner <guimenuitem>Install from
a FreeBSD CD/DVD</guimenuitem>.
Vérifiez que &gui.ok; est surligné, puis
appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour procéder &agrave;
l'installation.</para>
<para>Pour les autre méthodes d'installation, sélectionnez
l'option appropriée et suivez les instructions.</para>
<para>Appuyez sur <keycap>F1</keycap> pour afficher l'aide en ligne
pour le support d'installation. Appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour revenir au menu de
sélection du support.</para>
<figure id="choose-media">
<title>Choisir le support d'installation</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/media"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<note>
<title>Modes d'installation par FTP</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>réseau</secondary>
<tertiary>FTP</tertiary>
</indexterm>
<para>Il y a trois modes d'installation par FTP, vous pouvez
choisir parmi: FTP actif, FTP passif, ou par l'intermédiaire d'un
proxy HTTP.</para>
<variablelist>
<varlistentry>
<term>FTP actif: <guimenuitem>Install from an FTP
server</guimenuitem></term>
<listitem>
<para>Cette option fera que tous les transferts FTP
utiliseront le mode &ldquo;actif&rdquo;. Cela ne
fonctionnera pas &agrave; travers un coupe-feu, mais fonctionnera
souvent avec de vieux serveurs FTP ne supportant pas le
mode passif. Si votre connexion se bloque avec le mode
passif (mode par défaut), essayez le mode actif!</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>FTP passif: <guimenuitem>Install from an FTP server through a
firewall</guimenuitem></term>
<listitem>
<indexterm>
<primary>FTP</primary>
<secondary>mode passif</secondary>
</indexterm>
<para>Cette option demande &agrave; <application>sysinstall</application> d'utiliser le mode
&ldquo;passif&rdquo; pour toutes les opérations FTP. Cela
permet &agrave; l'utilisateur de traverser les coupes-feu qui
n'acceptent pas les connexions entrantes sur des ports
TCP aléatoires.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>FTP par l'intermédiaire d'un proxy HTTP:
<guimenuitem>Install from an FTP server through a http
proxy</guimenuitem></term>
<listitem>
<indexterm>
<primary>FTP</primary>
<secondary>via proxy HTTP</secondary>
</indexterm>
<para>Cette option demande &agrave; <application>sysinstall</application> d'utiliser le protocole
HTTP (comme pour un navigateur web) pour se connecter &agrave; un
proxy pour toutes les opérations FTP. Le proxy traduira
toutes les requêtes et les transmettra au serveur FTP.
Cela permet aux utilisateurs de traverser les coupes-feu
qui n'autorisent pas les connexions FTP, mais offrent un
proxy HTTP. Dans ce cas, vous devez préciser le proxy en
plus du serveur FTP.</para>
</listitem>
</varlistentry>
</variablelist>
<para>Pour un serveur proxy FTP, vous devriez normalement donner
le nom du serveur que vous désirez comme partie du nom
d'utilisateur, après le signe &ldquo;@&rdquo;. Le serveur proxy
&ldquo;simulera&rdquo; le serveur réel. Par exemple, en
supposant que vous voulez installer &agrave; partir de <hostid
role="fqdn">ftp.FreeBSD.org</hostid>, en utilisant le serveur proxy
FTP <hostid role="fqdn">foo.example.com</hostid>, écoutant sur
le port 1234.</para>
<para>Dans ce cas, rendez-vous dans le menu d'options, et fixez le
nom d'utilisateur FTP (&ldquo;username&rdquo;) &agrave;
<literal>ftp@ftp.FreeBSD.org</literal>, et le mot de passe
(&ldquo;password&rdquo;) &agrave; votre adresse émail.
Comme support
d'installation, vous spécifiez FTP (ou FTP passif, si le proxy
le supporte), et l'URL
<literal>ftp://foo.example.com:1234/pub/FreeBSD</literal>.</para>
<para>Puisque le répertoire <filename>/pub/FreeBSD</filename> de
<hostid role="fqdn">ftp.FreeBSD.org</hostid> est traduit par le
proxy en <hostid role="fqdn">foo.example.com</hostid>, vous êtes
en mesure d'installer depuis <emphasis>cette</emphasis> machine
(qui ira chercher les fichiers sur <hostid
role="fqdn">ftp.FreeBSD.org</hostid> quand l'installation
réclamera des fichiers).</para>
</note>
</sect1>
<sect1 id="install-final-warning">
<title>Procéder &agrave; l'installation</title>
<para>L'installation peut être maintenant effectuée si
désirée. C'est également la dernière
chance pour annuler l'installation et
empêcher l'écriture sur le disque dur.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Last Chance! Are you SURE you want to continue the installation?
If you're running this on a disk with data you wish to save then WE
STRONGLY ENCOURAGE YOU TO MAKE PROPER BACKUPS before proceeding!
We can take no responsibility for lost disk contents!
[ Yes ] No</screen>
<para>Sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour poursuivre.</para>
<para>La durée de l'installation variera en fonction de la
distribution choisie, du support d'installation, et de
la vitesse de l'ordinateur. Une série de messages sera
affichée
pour indiquer la progression de l'installation.</para>
<para>L'installation est achevée quand le message suivant est
affiché:</para>
<screen> Message
Congratulations! You now have FreeBSD installed on your system.
We will now move on to the final configuration questions.
For any option you do not wish to configure, simply select No.
If you wish to re-enter this utility after the system is up, you may
do so by typing: /usr/sbin/sysinstall .
[ OK ]
[ Press enter or space ]</screen>
<para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour poursuivre avec les
configurations de post-installation.</para>
<para>Sélectionner &gui.no; et appuyer sur
<keycap>Entrée</keycap> annulera l'installation et aucun
changement ne sera fait &agrave; votre système. Le message suivant
apparaîtra:</para>
<screen> Message
Installation complete with some errors. You may wish to scroll
through the debugging messages on VTY1 with the scroll-lock feature.
You can also choose "No" at the next prompt and go back into the
installation menus to retry whichever operations have failed.
[ OK ]</screen>
<para>Ce message est généré parce que
rien n'a été installé.
L'appui sur <keycap>Entrée</keycap> ramènera au menu
principal d'installation pour quitter l'installation.</para>
</sect1>
<sect1 id="install-post">
<title>Post-installation</title>
<para>La configuration de diverses options suit l'installation. Une
option peut être configurée en accédant aux options de
configuration avant de redémarrer le nouveau système
FreeBSD ou après l'installation en utilisant la commande
<command>sysinstall</command> et en sélectionnant
<guimenuitem>Configure</guimenuitem>.</para>
<sect2 id="inst-network-dev">
<title>Configuration réseau</title>
<para>Si vous avez précédemment configuré
PPP pour une installation par FTP, cet écran n'apparaîtra
pas et peut être
configuré plus tard comme décrit ci-dessus.</para>
<para>Pour une information détaillée sur les
réseaux locaux et la configuration de FreeBSD en
passerelle/routeur référez-vous au
chapitre <link linkend="advanced-networking">Administration
réseau avancée</link>.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Would you like to configure any Ethernet or SLIP/PPP network devices?
[ Yes ] No</screen>
<para>Pour configurer un périphérique réseau,
sélectionnez &gui.yes; et appuyez
sur <keycap>Entrée</keycap>.
Sinon, sélectionnez &gui.no; pour
continuer.</para>
<figure id="ed-config1">
<title>Sélection d'un périphérique Ethernet</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/ed0-conf"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Sélectionnez l'interface &agrave; configurer avec les touches
fléchées et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Do you want to try IPv6 configuration of the interface?
Yes [ No ]</screen>
<para>Dans ce réseau local privé l'actuel protocole
Internet (<acronym>IPv4</acronym>) était suffisant et &gui.no;
a été sélectionné
avec les touches fléchées et suivie
d'<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<para>Si vous êtes connecté &agrave; une
réseau (<acronym>IPv6</acronym>), existant avec un
serveur <acronym>RA</acronym>, alors
choisissez &gui.yes; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>. Cela prendra plusieurs secondes pour
rechercher des serveurs RA.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Do you want to try DHCP configuration of the interface?
Yes [ No ]</screen>
<para>Si DHCP (&ldquo;Dynamic Host Configuration Protocol&rdquo;)
n'est pas requis sélectionnez &gui.no;
&agrave; l'aide des touches fléchées et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<para>Sélectionner &gui.yes; exécutera
<application>dhclient</application>, et en cas de succès,
complétera l'information de configuration du réseau
automatiquement.
Référez-vous &agrave; la <xref linkend="network-dhcp"/> pour
plus d'information.</para>
<para>L'écran de configuration réseau suivant montre la
configuration du périphérique Ethernet pour un
système qui sera
passerelle pour un réseau local.</para>
<figure id="ed-config2">
<title>Configuration réseau pour ed0</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/ed0-conf2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Utilisez <keycap>Tab</keycap> pour choisir les champs
d'information et compléter avec l'information
appropriée:</para>
<variablelist>
<varlistentry>
<term>Host - &ldquo;Hôte&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Le nom complet de la machine, e.g. <hostid role="fqdn">k6-2.exemple.com</hostid>
dans ce cas.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Domain - &ldquo;Domaine&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Le nom du domaine auquel appartient votre machine, e.g.
<hostid role="domainname">exemple.com</hostid> dans le cas présent.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>IPv4 Gateway - &ldquo;Passerelle IPv4&rdquo;</term>
<listitem>
<para>L'adresse IP de l'hôte transmettant les paquets aux
destinations non-locales. Vous devez complétez cela seulement si la
machine est un noeud sur le réseau. <emphasis>Laissez ce
champ vide</emphasis> si la machine est destinée &agrave;
être la passerelle vers l'Internet pour le
réseau. La passerelle (&ldquo;gateway&rdquo;)
IPv4 est également connue sous le nom de
passerelle par défaut ou route par
défaut.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Name server - &ldquo;Serveur de Noms&rdquo;</term>
<listitem>
<para>L'adresse IP de votre serveur DNS local. Il n'y a pas
de serveur DNS local sur ce réseau local privé aussi
l'adresse IP du serveur DNS du fournisseur d'accès
(<hostid role="ipaddr">208.163.10.2</hostid>) fut utilisée.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>IPv4 address - &ldquo;Adresse IPv4&rdquo;</term>
<listitem>
<para>L'adresse IP employée pour cette interface fut
<hostid role="ipaddr">192.168.0.1</hostid></para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Netmask - &ldquo;Masque de sous-réseau&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Le bloc d'adresse utilisé pour ce réseau local
est le bloc <hostid role="ipaddr">192.168.0.0</hostid> - <hostid role="ipaddr">192.168.0.255</hostid>) avec un
masque de sous-réseau de <hostid role="netmask">255.255.255.0</hostid>.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Extra options to ifconfig - &ldquo;Options
supplémentaires pour ifconfig&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Toutes options d'<command>ifconfig</command>
spécifiques aux
interfaces que vous voudriez ajouter. Il n'y en avait
aucune dans ce cas-ci.</para>
</listitem>
</varlistentry>
</variablelist>
<para>Utilisez <keycap>Tab</keycap> pour sélectionner &gui.ok;
une fois terminé et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Would you like to Bring Up the ed0 interface right now?
[ Yes ] No</screen>
<para>La sélection de &gui.yes; suivie
d'<keycap>Entrée</keycap> rendra l'accès réseau
de la machine opérationnel. Cependant, cela
ne n'accomplit pas grand chose durant l'installation puisque
la machine a encore besoin d'être
redémarrée.</para>
</sect2>
<sect2 id="gateway">
<title>Configurer la passerelle</title>
<screen> User Confirmation Requested
Do you want this machine to function as a network gateway?
[ Yes ] No</screen>
<para>Si la machine jouera le rôle de passerelle pour le
réseau local et transmettra les paquets entre machines alors
sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>. Si la machine est un noeud sur le
réseau alors sélectionnez &gui.no; et
appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer.</para>
</sect2>
<sect2 id="inetd-services">
<title>Configurer les services Internet</title>
<screen> User Confirmation Requested
Do you want to configure inetd and the network services that is provides?
Yes [ No ]</screen>
<para>Si &gui.no; est sélectionné,
divers services tel que <application>telnetd</application> ne seront
pas activés. Cela signifie que des utilisateurs &agrave;
distance ne pourront pas se connecter par l'intermédiaire de
<application>telnet</application> &agrave; cette machine. Les
utilisateurs locaux seront toujours en mesure d'accéder
&agrave; des machines distantes avec
<application>telnet</application>.</para>
<para>Ces services peuvent être activés après
l'installation en éditant <filename>/etc/inetd.conf</filename>
avec votre éditeur
de texte favori. Voir la <xref linkend="network-inetd-overview"/> pour
plus d'information.</para>
<para>Choisissez &gui.yes; si vous souhaitez
configurer ces services pendant l'installation. Une
confirmation supplémentaire s'affichera:</para>
<screen> User Confirmation Requested
The Internet Super Server (inetd) allows a number of simple Internet
services to be enabled, including finger, ftp and telnetd. Enabling
these services may increase risk of security problems by increasing
the exposure of your system.
With this in mind, do you wish to enable inetd?
[ Yes ] No</screen>
<para>Sélectionnez &gui.yes; pour
continuer.</para>
<screen> User Confirmation Requested
inetd(8) relies on its configuration file, /etc/inetd.conf, to determine
which of its Internet services will be available. The default FreeBSD
inetd.conf(5) leaves all services disabled by default, so they must be
specifically enabled in the configuration file before they will
function, even once inetd(8) is enabled. Note that services for
IPv6 must be seperately enabled from IPv4 services.
Select [Yes] now to invoke an editor on /etc/inetd.conf, or [No] to
use the current settings.
[ Yes ] No</screen>
<para>Le choix &gui.yes; permettra d'ajouter
des services en supprimant le <literal>#</literal> au début
d'une ligne.</para>
<figure id="inetd-edit">
<title>Edition d'<filename>inetd.conf</filename></title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/edit-inetd-conf"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Après avoir ajouté les services
désirés, l'appui sur
<keycap>Echap</keycap> affichera un menu qui permettra de
quitter et sauver les changements.</para>
</sect2>
<sect2 id="ssh-login">
<title>Autoriser les ouvertures de session SSH</title>
<indexterm>
<primary>SSH</primary>
<secondary>sshd</secondary>
</indexterm>
<screen> User Confirmation Requested
Would you like to enable SSH login?
Yes [ No ]</screen>
<para>Sélectionner &gui.yes; activera &man.sshd.8;, le
programme <quote>daemon</quote> pour
<application>OpenSSH</application>. Cela permettra
l'ouverture &agrave; distance de sessions
sécurisées sur votre machine. Pour plus
d'information au sujet d'<application>OpenSSH</application>
voir la <xref linkend="openssh"/>.</para>
</sect2>
<sect2 id="ftpanon">
<title>FTP anonyme</title>
<indexterm>
<primary>FTP</primary>
<secondary>anonyme</secondary>
</indexterm>
<screen> User Confirmation Requested
Do you want to have anonymous FTP access to this machine?
Yes [ No ]</screen>
<sect3 id="deny-anon">
<title>Interdire l'accès FTP anonyme</title>
<para>Choisir le &gui.no; par défaut et
appuyer sur <keycap>Entrée</keycap> permettra toujours aux
utilisateurs ayant des comptes avec mot de passe d'utiliser
FTP pour accéder &agrave; la machine.</para>
</sect3>
<sect3 id="ftpallow">
<title>Autoriser l'accès FTP anonyme</title>
<para>N'importe qui peut accéder &agrave; votre machine si vous
choisissez d'autoriser les connexions par FTP anonyme. Les
implications au niveau de la sécurité devraient
être
considérées avant d'activer cette option. Pour plus
d'information sur la sécurité voir le <xref
linkend="security"/>.</para>
<para>Pour autoriser le FTP anonyme, utilisez les touches
fléchées pour sélectionner
&gui.yes; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.
Une confirmation supplémentaire
apparaîtra:</para>
<screen> User Confirmation Requested
Anonymous FTP permits un-authenticated users to connect to the system
FTP server, if FTP service is enabled. Anonymous users are
restricted to a specific subset of the file system, and the default
configuration provides a drop-box incoming directory to which uploads
are permitted. You must separately enable both inetd(8), and enable
ftpd(8) in inetd.conf(5) for FTP services to be available. If you
did not do so earlier, you will have the opportunity to enable inetd(8)
again later.
If you want the server to be read-only you should leave the upload
directory option empty and add the -r command-line option to ftpd(8)
in inetd.conf(5)
Do you wish to continue configuring anonymous FTP?
[ Yes ] No</screen>
<para>Ce message vous indique que le servec FTP devra
également être activé dans le fichier
<filename>/etc/inetd.conf</filename> si vous voulez
autoriser les connexions FTP anonymes, voir la <xref
linkend="inetd-services"/>. Sélectionnez &gui.yes; et
appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer;
l'écran suivant (ou semblable)
apparaîtra:</para>
<figure id="anon-ftp2">
<title>Configuration par défaut du FTP anonyme</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/ftp-anon1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Utilisez la touche <keycap>Tab</keycap> pour choisir les
champs d'information et compléter avec l'information
appropriée:</para>
<variablelist>
<varlistentry>
<term>UID</term>
<listitem>
<para>L'ID utilisateur que vous voulez affecter
&agrave; l'utilisateur du FTP anonyme. Tous les
fichiers chargés sur le serveur appartiendront
&agrave; cet ID.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Group - <quote>Groupe</quote></term>
<listitem>
<para>Le groupe auquel appartiendra l'utilisateur du FTP
anonyme.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Comment - <quote>Commentaire</quote></term>
<listitem>
<para>La chaîne de caractères
décrivant cet utilisateur dans le fichier
<filename>/etc/passwd</filename>.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>FTP Root Directory - <quote>Répertoire racine
FTP</quote></term>
<listitem>
<para>L'emplacement où seront conservés
les fichiers du FTP anonyme.</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Upload Subdirectory - <quote>Sous-répertoire
de téléchargement</quote></term>
<listitem>
<para>L'emplacement où seront stockés les
fichiers téléchargés sur le
serveur par les utilisateurs du FTP anonyme.</para>
</listitem>
</varlistentry>
</variablelist>
<para>Le répertoire racine du FTP sera placé dans
<filename>/var</filename> par défaut. Si vous n'avez pas de
place &agrave; cet endroit pour les besoins prévus du FTP, le
répertoire <filename>/usr</filename> pourra être
utilisé en
configurant le répertoire racine FTP &agrave;
<filename>/usr/ftp</filename>.</para>
<para>Quand vous êtes satisfait de ces valeurs, appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour continuer.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Create a welcome message file for anonymous FTP users?
[ Yes ] No</screen>
<para>Si vous sélectionnez &gui.yes; et
appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>, un éditeur sera
automatiquement lancé vous permettant d'éditer le
message.</para>
<figure id="anon-ftp4">
<title>Edition du message de bienvenue du FTP</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/ftp-anon2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>C'est un éditeur de texte appelé
<command>ee</command>.
Utilisez les instructions pour modifier le message ou
faites-le plus tard en utilisant l'éditeur de texte de votre
choix. Notez l'emplacement/le nom du fichier au bas de
l'écran.</para>
<para>Appuyez sur <keycap>Echap</keycap> et une boîte de
dialogue apparaîtra avec l'option <guimenuitem>a) leave
editor</guimenuitem> sélectionnée. Appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour quitter et continuer.
Appuyez &agrave; nouveau sur <keycap>Entrée</keycap>
pour sauvegarder les modifications si vous en avez
fait.</para>
</sect3>
</sect2>
<sect2 id="nfsconf">
<title>Configurer le système de fichiers réseau -
NFS</title>
<para>Le système de fichiers réseau (NFS) permet le
partage de fichiers &agrave; travers un réseau. Une machine
peut être configurée en serveur, client, ou les deux.
Référez-vous &agrave; la <xref
linkend="network-nfs"/> pour plus d'information.</para>
<sect3 id="nsf-server-options">
<title>Serveur NFS</title>
<screen> User Confirmation Requested
Do you want to configure this machine as an NFS server?
Yes [ No ]</screen>
<para>S'il n'y a aucun de besoin de serveur NFS,
sélectionnez &gui.no; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<para>Si &gui.yes; est choisi, un message
apparaîtra indiquant que le fichier
<filename>exports</filename> doit être
créé.</para>
<screen> Message
Operating as an NFS server means that you must first configure an
/etc/exports file to indicate which hosts are allowed certain kinds of
access to your local file systems.
Press [Enter] now to invoke an editor on /etc/exports
[ OK ]</screen>
<para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer. Un
éditeur de texte sera lancé pour permettre la
création et
l'edition du fichier <filename>exports</filename>.</para>
<figure id="nfs-server-edit">
<title>Edition du fichier <filename>exports</filename></title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/nfs-server-edit"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Suivez les instructions pour ajouter les systèmes de
fichiers &agrave; exporter maintenant ou plus tard en utilisant
l'éditeur de texte de votre choix. Notez le nom/l'emplacement
au bas de l'écran de l'éditeur.</para>
<para>Appuyez sur <keycap>Echap</keycap> et une boîte de
dialogue apparaîtra avec l'option <guimenuitem>a) leave
editor</guimenuitem> sélectionnée. Appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour quitter et continuer.</para>
</sect3>
<sect3 id="nfs-client-options">
<title>Client NFS</title>
<para>Le client NFS permet &agrave; votre machine
d'accéder &agrave; des serveurs NFS.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Do you want to configure this machine as an NFS client?
Yes [ No ]</screen>
<para>Avec les touches fléchées, sélectionnez
&gui.yes; ou
&gui.no; selon vos besoins et appuyez
sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>
</sect3>
</sect2>
<sect2 id="console">
<title>Configuration de la console système</title>
<para>Ils y a plusieurs options disponibles pour personnaliser la
console système.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Would you like to customize your system console settings?
[ Yes ] No</screen>
<para>Pour visualiser et configurer ces options, sélectionnez
&gui.yes; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="saver-options">
<title>Options de configuration de la console système</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/console-saver1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Une option généralement utilisée est
l'économiseur d'écran.
Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
<guimenuitem>Saver</guimenuitem> et appuyez ensuite sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="saver-select">
<title>Options de l'économiseur d'écran</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/console-saver2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Sélectionnez l'économiseur d'écran
désiré en utilisant les
touches fléchées et puis appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.
Le menu de configuration de la console système
réapparaîtra.</para>
<para>L'intervalle de temps par défaut est de 300 secondes. Pour
changer cet intervalle de temps, sélectionnez
<guimenuitem>Saver</guimenuitem> &agrave; nouveau. Au menu de
configuration de l'économiseur d'écran,
sélectionnez
<guimenuitem>Timeout</guimenuitem> en utilisant les touches
fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.
Une boîte de dialogue apparaîtra:</para>
<figure id="saver-timeout">
<title>Délai de l'économiseur d'écran</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/console-saver3"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>La valeur peut être changée, ensuite
sélectionnez &gui.ok;
et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour retourner au menu de
configuration de la console système.</para>
<figure id="saver-exit">
<title>Sortie de la configuration de la console système</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/console-saver4"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>En sélectionnant <guimenuitem>Exit</guimenuitem> et en
appuyant sur <keycap>Entrée</keycap> on poursuivra avec les
options de post-installation.</para>
</sect2>
<sect2 id="timezone">
<title>Réglage du fuseau horaire</title>
<para>Régler le fuseau horaire sur votre machine lui permettra de
corriger automatiquement tout changement horaire régional et
d'exécuter d'autres fonctions liées au fuseau horaire
correctement.</para>
<para>L'exemple présenté est pour une machine
située dans le
fuseau horaire oriental des Etats-Unis. Vos choix changeront en
fonction de votre position géographique.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Would you like to set this machine's time zone now?
[ Yes ] No</screen>
<para>Sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour régler le fuseau
horaire.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Is this machine's CMOS clock set to UTC? If it is set to local time
or you don't know, please choose NO here!
Yes [ No ]</screen>
<para>Sélectionnez &gui.yes;
ou &gui.no; en fonction de la configuration
de l'horloge de la machine et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="set-timezone-region">
<title>Choisissez votre région</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/timezone1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>La région appropriée est sélectionnée
en utilisant les touches fléchées, puis en appuyant sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="set-timezone-country">
<title>Sélectionnez votre pays</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/timezone2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Sélectionnez le pays approprié en utilisant les
touches fléchées et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="set-timezone-locality">
<title>Sélectionnez votre fuseau horaire</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/timezone3"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Le fuseau horaire approprié est sélectionné
en utilisant les touches fléchées et en appuyant sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<screen> Confirmation
Does the abbreviation 'EDT' look reasonable?
[ Yes ] No</screen>
<para>Confirmez que l'abréviation pour le fuseau horaire est
correcte. Si cela semble bon, appuyez sur <keycap>Enter</keycap>
pour continuer avec la configuration de post-installation.</para>
</sect2>
<sect2 id="linuxcomp">
<title>Compatibilité Linux</title>
<screen> User Confirmation Requested
Would you like to enable Linux binary compatibility?
[ Yes ] No</screen>
<para>La sélection de &gui.yes; et l'appui
sur <keycap>Entrée</keycap> permettra d'exécuter des
logiciels Linux sous FreeBSD. L'installation ajoutera les logiciels
pré-compilés appropriés pour la
compatibilité Linux.</para>
<para>Si l'on installe par FTP, la machine devra être
connectée &agrave; l'Internet. Parfois un site FTP distant
n'aura pas tous les ensembles de distributions comme la
compatibilité binaire Linux. Cela peut être
installé plus tard si nécessaire.</para>
</sect2>
<sect2 id="mouse">
<title>Configuration de la souris</title>
<para>Cette option vous permettra de copier-coller du texte dans
la console et les programmes utilisateur avec une souris 3
boutons. Si vous utilisez une souris 2 boutons,
référez-vous &agrave;
la page de manuel &man.moused.8;, après l'installation pour des
détails sur l'émulation du troisième bouton.
Cet exemple décrit
la configuration d'une souris non-USB (comme une souris PS/2
ou sur port COM):</para>
<screen> User Confirmation Requested
Does this system have a PS/2, serial, or bus mouse?
[ Yes ] No</screen>
<para>Sélectionnez &gui.yes; pour une souris
PS/2 ou série, ou &gui.no; pour une souris USB et
appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="mouse-protocol">
<title>Sélectionner la configuration du protocole de la souris</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/mouse1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
<guimenuitem>Type</guimenuitem> et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="set-mouse-protocol">
<title>Configurer le protocole de la souris</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/mouse2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>La souris utilisée dans cet exemple est de type PS/2, aussi
la valeur par défaut <guimenuitem>Auto</guimenuitem> était
appropriée. Pour changer le protocole, utilisez les touches
fléchées pour sélectionner une autre option.
Vérifiez que &gui.ok; est surligné puis appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour quitter ce menu.</para>
<figure id="config-mouse-port">
<title>Configuration du port de la souris</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/mouse3"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Utilisez les touches fléchées pour sélectionner
<guimenuitem>Port</guimenuitem> et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="set-mouse-port">
<title>Choisir le port de la souris</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/mouse4"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Ce système avait une souris PS/2, aussi la valeur par
défaut <guimenuitem>PS/2</guimenuitem> était
appropriée. Pour changer le port, utilisez les touches
fléchées et puis appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="test-daemon">
<title>Activer le &ldquo;daemon&rdquo; - gestionnaire de la
souris</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/mouse5"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Finalement, utilisez les touches fléchées
pour sélectionner <guimenuitem>Enable</guimenuitem>, et
appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour activer et
tester le gestionnaire de la souris.</para>
<figure id="test-mouse-daemon">
<title>Tester le gestionnaire de la souris</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/mouse6"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Déplacez la souris sur l'écran et vérifiez
que le curseur répond correctement. Si c'est le
cas, sélectionnez &gui.yes;
et appuyez sur <keycap>Enter</keycap>. Si ce n'est pas
le cas, la souris n'a pas été configurée
correctement &mdash; sélectionnez &gui.no;
et essayez d'utiliser des options de configuration
différentes.</para>
<para>Sélectionnez
<guimenuitem>Exit</guimenuitem> avec les touches fléchées
et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour continuer la
configuration de post-installation.</para>
</sect2>
<sect2 id="packages">
<title>Installer des logiciels pré-compilés -
&ldquo;packages&rdquo;</title>
<para>Les &ldquo;packages&rdquo; sont des logiciels
pré-compilés
et sont une manière commode d'installer des programmes.</para>
<para>L'installation d'un logiciel pré-compilé est
présenté comme illustration.
Des logiciels pré-compilés supplémentaires
peuvent être également ajoutés &agrave; ce
moment-l&agrave; si désiré. Après
l'installation <command>sysinstall</command> peut être
utilisé pour ajouter des logiciels pré-compilés
supplémentaires.</para>
<screen> User Confirmation Requested
The FreeBSD package collection is a collection of hundreds of
ready-to-run applications, from text editors to games to WEB servers
and more. Would you like to browse the collection now?
[ Yes ] No</screen>
<para>La sélection de &gui.yes; et
l'appui sur <keycap>Entrée</keycap> seront suivis par les
écrans de sélection des logiciels
pré-compilés:</para>
<figure id="package-category">
<title>Sélection d'une catégorie de logiciels
pré-compilés</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/pkg-cat"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Seuls les logiciels du support d'installation sont
disponibles pour être installés &agrave;
n'importe quel moment.</para>
<para>Tous les logiciels disponibles seront affichés si
<guimenuitem>All</guimenuitem> est sélectionné ou
vous pouvez choisir une catégorie particulière.
Faites votre sélection en
utilisant les touches fléchées puis appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<para>Un menu s'affichera en montrant tous les logiciels
pré-compilés disponibles pour la catégorie
sélectionnée:</para>
<figure id="package-select">
<title>Sélection des logiciels pré-compilés</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/pkg-sel"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>L'interpréteur de commande <application>bash</application>
apparaît sélectionné. Choisissez autant de
logiciels que désiré
en les surlignant et en appuyant sur la touche
<keycap>Espace</keycap>. Une courte description de chaque
logiciel apparaîtra dans le coin inférieur gauche de
l'écran.</para>
<para>En appuyant sur la touche <keycap>Tab</keycap> on basculera
entre le dernier logiciel pré-compilé, &gui.ok;, et
&gui.cancel;.</para>
<para>Quand vous avez fini de marquer les logiciels
pré-compilés
pour l'installation, appuyez sur <keycap>Tab</keycap> une
nouvelle fois pour basculer sur &gui.ok; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour revenir au menu de sélection
des logiciels pré-compilés.</para>
<para>Les touches fléchées gauche et droite basculeront
également entre &gui.ok; et &gui.cancel;.
Cette méthode peut être utilisée pour
sélectionner &gui.ok; et ensuite appuyer sur
<keycap>Entrée</keycap> pour retourner au menu de
sélection des
logiciels pré-compilés.</para>
<figure id="package-install">
<title>Installation des logiciels pré-compilés</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/pkg-install"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Utilisez la touche <keycap>Tab</keycap> et les touches fléchées pour sélectionner
<guibutton>[ Install ]</guibutton> et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>. Vous devrez alors confirmer que vous
voulez installer les logiciels pré-compilés:</para>
<figure id="package-install-confirm">
<title>Confirmation de l'installation de logiciels pré-compilés</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/pkg-confirm"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Sélectionner &gui.ok; et l'appui sur
<keycap>Entrée</keycap> lancera l'installation des logiciels.
Des messages d'installation apparaîtront jusqu'&agrave; la fin de
l'installation. Prenez note des éventuels messages
d'erreur.</para>
<para>La configuration se poursuit après que les logiciels
pré-compilés soient installés. Si vous
ne choisissez aucun logiciel, et souhaitez retourner &agrave; la
configuration finale, sélectionnez
<guibutton>Install</guibutton>.</para>
</sect2>
<sect2 id="addusers">
<title>Ajouter des Utilisateurs/Groupes</title>
<para>Vous devriez ajouter au moins un utilisateur pendant
l'installation de sorte que vous puissiez utiliser le système
sans être attaché en tant que <username>root</username>.
La partition racine est généralement petite et utiliser
des applications en tant que <username>root</username> peut
rapidement la remplir. Un plus grand danger est signalé
ci-dessous:</para>
<screen> User Confirmation Requested
Would you like to add any initial user accounts to the system? Adding
at least one account for yourself at this stage is suggested since
working as the "root" user is dangerous (it is easy to do things which
adversely affect the entire system).
[ Yes ] No</screen>
<para>Sélectionnez &gui.yes; et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap> pour continuer avec l'ajout d'un
utilisateur.</para>
<figure id="add-user2">
<title>Sélectionner l'ajout d'utilisateur</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/adduser1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Sélectionnez <guimenuitem>User</guimenuitem> avec les touches
fléchées et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>.</para>
<figure id="add-user3">
<title>Ajout de l'information utilisateur</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/adduser2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Les descriptions suivantes apparaîtront dans la partie
inférieure de l'écran au fur et &agrave; mesure que les
éléments seront sélectionnés avec
<keycap>Tab</keycap> pour aider dans l'entrée
des informations nécessaires:</para>
<variablelist>
<varlistentry>
<term>Login ID - &ldquo;Indentifiant&rdquo;</term>
<listitem>
<para>L'identifiant du nouvel utilisateur (obligatoire).</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>UID</term>
<listitem>
<para>L'identifiant numérique pour cet utilisateur (laisser
tel quel pour le choix automatique).</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Group - &ldquo;Groupe&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Le nom du groupe pour cet utilisateur (laisser
tel quel pour le choix automatique).</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Password - &ldquo;Mot de passe&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Le mot de passe pour cet utilisateur (compléter ce
champ avec précaution!).</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Full name - &ldquo;Nom complet&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Le nom complet de l'utilisateur (commentaire).</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Member groups - &ldquo;Membre des groupes&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Les groupes auxquels appartient l'utilisateur (i.e.
dont il a les droits accès).</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Home directory - &ldquo;Répertoire
d'utilisateur&rdquo;</term>
<listitem>
<para>Le répertoire de l'utilisateur (laisser
tel quel pour le choix automatique).</para>
</listitem>
</varlistentry>
<varlistentry>
<term>Login shell - &ldquo;L'interpréteur de
commande&rdquo;</term>
<listitem>
<para>L'interpréteur de commande de l'utilisateur (laisser
tel quel pour le choix automatique, i.e.
<filename>/bin/sh</filename>).</para>
</listitem>
</varlistentry>
</variablelist>
<para>On a changé l'interpréteur de commande
<filename>/bin/sh</filename> pour
<filename>/usr/local/bin/bash</filename> afin d'utiliser
<application>bash</application> qui a été installé
précédemment sous forme de logiciel
pré-compilé. N'essayez pas d'utiliser un
interpréteur de commande qui n'existe pas ou vous ne serez pas
en mesure d'ouvrir de session. L'interpréteur de
commande le plus commun dans le monde BSD est
l'interpréteur C shell, qui peut être
spécifié &agrave; l'aide de
<filename>/bin/tcsh</filename>.</para>
<para>L'utilisateur a aussi été ajouté au groupe
<groupname>wheel</groupname> pour qu'il puisse devenir
super-utilisateur avec les privilèges de
<username>root</username>.</para>
<para>Quand vous êtes satisfait, appuyez sur &gui.ok; et le menu
de gestion des utilisateurs et des groupes
réapparaîtra:</para>
<figure id="add-user4">
<title>Quitter la gestion des utilisateurs et des groupes</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/adduser3"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Des groupes peuvent également être ajoutés
&agrave; ce moment si des besoins spécifiques sont connus.
Sinon, cela pourra être
fait en utilisant <command>sysinstall</command> quand
l'installation sera achevée.</para>
<para>Quand vous en avez terminé avec l'ajout d'utilisateurs,
sélectionnez <guimenuitem>Exit</guimenuitem> avec les touches
fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>
pour continuer l'installation.</para>
</sect2>
<sect2 id="rootpass">
<title>Définir le mot de passe de <username>root</username></title>
<screen> Message
Now you must set the system manager's password.
This is the password you'll use to log in as "root".
[ OK ]
[ Press enter or space ]</screen>
<para>Appuyez sur <keycap>Entrée</keycap> pour définir le
mot de passe de <username>root</username>.</para>
<para>Le mot de passe devra être saisi deux fois correctement.
Inutile de dire, que vous devez vous assurer d'avoir un moyen
de retrouver le mot de passe si vous l'oubliez. Notez que le
mot de passe que vous taperez ne s'affichera pas, il ne sera
pas non plus remplacé par des astérisques.</para>
<screen>New password:
Retype new password :</screen>
<para>L'installation continuera après que le mot de passe ait
été entré avec succès.</para>
</sect2>
<sect2 id="exit-inst">
<title>Quitter l'installation</title>
<para>Si vous devez configurer des <link
linkend="network-services">services
réseau supplémentaires</link> ou toute autre
configuration, vous pouvez le faire &agrave; ce moment-l&agrave;
ou après l'installation en
utilisant <command>sysinstall</command>.</para>
<screen> User Confirmation Requested
Visit the general configuration menu for a chance to set any last
options?
Yes [ No ]</screen>
<para>Sélectionnez &gui.no; avec les touches
fléchées et appuyez sur <keycap>Entrée</keycap>
pour retourner au menu principal d'installation.</para>
<figure id="final-main">
<title>Quitter l'installation</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/mainexit"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Sélectionnez <guibutton>[X Exit Install]</guibutton> avec les
touches fléchées et appuyez sur
<keycap>Entrée</keycap>. On vous demandera de confirmer
votre désir de quitter l'installation:</para>
<screen> User Confirmation Requested
Are you sure you wish to exit? The system will reboot (be sure to
remove any floppies/CDs/DVDs from the drives).
[ Yes ] No</screen>
<para>Sélectionnez &gui.yes; et retirez la
disquette si vous avez démarré depuis le lecteur de
disquette.
Le lecteur de CDROM est verrouillé jusqu'au redémarrage
de la machine. Le lecteur de CDROM est alors
déverrouillé et le CDROM
peut être retiré du lecteur (rapidement).</para>
<para>Le système redémarrera aussi faites attention
&agrave; tout message d'erreur qui pourrait apparaître, voir
la <xref linkend="freebsdboot"/> pour plus de
détails.</para>
</sect2>
<sect2 id="network-services">
<sect2info>
<authorgroup>
<author>
<firstname>Tom</firstname>
<surname>Rhodes</surname>
<contrib>Contribution de </contrib>
</author>
</authorgroup>
</sect2info>
<title>Configuration des services réseaux
supplémentaires</title>
<para>La configuration des services réseaux peut
être une tâche intimidante pour les nouveaux
utilisateurs s'ils ne possèdent pas de connaissances
dans ce domaine. L'accès réseau, y compris
l'Internet, est un élément essentiel de tout
système d'exploitation moderne, c'est le cas de &os;;
il en résulte, qu'il est très utile de
comprendre un peu les capacités réseau
étendues de &os;. Effectuer cette configuration lors
de l'installation garantira que les utilisateurs ont une
compréhension des divers services qui leur sont
disponibles.</para>
<para>Les services réseaux sont des programmes qui
acceptent des entrées depuis n'importe quel endroit du
réseau. De nombreux efforts sont fait pour s'assurer
que ces programmes ne feront rien de &ldquo;nocif&rdquo;.
Malheureusement, les programmeurs ne sont pas parfait et par
le passé il y a eu des cas où des bogues dans
les services réseaux ont été
exploités par des personnes malveillantes pour faire de
mauvaises choses. Il est donc important que vous n'activiez
que les services dont vous avez besoin. Dans le doute, il
vaut mieux que vous n'activiez pas un service réseau
avant que vous ne vous rendiez compte que vous en avez
réellement besoin. Vous pouvez toujours l'activer plus
tard en relançant <application>sysinstall</application>
ou en utilisant les options fournies par le fichier
<filename>/etc/rc.conf</filename>.</para>
<para>Sélectionner <guimenu>Networking</guimenu> fera
apparaître un menu similaire au suivant:</para>
<figure id="network-configuration">
<title>Configuration réseau</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/net-config-menu1"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>La première option,
<guimenuitem>Interfaces</guimenuitem>, a été
précédemment abordée dans la <xref
linkend="inst-network-dev"/>, aussi cette option peut
être ignorée sans risque.</para>
<para>La sélection de l'option
<guimenuitem>AMD</guimenuitem> ajoute le support de
l'utilitaire de montage automatique <acronym>BSD</acronym>.
Il est généralement employé en
conjonction avec le protocole <acronym>NFS</acronym> (voir
plus bas) pour monter automatiquement les systèmes de
fichiers distants. Aucune configuration particulière
n'est ici nécessaire.</para>
<para>La ligne suivante est l'option <guimenuitem>AMD
Flags</guimenuitem>. Quand elle est
sélectionnée, un menu s'affichera pour que vous
puissiez saisir les paramètres spécifiques
&agrave; <acronym>AMD</acronym>. Le menu affiche
déj&agrave; un ensemble d'options par
défaut:</para>
<screen>-a /.amd_mnt -l syslog /host /etc/amd.map /net /etc/amd.map</screen>
<para>L'option <option>-a</option> fixe l'emplacement de
montage par défaut qui est ici
<filename>/.amd_mnt</filename>. L'option
<option>-l</option> spécifie le fichier journal par
défaut, cependant quand <literal>syslogd</literal> est
utilisé toutes les traces seront envoyées au
&ldquo;daemon&rdquo; gérant les journaux
systèmes. Le répertoire <filename
class="directory">/host</filename> est employé pour
monter un système de fichiers exporté par une
machine distante, tandis que le répertoire <filename
class="directory">/net</filename> est utilisé pour
monter un système de fichiers exporté &agrave;
partir d'une adresse <acronym>IP</acronym>. Le fichier
<filename>/etc/amd.map</filename> définit les options
par défaut pour les exportations
<acronym>AMD</acronym>.</para>
<indexterm>
<primary>FTP</primary>
<secondary>anonyme</secondary>
</indexterm>
<para>L'option <guimenuitem>Anon FTP</guimenuitem> autorise les
connexions <acronym>FTP</acronym> anonymes.
Sélectionnez cette option pour faire de la machine un
serveur <acronym>FTP</acronym> anonyme. Soyez cependant
conscient des risques de sécurité
impliqués avec cette option. Un autre menu sera
affiché pour expliquer les risques au niveau de la
sécurité et la configuration en
détail.</para>
<para>Le menu de configuration
<guimenuitem>Gateway</guimenuitem> paramétrera la
machine pour agir en passerelle comme expliqué
précédemment. Cela peut être
utilisé pour désactiver l'option
<guimenuitem>Gateway</guimenuitem> si vous l'avez
sélectionné accidentellement durant le processus
d'installation.</para>
<para>L'option <guimenuitem>Inetd</guimenuitem> peut être
utilisée pour configurer ou complètement
désactiver le &ldquo;daemon&rdquo; &man.inetd.8; comme
exposé plus haut.</para>
<para>L'option <guimenuitem>Mail</guimenuitem> est
employée pour configurer l'agent de transfert du
courrier électronique (&ldquo;MTA&rdquo;) par
défaut du système. Choisir cette option fera
afficher le menu suivant:</para>
<figure id="mta-selection">
<title>Sélection du MTA par défaut</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/mta-main"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>On vous propose ici un choix de <acronym>MTA</acronym>
&agrave; installer et &agrave; utiliser par défaut. Un
<acronym>MTA</acronym> n'est ni plus ni moins qu'un serveur de
courrier électronique qui délivre le courrier
électronique aux utilisateurs sur le système ou
sur l'Internet.</para>
<para>Sélectionner <guimenuitem>Sendmail</guimenuitem>
installera le serveur <application>sendmail</application> qui
est celui par défaut sous &os;. L'option
<guimenuitem>Sendmail local</guimenuitem> fera en sorte que
<application>sendmail</application> soit le
<acronym>MTA</acronym> par défaut, mais
désactivera sa capacité &agrave; recevoir du
courrier électronique en provenance de l'Internet. Les
autres options, <guimenuitem>Postfix</guimenuitem> et
<guimenuitem>Exim</guimenuitem> agissent de façon
similaire &agrave; <guimenuitem>Sendmail</guimenuitem>. Dans
les deux cas le courrier électronique sera
également distribué; cependant, certains
utilisateurs, préfèrent ces alternatives au
<acronym>MTA</acronym>
<application>sendmail</application>.</para>
<para>Après la sélection d'un
<acronym>MTA</acronym>, ou avoir choisi de ne pas
sélectionner de MTA, le menu de configuration du
réseau apparaîtra avec l'option suivante qui est
<guimenuitem>NFS client</guimenuitem>.</para>
<para>L'option <guimenuitem>NFS client</guimenuitem> configurera
le système pour communiquer avec un serveur via
<acronym>NFS</acronym>. Un serveur <acronym>NFS</acronym>
rend disponible &agrave; d'autres serveurs des systèmes
de fichiers par l'intermédiaire du protocole
<acronym>NFS</acronym>. Si c'est une machine
indépendante, cette option peut rester
désactivée. Ce système peut demander
plus de configuration ultérieurement, consultez la
<xref linkend="network-nfs"/> pour plus d'informations sur la
configuration du client et du serveur.</para>
<para>Sous cette option se trouve l'option <guimenuitem>NFS
server</guimenuitem>, vous permettant de configurer le
système comme serveur <acronym>NFS</acronym>. Ceci
ajoute l'information nécessaire pour démarrer
les services d'appel de procédures distantes
(<acronym>RPC</acronym>). Les RPC sont utilisées pour
coordonner les connexions entre machines et programmes.</para>
<para>L'option suivante est <guimenuitem>Ntpdate</guimenuitem>,
qui traite de la synchronisation de l'horloge. Quand cette
option est sélectionnée, un menu semblable au
suivant apparaît:</para>
<figure id="Ntpdate-config">
<title>Configuration de ntpdate</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/ntp-config"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>A partir de ce menu, sélectionnez le serveur le
plus proche de chez vous. En choisir un proche rendra la
synchronisation plus précise qu'avec un serveur
éloigné qui pourra présenter plus de
délais dans la connexion.</para>
<para>L'option suivante est la sélection de
<acronym>PCNFSD</acronym>. Cette option installera le
paquetage <filename role="package">net/pcnfsd</filename>.
C'est un programme très utile qui fournit des services
d'authentification pour les systèmes qui sont dans
l'incapacité de fournir leur propre service
d'authentification, comme le système d'exploitation
&ms-dos; de Microsoft.</para>
<para>Maintenant vous devez faire défiler l'écran
vers le bas pour voir les autres option:</para>
<figure id="Network-configuration-cont">
<title>Configuration réseau suite</title>
<mediaobject>
<imageobject>
<imagedata fileref="install/net-config-menu2"/>
</imageobject>
</mediaobject>
</figure>
<para>Les utilitaires &man.rpcbind.8;, &man.rpc.statd.8;, et
&man.rpc.lockd.8; sont utilisés pour les appels de
procédures distantes (<acronym>RPC</acronym>).
L'utilitaire <command>rpcbind</command> gère la
communication entre serveurs et clients
<acronym>NFS</acronym>, et est nécessaire aux serveurs
<acronym>NFS</acronym> pour fonctionner correctement. Le
&ldquo;daemon&rdquo; <application>rpc.statd</application>
interagit avec le &ldquo;daemon&rdquo;
<application>rpc.statd</application> d'autres machines pour
fournir une possibilité de surveiller l'état des
communications. Le rapport est généralement
conservé dans le fichier
<filename>/var/db/statd.status</filename>. La dernière
option proposée ici est l'option
<guimenuitem>rpc.lockd</guimenuitem>, qui, quand elle est
sélectionnée, fournira des services de
verrouillage des fichiers. Cela est habituellement
utilisé avec <application>rpc.statd</application> pour
surveiller quelles machines demandent des verrous et la
fréquence de ces demandes. Alors que ces options sont
parfaites pour le déboguage, elles ne sont pas
nécessaires pour le bon fonctionnement des serveurs et
clients <acronym>NFS</acronym>.</para>
<para>En parcourant la liste, l'option suivante est
<guimenuitem>Routed</guimenuitem>, qui est le
&ldquo;daemon&rdquo; de routage. L'utilitaire &man.routed.8;
gère les tables de routage réseau, repère
les routeurs multicast, et fournit sur demande une copie des
tables de routage &agrave; toute machine connectée sur
le réseau. Ceci est principalement utilisé pour
les machines jouant le rôle de passerelle pour le
réseau local. Quand cette option est
sélectionnée, un menu apparaîtra demandant
l'emplacement par défaut de l'utilitaire. Cet
emplacement par défaut est déj&agrave;
défini pour vous, et peut être acquitté
avec la touche <keycap>Entrée</keycap>. Vous sera
alors présenté un nouveau menu, demandant cette
fois les paramètres &agrave; passer &agrave;
<application>routed</application>. Par défaut:
<option>-q</option> qui devrait apparaître sur
l'écran.</para>
<para>La ligne suivante est l'option
<guimenuitem>Rwhod</guimenuitem>, qui quand elle est
sélectionnée, lancera le &ldquo;daemon&rdquo;
&man.rwhod.8; &agrave; l'initialisation du système.
L'utilitaire <command>rwhod</command> diffuse les messages
système sur le réseau
régulièrement, ou les collecte quand il est dans
le mode &ldquo;consumer&rdquo;. Plus d'informations peuvent
être obtenues dans les pages de manuel &man.ruptime.1;
et &man.rwho.1;.</para>
<para>L'option suivante dans la liste est le
&ldquo;daemon&rdquo; &man.sshd.8;. C'est le serveur de
connexions sécurisées pour
<application>OpenSSH</application> et est hautement
recommandé &agrave; la place de
<application>telnet</application> et des serveurs
<acronym>FTP</acronym>. Le serveur
<application>sshd</application> est employé pour
créer une connexion sécurisée d'une
machine vers une autre en utilisant des connexions
cryptées.</para>
<para>Enfin, il y a l'option <guimenuitem>TCP
Extensions</guimenuitem>. Celle-ci active les extensions
<acronym>TCP</acronym> comme définies dans les
<acronym>RFC</acronym>&nbsp;1323 et
<acronym>RFC</acronym>&nbsp;1644. Alors que cela peut sur
certaines machines rendre les connexions plus rapides, cela
peut également être &agrave; l'origine de pertes
de connexion. Cette option n'est pas recommandée pour
les serveurs, mais peut être bénéfique
pour les machines individuelles.</para>
<para>Une fois que vous avez configuré les services
réseaux, vous pouvez remonter l'écran
jusqu'&agrave; la toute première option qui est
<guimenuitem>X Exit</guimenuitem> et poursuivre avec la section
de configuration suivante ou tout simplement quitter
<application>sysinstall</application> en sélectionnant
deux fois &agrave; suite <guimenuitem>X Exit</guimenuitem>
puis <guibutton>[X Exit Install]</guibutton>.</para>
</sect2>
<sect2 id="freebsdboot">
<title>Démarrage de FreeBSD</title>
<sect3 id="freebsdboot-i386">
<title>Démarrage de FreeBSD sur &os;/&arch.i386;</title>
<para>Si tout s'est bien passé, vous verrez des messages
défiler &agrave; l'écran et vous arriverez &agrave;
l'invite de session. Vous pouvez
visualiser ces messages en appuyant sur
<keycap>Arrêt-défil</keycap> et en utilisant les touches
<keycap>PgUp</keycap> et <keycap>PgDn</keycap>. En appuyant &agrave;
nouveau sur <keycap>Arrêt-défil</keycap> on retournera
&agrave; l'invite.</para>
<para>L'intégralité des messages peut de pas être
affichée (limitation du tampon) mais peut être
visualisée depuis la ligne
de commande après l'ouverture d'une session en tapant
<command>dmesg</command> &agrave; l'invite.</para>
<para>Attachez-vous au système en utilisant le nom d'utilisateur
et le mot de passe définis durant l'installation (<username>rpratt</username>, dans
cet exemple). Evitez d'ouvrir des sessions en tant que
<username>root</username> excepté quand cela est
nécessaire.</para>
<para>Messages de démarrage typiques (information sur la version omise):</para>
<screen>Copyright (c) 1992-2002 The FreeBSD Project.
Copyright (c) 1979, 1980, 1983, 1986, 1988, 1989, 1991, 1992, 1993, 1994
The Regents of the University of California. All rights reserved.
Timecounter "i8254" frequency 1193182 Hz
CPU: AMD-K6(tm) 3D processor (300.68-MHz 586-class CPU)
Origin = "AuthenticAMD" Id = 0x580 Stepping = 0
Features=0x8001bf&lt;FPU,VME,DE,PSE,TSC,MSR,MCE,CX8,MMX&gt;
AMD Features=0x80000800&lt;SYSCALL,3DNow!&gt;
real memory = 268435456 (262144K bytes)
config&gt; di sn0
config&gt; di lnc0
config&gt; di le0
config&gt; di ie0
config&gt; di fe0
config&gt; di cs0
config&gt; di bt0
config&gt; di aic0
config&gt; di aha0
config&gt; di adv0
config&gt; q
avail memory = 256311296 (250304K bytes)
Preloaded elf kernel "kernel" at 0xc0491000.
Preloaded userconfig_script "/boot/kernel.conf" at 0xc049109c.
md0: Malloc disk
Using $PIR table, 4 entries at 0xc00fde60
npx0: &lt;math processor&gt; on motherboard
npx0: INT 16 interface
pcib0: &lt;Host to PCI bridge&gt; on motherboard
pci0: &lt;PCI bus&gt; on pcib0
pcib1: &lt;VIA 82C598MVP (Apollo MVP3) PCI-PCI (AGP) bridge&gt; at device 1.0 on pci0
pci1: &lt;PCI bus&gt; on pcib1
pci1: &lt;Matrox MGA G200 AGP graphics accelerator&gt; at 0.0 irq 11
isab0: &lt;VIA 82C586 PCI-ISA bridge&gt; at device 7.0 on pci0
isa0: &lt;ISA bus&gt; on isab0
atapci0: &lt;VIA 82C586 ATA33 controller&gt; port 0xe000-0xe00f at device 7.1 on pci0
ata0: at 0x1f0 irq 14 on atapci0
ata1: at 0x170 irq 15 on atapci0
uhci0: &lt;VIA 83C572 USB controller&gt; port 0xe400-0xe41f irq 10 at device 7.2 on pci0
usb0: &lt;VIA 83C572 USB controller&gt; on uhci0
usb0: USB revision 1.0
uhub0: VIA UHCI root hub, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1
uhub0: 2 ports with 2 removable, self powered
chip1: &lt;VIA 82C586B ACPI interface&gt; at device 7.3 on pci0
ed0: &lt;NE2000 PCI Ethernet (RealTek 8029)&gt; port 0xe800-0xe81f irq 9 at
device 10.0 on pci0
ed0: address 52:54:05:de:73:1b, type NE2000 (16 bit)
isa0: too many dependant configs (8)
isa0: unexpected small tag 14
fdc0: &lt;NEC 72065B or clone&gt; at port 0x3f0-0x3f5,0x3f7 irq 6 drq 2 on isa0
fdc0: FIFO enabled, 8 bytes threshold
fd0: &lt;1440-KB 3.5" drive&gt; on fdc0 drive 0
atkbdc0: &lt;keyboard controller (i8042)&gt; at port 0x60-0x64 on isa0
atkbd0: &lt;AT Keyboard&gt; flags 0x1 irq 1 on atkbdc0
kbd0 at atkbd0
psm0: &lt;PS/2 Mouse&gt; irq 12 on atkbdc0
psm0: model Generic PS/2 mouse, device ID 0
vga0: &lt;Generic ISA VGA&gt; at port 0x3c0-0x3df iomem 0xa0000-0xbffff on isa0
sc0: &lt;System console&gt; at flags 0x1 on isa0
sc0: VGA &lt;16 virtual consoles, flags=0x300&gt;
sio0 at port 0x3f8-0x3ff irq 4 flags 0x10 on isa0
sio0: type 16550A
sio1 at port 0x2f8-0x2ff irq 3 on isa0
sio1: type 16550A
ppc0: &lt;Parallel port&gt; at port 0x378-0x37f irq 7 on isa0
ppc0: SMC-like chipset (ECP/EPP/PS2/NIBBLE) in COMPATIBLE mode
ppc0: FIFO with 16/16/15 bytes threshold
ppbus0: IEEE1284 device found /NIBBLE
Probing for PnP devices on ppbus0:
plip0: &lt;PLIP network interface&gt; on ppbus0
lpt0: &lt;Printer&gt; on ppbus0
lpt0: Interrupt-driven port
ppi0: &lt;Parallel I/O&gt; on ppbus0
ad0: 8063MB &lt;IBM-DHEA-38451&gt; [16383/16/63] at ata0-master using UDMA33
ad2: 8063MB &lt;IBM-DHEA-38451&gt; [16383/16/63] at ata1-master using UDMA33
acd0: CDROM &lt;DELTA OTC-H101/ST3 F/W by OIPD&gt; at ata0-slave using PIO4
Mounting root from ufs:/dev/ad0s1a
swapon: adding /dev/ad0s1b as swap device
Automatic boot in progress...
/dev/ad0s1a: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS
/dev/ad0s1a: clean, 48752 free (552 frags, 6025 blocks, 0.9% fragmentation)
/dev/ad0s1f: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS
/dev/ad0s1f: clean, 128997 free (21 frags, 16122 blocks, 0.0% fragmentation)
/dev/ad0s1g: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS
/dev/ad0s1g: clean, 3036299 free (43175 frags, 374073 blocks, 1.3% fragmentation)
/dev/ad0s1e: filesystem CLEAN; SKIPPING CHECKS
/dev/ad0s1e: clean, 128193 free (17 frags, 16022 blocks, 0.0% fragmentation)
Doing initial network setup: hostname.
ed0: flags=8843&lt;UP,BROADCAST,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST> mtu 1500
inet 192.168.0.1 netmask 0xffffff00 broadcast 192.168.0.255
inet6 fe80::5054::5ff::fede:731b%ed0 prefixlen 64 tentative scopeid 0x1
ether 52:54:05:de:73:1b
lo0: flags=8049&lt;UP,LOOPBACK,RUNNING,MULTICAST&gt; mtu 16384
inet6 fe80::1%lo0 prefixlen 64 scopeid 0x8
inet6 ::1 prefixlen 128
inet 127.0.0.1 netmask 0xff000000
Additional routing options: IP gateway=YES TCP keepalive=YES
routing daemons:.
additional daemons: syslogd.
Doing additional network setup:.
Starting final network daemons: creating ssh RSA host key
Generating public/private rsa1 key pair.
Your identification has been saved in /etc/ssh/ssh_host_key.
Your public key has been saved in /etc/ssh/ssh_host_key.pub.
The key fingerprint is:
cd:76:89:16:69:0e:d0:6e:f8:66:d0:07:26:3c:7e:2d root@k6-2.example.com
creating ssh DSA host key
Generating public/private dsa key pair.
Your identification has been saved in /etc/ssh/ssh_host_dsa_key.
Your public key has been saved in /etc/ssh/ssh_host_dsa_key.pub.
The key fingerprint is:
f9:a1:a9:47:c4:ad:f9:8d:52:b8:b8:ff:8c:ad:2d:e6 root@k6-2.example.com.
setting ELF ldconfig path: /usr/lib /usr/lib/compat /usr/X11R6/lib
/usr/local/lib
a.out ldconfig path: /usr/lib/aout /usr/lib/compat/aout /usr/X11R6/lib/aout
starting standard daemons: inetd cron sshd usbd sendmail.
Initial rc.i386 initialization:.
rc.i386 configuring syscons: blank_time screensaver moused.
Additional ABI support: linux.
Local package initilization:.
Additional TCP options:.
FreeBSD/i386 (k6-2.example.com) (ttyv0)
login: rpratt
Password:</screen>
<para>La génération des clés RSA et DSA peut
prendre du temps sur les machines lentes.
Cela ne se produit qu'au premier démarrage
d'une nouvelle installation. Les démarrages suivants seront
plus rapides.</para>
<para>Si le serveur X a été configuré et
l'environnement de travail par défaut choisi, il peut
être lancé en tapant
<command>startx</command> sur la ligne de commande.</para>
</sect3>
<sect3>
<title>Démarrage de FreeBSD sur &os;/&arch.alpha;</title>
<indexterm><primary>Alpha</primary></indexterm>
<para>Une fois la procédure d'installation terminée,
vous serez en mesure de démarrer FreeBSD en tapant quelque
chose comme ceci &agrave; l'invite SRM:</para>
<screen>&gt;&gt;&gt;<userinput>BOOT DKC0</userinput></screen>
<para>Cela demande au firmware de démarrer sur le disque
indiqué. Pour faire démarrer FreeBSD automatiquement
dans le futur, utilisez ces commandes:</para>
<screen><prompt>&gt;&gt;&gt;</prompt> <userinput>SET BOOT_OSFLAGS A</userinput>
<prompt>&gt;&gt;&gt;</prompt> <userinput>SET BOOT_FILE ''</userinput>
<prompt>&gt;&gt;&gt;</prompt> <userinput>SET BOOTDEF_DEV DKC0</userinput>
<prompt>&gt;&gt;&gt;</prompt> <userinput>SET AUTO_ACTION BOOT</userinput></screen>
<para>Les messages de démarrage seront semblables (mais pas
identiques) &agrave; ceux produits par le démarrage de FreeBSD
sur &i386;.</para>
</sect3>
</sect2>
<sect2 id="shutdown">
<title>Arrêt de FreeBSD</title>
<para>Il est important d'arrêter proprement le système
d'exploitation. N'appuyez pas directement sur votre bouton de
marche-arrêt. Tout d'abord, devenez super-utilisateur en tapant
<command>su</command> sur la ligne de commande et en entrant le
mot de passe de <username>root</username>. Cela ne fonctionnera
que si l'utilisateur est membre du groupe
<groupname>wheel</groupname>. Sinon, ouvrez une session en tant
que <username>root</username> et utilisez <command>shutdown -h
now</command>.</para>
<screen>The operating system has halted.
Please press any key to reboot.</screen>
<para>On peut arrêter la machine sans risques après la que
commande d'arrêt ait été effectuée et que le
message &ldquo;Please press any key to reboot&rdquo; (Veuillez appuyez
sur une touche pour redémarrer) apparaît. Si une touche
est enfoncée plutôt que d'arrêter l'ordinateur, le
système redémarrera.</para>
<para>Vous pouvez également utiliser la combinaison de touches
<keycombo action='simul'><keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap>
<keycap>Suppr</keycap></keycombo>, cependant cela n'est pas
recommandé pour une utilisation normale.</para>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="install-trouble">
<title>Dépannage</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>dépannage</secondary>
</indexterm>
<para>La section suivante couvre le dépannage de base de
l'installation, les problèmes courants qui ont été
rapportés. Il y a aussi un ensemble de questions-réponses
pour les personnes désirant
un double démarrage FreeBSD et &ms-dos; ou &windows;.</para>
<sect2>
<title>Que faire si quelque chose se passe mal</title>
<para>En raison des nombreuses limitations de l'architecture PC,
il est impossible que la détection du matériel soit
&agrave; 100% fiable, cependant, il y a quelques petites choses que
vous pouvez faire si cela échoue.</para>
<para>Vérifiez la <ulink url="http://www.FreeBSD.org/releases/index.html">liste du matériel supporté</ulink> pour
votre version de FreeBSD pour être sûr que votre
matériel est bien supporté.</para>
<para>Si votre matériel est supporté et que vous
expérimentez
toujours des blocages ou autres problèmes, vous devrez
compiler un <link linkend="kernelconfig">noyau
personnalisé</link>. Cela permettra d'ajouter le
support pour les périphériques qui ne sont pas
présent dans le noyau <filename>GENERIC</filename>. Le
noyau présent sur les disques de démarrage est
configuré de telle façon qu'il supposera que la
plupart des périphériques seront dans leur
configuration d'usine en termes d'IRQs, d'adresses d'E/S, et
canaux de DMA. Si votre matériel a été
reconfiguré vous devrez très probablement
éditer le fichier de configuration du noyau et de le
recompiler pour indiquer &agrave; &os;
trouver les choses.</para>
<para>Il est également possible que la détection d'un
périphérique absent provoque plus tard l'échec
de la détection d'un périphérique présent.
Dans ce cas, les pilotes de périphériques
conflictuels devraient être désactivés.</para>
<note>
<para>Quelques problèmes d'installation peuvent être
évités ou allégés en mettant &agrave;
jour le firmware de divers composants matériels, en
particulier la carte mère. Le firmware de la
carte mère peut également être
désigné par le terme
<acronym>BIOS</acronym> et la plupart des constructeurs de
cartes mères ou d'ordinateur ont un site web où peuvent
être trouvées les mises &agrave; jour et les
informations de mises &agrave; jour.</para>
<para>La plupart des fabricants déconseillent fortement de
mettre &agrave; jour le <acronym>BIOS</acronym> de la carte
mère &agrave; moins d'avoir une bonne raison de le faire,
ce qui pourrait probablement être une mise &agrave; jour
critique si l'on peut dire.
Le processus de mise &agrave; jour <emphasis>peut</emphasis> mal se
passer, causant des dommages permanents au circuit contenant
le <acronym>BIOS</acronym>.</para>
</note>
</sect2>
<sect2>
<title>Traiter les partitions &ms-dos; existantes</title>
<indexterm><primary>DOS</primary></indexterm>
<para>De nombreux utilisateurs veulent installer FreeBSD sur des
<acronym>PC</acronym>s qui fonctionnent sous un système d'exploitation de &microsoft;.
Dans ce cas, &os; dispose d'un utilitaire connu sous le nom de
<application>FIPS</application>. Cette utilitaire peut
être trouvé dans le répertoire
<filename>tools</filename> du CD-ROM d'installation, ou
téléchargé &agrave; partir des différents
<link linkend="mirrors">miroirs &os;</link>.</para>
<para>L'utilitaire <application>FIPS</application> vous permet de
scinder en deux une partition &ms-dos; existante, tout en
préservant le contenu de la partition originale et vous
permettant d'installer FreeBSD sur la partition ainsi
créée.
Vous devez défragmenter tout d'abord votre partition
&ms-dos; en utilisant l'utilitaire &windows;
<application>Défragmenteur de disque</application> (allez
dans l'Explorateur, clic-droit sur le disque dur, et choisissez
de défragmenter votre disque dur) ou les
<application>Norton Disk Tools</application>. Vous pouvez
ensuite lancer le programme
<application>FIPS</application>. Il vous demandera le
reste des informations dont il a besoin, suivez juste les
instructions &agrave; l'écran. Ensuite, vous
pouvez redémarrer et installer FreeBSD sur la tranche
libre. Voyez le menu <guimenuitem>Distributions</guimenuitem>
pour avoir une estimation de l'espace libre dont vous
aurez besoin pour le type d'installation que vous
désirez.</para>
<para>Il existe également un produit
très utile de chez <ulink
url="http://www.powerquest.com/">PowerQuest</ulink> appelé
<application>&partitionmagic;</application>. Cette
application a bien plus de fonctionnalités que
<application>FIPS</application>, et est fortement
recommandée si vous projetez d'ajouter/retirer
régulièrement des systèmes d'exploitation.
Cependant ce programme n'est pas gratuit, et si vous projetez
d'installer FreeBSD et ensuite le laisser
installé, <application>FIPS</application> sera
probablement parfait pour vous.</para>
</sect2>
<sect2>
<title>Utilisation des systèmes de fichiers &ms-dos; et &windows;</title>
<para>Pour le moment, &os;, ne supporte pas les systèmes
de fichiers compressés avec l'application
<application>Double Space&trade;</application>. Par
conséquent, le système de fichiers doit
être décompressé avant que &os; ne puisse
accéder aux données. Cela peut être
fait en lançant l'<application>Agent de
compression</application> situé dans le menu
<guimenuitem>Démarrer</guimenuitem>&gt;
<guimenuitem>Programmes</guimenuitem> &gt;
<guimenuitem>Outils Système</guimenuitem>.</para>
<para>&os; supporte les systèmes de fichiers &ms-dos;
(parfois appelés systèmes de fichiers FAT). La
commande &man.mount.msdosfs.8; greffe ce type de
système de fichiers sur l'arborescence
déj&agrave; existante permettant ainsi l'accès
au contenu du système de fichiers. La commande
&man.mount.msdosfs.8; n'est, en général, pas
invoquée directement; au lieu de cela, elle est
appelée par le système via une ligne du fichier
<filename>/etc/fstab</filename> pour par un appel &agrave;
l'utilitaire &man.mount.8; avec les paramètres
adéquates.</para>
<para>Une entrée typique de
<filename>/etc/fstab</filename> sera:</para>
<programlisting>/dev/ad0sN /dos msdosfs rw 0 0</programlisting>
<note>
<para>Pour que cela fonctionne, il faut que le
répertoire <filename
class="directory">/dos</filename> existe déj&agrave;.
Pour plus de détails au sujet du format de
<filename>/etc/fstab</filename>, consultez la page de manuel
&man.fstab.5;.</para>
</note>
<para>Un appel &agrave; &man.mount.8; pour un système de
fichiers &ms-dos; ressemblera &agrave;:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>mount -t msdosfs /dev/ad0s1 /mnt</userinput></screen>
<para>Dans cet exemple, le système de fichiers &ms-dos;
est situé sur la première partition du premier
disque dur. Votre situation peut être
différente, contrôlez les sorties des commandes
<command>dmesg</command> et <command>mount</command>.
Elles doivent fournir suffisamment d'information pour donner
une idée de l'organisation des partitions.</para>
<note>
<para>&os; peut numéroter les tranches (par exemple les
partitions &ms-dos;) différemment des autres
systèmes d'exploitation. En particulier, les
partitions &ms-dos; étendues sont
généralement affectées d'un
numéro de tranche supérieur &agrave; celui des
partitions primaires &ms-dos;. L'utilitaire &man.fdisk.8;
peut aider &agrave; déterminer les tranches qui
appartiennent &agrave; &os; et celles appartenant &agrave;
d'autres systèmes d'exploitation.</para>
</note>
<para>Les partitions NTFS peuvent également être
montées d'une manière similaire en employant
la commande &man.mount.ntfs.8;.</para>
</sect2>
<sect2>
<title>Questions et réponses de dépannage</title>
<qandaset>
<qandaentry>
<question>
<para>Mon système se bloque au niveau de la
détection du matériel lors du
démarrage, ou se comporte de manière
étrange lors de l'installation, ou le lecteur de
disquette n'est pas détecté.</para>
</question>
<answer>
<para>&os; utilise de manière
intensive le système ACPI sur les plateformes
i386, amd64 et ia64 s'il est détecté au
démarrage pour aider &agrave; la détection
du matériel. Malheureusement, des bogues
persistent dans le pilote ACPI, et sur les cartes
mères et leur BIOS. L'utilisation de l'ACPI peut
être désactivé en fixant le
paramètre <literal>hint.acpi.0.disabled</literal>
pour le chargeur:</para>
<screen><userinput>set hint.acpi.0.disabled="1"</userinput></screen>
<para>Ce paramètre est réinitialisé
&agrave; chaque démarrage du système, il
est donc nécessaire d'ajouter
<literal>hint.acpi.0.disabled="1"</literal> au fichier
<filename>/boot/loader.conf</filename>. Plus
d'information au sujet du chargeur peut être
trouvée dans la <xref
linkend="boot-synopsis"/>.</para>
</answer>
</qandaentry>
<qandaentry>
<question>
<para>Je tente de démarrer &agrave; partir du
disque dur pour la première fois après
l'installation de &os;, le noyau est chargé et
détecte mon matériel, mais s'arrête
avec un message du type:</para>
<screen>changing root device to ad1s1a panic: cannot mount root</screen>
<para>Qu'est-ce qui ne va pas? Que puis-je faire?</para>
<para>Que représente la ligne
<literal>bios_drive:interface(unit,partition)kernel_name</literal>
qui est affichée comme message d'aide?</para>
</question>
<answer>
<para>Il existe un problème de longue date dans le
cas où le disque de démarrage n'est pas le
premier disque du système. Le BIOS utilise un
modèle de numérotation des disques
différent de celui de &os;, et déterminer
quel numéro correspond avec quoi est relativement
compliqué.</para>
<para>Si le disque de démarrage n'est pas le
premier disque du système, &os; peut avoir besoin
d'aide pour le trouver. Nous sommes en
général en face de deux situations et dans
ces deux cas vous devez indiquer &agrave; &os;
se trouve le système de fichiers racine. Cela se
fait en précisant le numéro du disque
BIOS, le type de disque et le numéro &os; de
disque pour ce type de disque.</para>
<para>La première situation correspond au cas
où vous disposez de deux disques IDE,
configurés chacun en maître sur leur bus
IDE respectif, et que vous désirez
démarrer &os; &agrave; partir du second disque.
Le BIOS voit ces disques en tant que disque 0 et disque
1, tandis que &os; en tant que
<devicename>ad0</devicename> et
<devicename>ad1</devicename>.</para>
<para>&os; se trouve sur le disque BIOS numéro 1
qui est de type <literal>ad</literal> alors que le
numéro de disque pour &os; sera le 2, aussi vous
utiliserez la syntaxe:</para>
<screen><userinput>1:ad(2,a)kernel</userinput></screen>
<para>Notez que si vous avez un esclave sur le bus
primaire, ce qui précède n'est pas
nécessaire (et est en fait erroné).</para>
<para>Le deuxième cas concerne le démarrage
&agrave; partir d'un disque SCSI quand on dispose d'un
ou plusieurs disques IDE dans le système. Dans
ce cas, le numéro de disque &os; est
inférieur au numéro de disque BIOS. Si
vous avez deux disques IDE en plus du disque SCSI, le
disque SCSI sera le disque BIOS numéro 2, de type
<literal>da</literal> et sera vu en tant que disque 0
par &os;, aussi vous utiliserez la syntaxe:</para>
<screen><userinput>2:da(0,a)kernel</userinput></screen>
<para>pour indiquer &agrave; &os; que vous voulez
démarrer &agrave; partir du disque BIOS
numéro 2, qui est le premier disque SCSI du
système. Si vous n'avez qu'un seul disque IDE,
vous utiliseriez &agrave; la place
<literal>1:</literal>.</para>
<para>Une fois que vous avez déterminé les
valeurs correctes &agrave; employer, vous pouvez ajouter
dans le fichier <filename>/boot.config</filename>
&agrave; l'aide d'un éditeur de textes la
commande que vous auriez tapé. A moins d'une
instruction contraire, &os; utilisera le contenu de ce
fichier comme réponses par défaut &agrave;
l'invite <literal>boot:</literal>.</para>
</answer>
</qandaentry>
<qandaentry>
<question>
<para>J'essaye de démarrer &agrave; partir du
disque dur pour la première fois après
l'installation de &os;, mais l'invite du gestionnaire de
démarrage n'affiche que <literal>F?</literal> et
la procédure de démarrage ne va pas plus
loin.</para>
</question>
<answer>
<para>La géométrie du disque dur n'a pas
été correctement configurée dans
l'éditeur de partitions quand vous avez
installé &os;. Retournez dans l'éditeur
de partitions et indiquez la géométrie
réelle de votre disque dur. Vous devez
réinstaller complètement &os; avec la
bonne géométrie.</para>
<para>Si vous ne parvenez pas &agrave; déterminer
la géométrie de votre disque, voici une
astuce: créez une petite partition DOS au
début du disque et installez ensuite &os;. Le
programme d'installation verra la partition DOS et
tentera d'en déduire la géométrie
correcte, ce qui fonctionne
généralement.</para>
<para>L'astuce suivante n'est plus conseillée, mais
est conservée comme
référence:</para>
<blockquote>
<para>Si vous montez un serveur ou une station de
travail complètement dédiés
&agrave; &os; pour lesquels vous n'avez que faire
(dans le futur) d'une compatibilité avec DOS,
&linux;, ou tout autre système d'exploitation,
vous avez également l'option d'utiliser
l'intégralité du disque
(<guimenuitem>A</guimenuitem> dans l'éditeur de
partition), en sélectionnant l'option
non-standard pour laquelle &os; occupe
entièrement le disque du premier jusqu'au
dernier secteur. Cela laissera de côté
toutes les considérations au sujet de la
géométrie du disque, mais c'est quelque
peu limitatif &agrave; moins que vous n'ayez pas
l'intention d'utiliser autre chose que &os; sur ce
disque.</para>
</blockquote>
</answer>
</qandaentry>
<qandaentry>
<question>
<para>Le système trouve ma carte réseau
&man.ed.4;, mais je continue &agrave; avoir des erreurs
de dépassement des délais
d'attente.</para>
</question>
<answer>
<para>Votre carte utilise probablement une IRQ
différente de celle spécifiée dans
le fichier <filename>/boot/device.hints</filename>. Le
pilote &man.ed.4; n'utilise pas la configuration
<quote>soft</quote> par défaut (les valeurs
entrées &agrave; l'aide de EZSETUP sous DOS),
mais utilisera la configuration logicielle si vous
précisez la valeur <literal>-1</literal> pour les
paramètres de l'interface en question.</para>
<para>Positionnez le cavalier sur la carte pour une
configuration <quote>hard</quote> (en modifiant les
paramètres du noyau si nécessaire), ou
spécifiez l'IRQ en tant que <literal>-1</literal>
en fixant le paramètre
<literal>hint.ed.0.irq="-1"</literal>. Cela demandera
au noyau d'utiliser la configuration logicielle.</para>
<para>Une autre possibilité est que votre carte
utilise l'IRQ 9, qui est partagée avec l'IRQ 2 et
est une cause fréquente de problèmes (tout
particulièrement dans le cas où vous avez
une carte VGA utilisant l'IRQ 2!). Vous ne devriez pas
utiliser les IRQs 2 et 9 autant que possible.</para>
</answer>
</qandaentry>
<qandaentry>
<question>
<indexterm>
<primary>couleur</primary>
<secondary>contraste</secondary>
</indexterm>
<para>Quand <application>sysinstall</application> est
utilisé dans un terminal X11, la police de
caractères jaune sur fond gris-clair peut
être difficile &agrave; lire. Existe-t-il un
moyen d'obtenir un contraste plus élevé
pour cette application?</para>
</question>
<answer>
<para>Si vous avez déj&agrave; installé X11
et que les couleurs par défaut choisies par
<application>sysinstall</application> rendent le texte
illisible lors de l'utilisation de &man.xterm.1; ou
&man.rxvt.1;, ajouter la ligne suivante &agrave; votre
fichier <filename>~/.Xdefaults</filename> pour obtenir
un fond gris plus foncé: <literal>XTerm*color7:
#c0c0c0</literal></para>
</answer>
</qandaentry>
</qandaset>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="install-advanced">
<sect1info>
<authorgroup>
<author>
<firstname>Valentino</firstname>
<surname>Vaschetto</surname>
<contrib>Contribution de </contrib>
</author>
<!-- May 2001 -->
</authorgroup>
</sect1info>
<title>Guide avancé d'installation</title>
<para>Cette section décrit comment installer FreeBSD dans des cas
exceptionnels.</para>
<sect2 id="headless-install">
<title>Installer FreeBSD sur un système sans moniteur ou sans
clavier</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>headless (console série)</secondary>
</indexterm>
<indexterm><primary>console série</primary></indexterm>
<para>Ce type d'installation est appelé &ldquo;headless
install&rdquo; (installation sans écran), parce que la machine
sur laquelle vous êtes en train d'installer FreeBSD soit n'a pas
de moniteur, soit n'a même pas de sortie VGA. Comment est-ce
possible, allez-vous demander? En utilisant une console série.
Une console série est en quelques mots l'utilisation d'une autre
machine comme écran et clavier pour un autre système.
Pour cela, suivez juste les étapes de création des
disquettes d'installation, expliquées dans <xref
linkend="install-floppies"/>.</para>
<para>Pour modifier ces disquettes afin de démarrer
&agrave; travers une console série, suivez les
étapes suivantes:</para>
<procedure>
<step>
<title>Configurer les disquettes de démarrage pour
démarrer &agrave; travers la console
série</title>
<indexterm>
<primary><command>mount</command></primary>
</indexterm>
<para>Si vous deviez démarrer avec les disquettes que vous
venez de faire, FreeBSD démarrerait dans son mode
d'installation normal. Nous voulons que FreeBSD démarre
sur la console série pour notre installation. Pour faire
cela, vous devez monter la disquette
<filename>boot.flp</filename> sur votre système FreeBSD en
utilisant la commande &man.mount.8;.</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>mount /dev/fd0 /mnt</userinput></screen>
<para>Maintenant que vous avez la disquette montée, vous
devez vous rendre dans le répertoire <filename class="directory">/mnt</filename>:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>cd /mnt</userinput></screen>
<para>C'est &agrave; cet endroit que vous devez configurer la
disquette pour démarrer sur la console série.
Vous devez créer un fichier appelé
<filename>boot.config</filename>
contenant la ligne <literal>/boot/loader -h</literal>.
Tout ceci provoque le passage d'une option au chargeur
pour démarrer sur la console série.</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>echo "/boot/loader -h" &gt; boot.config</userinput></screen>
<para>Maintenant que vous avez votre disquette correctement
configurée, vous devez démonter la disquette en
utilisant la commande &man.umount.8;:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>cd /</userinput>
&prompt.root; <userinput>umount /mnt</userinput></screen>
<para>Maintenant vous pouvez retirer la disquette de son
lecteur.</para>
</step>
<step>
<title>Connecter votre câble null-modem</title>
<indexterm><primary>câble null-modem</primary></indexterm>
<para>Vous devez maintenant connecter un <link linkend="term-cables-null">câble null-modem</link>
entre les deux machines. Connectez juste le câble sur le
port série des deux machines. <emphasis>Un câble
série normal ne conviendra pas ici</emphasis>, vous avez
besoin d'un câble null-modem parce certains fils sont
croisés &agrave; l'intérieur.</para>
</step>
<step>
<title>Démarrer l'installation</title>
<para>Il est maintenant temps de lancer l'installation.
Mettez la disquette <filename>boot.flp</filename> dans le
lecteur de la machine que vous allez installer sans
moniteur et clavier, et allumez la machine.</para>
</step>
<step>
<title>Connexion &agrave; la machine sans moniteur ni
clavier</title>
<indexterm>
<primary><command>cu</command></primary>
</indexterm>
<para>Maintenant vous devez vous connecter &agrave; cette machine
&agrave; l'aide de &man.cu.1;:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>cu -l /dev/cuad0</userinput></screen>
</step>
</procedure>
<para>Voil&agrave;! Vous devriez maintenant pouvoir contrôler la machine sans
moniteur et sans clavier &agrave; travers votre session
<command>cu</command>. On vous demandera d'insérer la disquette
<filename>kern1.flp</filename>, et ensuite on vous proposera
de choisir le type de terminal &agrave; utiliser.
Sélectionnez la
console couleur FreeBSD et effectuez votre installation!</para>
</sect2>
</sect1>
<sect1 id="install-diff-media">
<title>Préparer votre propre support d'installation</title>
<note>
<para>Pour éviter les répétitions, &ldquo;disque
FreeBSD&rdquo;
dans ce contexte signifie un CDROM ou DVD FreeBSD que vous avez
acheté, ou produit vous-même.</para>
</note>
<para>Il peut y avoir quelques situations dans lesquelles vous devez
créer votre propre support et/ou source d'installation de FreeBSD.
Cela pourrait être un support physique, comme une bande, ou une
source que <application>sysinstall</application> pourrait employer
pour récupérer les fichiers, comme un site FTP local, ou une
partition &ms-dos;.</para>
<para>Par exemple:</para>
<itemizedlist>
<listitem>
<para>Vous avez beaucoup de machines connectées sur votre
réseau
local, et un seul disque FreeBSD. Vous voulez créer un site
FTP local utilisant le contenu du disque FreeBSD, et ensuite
faire utiliser ce site FTP local par vos machines plutôt que
de se connecter &agrave; l'Internet.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Vous avez un disque FreeBSD, et FreeBSD ne reconnaît pas
votre lecteur de CD/DVD, mais &ms-dos;/&windows; oui. Vous voulez
copier les fichiers d'installation de FreeBSD sur une
partition DOS sur le même ordinateur, et ensuite installer
FreeBSD en utilisant ces fichiers.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>L'ordinateur sur lequel vous voulez installer n'a pas de
lecteur de CD/DVD, ou de carte réseau, mais vous pouvez
connecter un câble série ou parallèle de
&ldquo;type
Laplink&rdquo; sur un ordinateur qui lui dispose d'un lecteur
de CD/DVD ou d'une carte réseau.</para>
</listitem>
<listitem>
<para>Vous voulez créer une bande qui peut être
utilisée pour installer FreeBSD.</para>
</listitem>
</itemizedlist>
<sect2 id="install-cdrom">
<title>Créer un CDROM d'installation</title>
<para>Comme élément de chaque nouvelle version, le
projet FreeBSD met &agrave; disposition au moins deux images de CDROM
(&ldquo;images ISO&rdquo;) par architecture supportée. Ces images peuvent être inscrites
(&ldquo;gravées&rdquo;) sur CDs si vous disposez d'un
graveur de CD, et puis être utilisées pour installer
FreeBSD. Si vous avez un graveur de CD, et comme la bande
passante est bon marché, alors c'est la méthode
la plus simple pour installer FreeBSD.</para>
<procedure>
<step>
<title>Télécharger les bonnes images ISO</title>
<para>Les images ISO de chaque version peuvent être
téléchargées &agrave; partir de
<filename>ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/ISO-IMAGES-<replaceable>arch</replaceable>/<replaceable>version</replaceable></filename>
ou du miroir le plus proche. Remplacez
<replaceable>arch</replaceable> et
<replaceable>version</replaceable> par les valeurs
appropriées.</para>
<para>Ce répertoire contiendra normalement les images
suivantes:</para>
<table frame="none">
<title>Noms des images ISO &os;
6.<replaceable>X</replaceable> et
7.<replaceable>X</replaceable> et leurs
significations</title>
<tgroup cols="2">
<thead>
<row>
<entry>Nom du fichier</entry>
<entry>Contenu</entry>
</row>
</thead>
<tbody>
<row>
<entry><filename><replaceable>version</replaceable>-RELEASE-<replaceable>arch</replaceable>-bootonly.iso</filename></entry>
<entry>Tout ce dont vous avez besoin pour
démarrer un noyau &os; et lancer
l'interface d'installation. Les fichiers
d'installation doivent être
récupérés par FTP ou &agrave;
partir d'une autre source
supportée.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename><replaceable>version</replaceable>-RELEASE-<replaceable>arch</replaceable>-disc1.iso</filename></entry>
<entry>Tout ce dont vous avez besoin pour installer
&os; et incorpore un système de fichiers
<quote>live</quote>, qui est utilisé avec
la fonction de <quote>Repair</quote> de
<application>sysinstall</application>.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename><replaceable>version</replaceable>-RELEASE-<replaceable>arch</replaceable>-disc2.iso</filename></entry>
<entry>Autant de logiciels
tiers pré-compilés que l'espace sur
le disque le permet.</entry>
</row>
<row>
<entry><filename><replaceable>version</replaceable>-RELEASE-<replaceable>arch</replaceable>-docs.iso</filename></entry>
<entry>La documentation &os;.</entry>
</row>
</tbody>
</tgroup>
</table>
<para>Vous <emphasis>devez</emphasis> télécharger soit
l'image ISO bootonly (si elle existe), soit l'image du disque numéro un. Ne
télécharger pas les deux, étant donné
que le disque numéro un contient tout le contenu de
l'image ISO bootonly.</para>
<para>Utilisez l'ISO bootonly si votre accès Internet est bon
marché. Elle vous laissera installer FreeBSD, et vous
pourrez ensuite installer des logiciels tiers en les
téléchargeant en employant le système de
logiciels pré-compilés/logiciels portés
(voir le <xref linkend="ports"/>) si nécessaire.</para>
<para>Utilisez l'image du disque numéro un si vous
voulez installer &os; avec
également une bonne sélection de logiciels
tiers.</para>
<para>Les images des autres disques sont utiles, mais pas
indispensables, tout particulièrement si vous disposez
d'un accès Internet &agrave; haut débit.</para>
</step>
<step>
<title>Graver les CDs</title>
<para>Vous devez ensuite graver les images de CD. Si vous
faites cela &agrave; partir d'un autre système FreeBSD
consultez alors la <xref linkend="creating-cds"/> pour plus
d'informations (en particulier les <xref linkend="burncd"/>
et <xref linkend="cdrecord"/>).</para>
<para>Si vous le faites &agrave; partir d'une autre plate-forme alors
vous devrez utiliser les utilitaires existants pour
commander votre graveur de CD sur cette plate-forme. Les
images fournies le sont dans le standard ISO qui est
supporté par de nombreuses applications de gravure
de CD.</para>
</step>
</procedure>
<note>
<para>Si vous vous intéressez &agrave; la
réalisation d'une version sur mesure de FreeBSD,
veuillez consulter l'<ulink
url="&url.articles.releng;">article sur la création des
versions</ulink>.</para>
</note>
</sect2>
<sect2 id="install-ftp">
<title>Création d'un site FTP local avec le disque FreeBSD</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>réseau</secondary>
<tertiary>FTP</tertiary>
</indexterm>
<para>Les disques FreeBSD sont présentés comme le site FTP.
Cela rend très facile la création d'un site FTP local qui
peut être utilisé par d'autres machines de votre
réseau lors de l'installation de FreeBSD.</para>
<procedure>
<step>
<para>Sur l'ordinateur FreeBSD qui hébergera le site FTP,
soyez sûr que le CDROM est dans la lecteur, et monté en
<filename>/cdrom</filename>.</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>mount /cdrom</userinput></screen>
</step>
<step>
<para>Créez un compte pour le FTP anonyme dans
<filename>/etc/passwd</filename>. Faites cela en éditant
<filename>/etc/passwd</filename> avec &man.vipw.8; et en
ajoutant cette ligne:</para>
<programlisting>ftp:*:99:99::0:0:FTP:/cdrom:/nonexistent</programlisting>
</step>
<step>
<para>Vérifiez que le service FTP est activé dans
<filename>/etc/inetd.conf</filename>.</para>
</step>
</procedure>
<para>N'importe qui avec un accès réseau &agrave; votre
machine peut désormais choisir un support de type FTP et taper
<userinput>ftp://<replaceable>votre machine</replaceable></userinput>
après avoir sélectionné
&ldquo;Other&rdquo; dans le menu des sites FTP durant
l'installation.</para>
<note>
<para>Si la version du support de démarrage (des
disquettes en général) pour vos clients FTP
n'est pas exactement la même que celle du site FTP
local, alors <application>sysinstall</application> ne vous
laissera pas achever l'installation. Si les versions ne sont
pas identiques mais que vous désirez forcer
l'installation, vous devez vous rendre dans le menu
<guimenu>Options</guimenu> et changer le nom de la
distribution pour <guimenuitem>any</guimenuitem>.</para>
</note>
<warning>
<para>Cette approche est correcte pour une machine qui est sur votre
réseau local, et qui est protégée par votre
coupe-feu. Offrir un accès FTP &agrave; d'autres machines sur
Internet (et non sur votre réseau local) expose votre
ordinateur &agrave; l'attention de crackers et autres
indésirables. Nous recommandons fortement de suivre de bonnes
pratiques de sécurité si vous
faites cela.</para>
</warning>
</sect2>
<sect2>
<title>Création de disquettes d'installation</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>disquettes</secondary>
</indexterm>
<para>Si vous devez installer &agrave; partir de disquettes (ce que nous
suggérons de ne <emphasis>pas</emphasis> faire), soit en raison
d'un matériel non supporté, soit que vous aimez vous
compliquer la vie, vous devez d'abord préparer des disquettes
pour l'installation.</para>
<para>Il vous faudra au minimum autant de disquettes 1.44&nbsp;Mo
que nécessaire pour y mettre tous les fichiers du
répertoire <filename>base</filename> (distribution de base).
Si vous préparez ces disquettes sous DOS, alors elles
<emphasis>doivent</emphasis> être formatées en utilisant
la commande &ms-dos; <command>FORMAT</command>. Si vous utilisez
&windows;, utilisez l'Explorateur pour formater les disquettes
(clic-droit sur le lecteur <devicename>A:</devicename> , et
sélectionnez &ldquo;Formater&rdquo;).</para>
<para>Ne faites <emphasis>pas</emphasis> confiance aux
disquettes préformatées en usine. Reformatez-les
vous-même, de façon &agrave; être sûr.
Nos utilisateurs nous ont, dans le passé, signalé de
nombreux problèmes dus &agrave; des disquettes
incorrectement formatées, ce qui explique pourquoi nous
insistons autant maintenant.</para>
<para>Si vous créez les disquettes sur une autre machine
FreeBSD, ce n'est toujours pas une mauvaise idée de les
formatter, bien que vous n'ayez pas besoin de mettre un
système de fichiers &ms-dos; sur chaque disquette. Vous pouvez
utiliser les commandes <command>bsdlabel</command> et
<command>newfs</command> pour y mettre un système de fichier
UFS &agrave; la place, comme le montre la séquence de commandes
suivantes (pour une disquette 3.5" de 1.44&nbsp;Mo):</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>fdformat -f 1440 fd0.1440</userinput>
&prompt.root; <userinput>bsdlabel -w fd0.1440 floppy3</userinput>
&prompt.root; <userinput>newfs -t 2 -u 18 -l 1 -i 65536 /dev/fd0</userinput></screen>
<para>Vous pouvez alors les monter et y écrire comme sur
n'importe quel autre système de fichiers.</para>
<para>Après avoir formatter les disquettes, vous devrez y copier
les fichiers. Les fichiers de la distribution sont scindés en
morceaux de taille telle que cinq d'entre eux tiendront sur une
disquette 1.44&nbsp;Mo ordinaire. Préparez les disquettes les unes
après les autres, en y mettant sur chacune autant de fichiers
que vous pouvez, jusqu'&agrave; ce que vous ayez recopié
toutes les
distributions que vous voulez installer. Chaque distribution
doit avoir son propre sous-répertoire sur la disquette, e.g.:
<filename>a:\base\base.aa</filename>,
<filename>a:\base\base.ab</filename>, et ainsi de suite.</para>
<important>
<para>Le fichier <filename>base.inf</filename> doit
également être présent sur la
première disquette de l'ensemble
<filename>base</filename> puisqu'il est lu par le
programme d'installation pour déterminer le nombre
de fichiers &agrave; rechercher lors de la
récupération et l'assemblage de la
distribution.</para>
</important>
<para>Une fois que vous êtes &agrave; l'écran de
sélection du support
d'installation, sélectionnez <guimenuitem>Floppy</guimenuitem> (disquette)
et vous aurez ensuite des indications sur la marche &agrave;
suivre.</para>
</sect2>
<sect2 id="install-msdos">
<title>Installation depuis une partition &ms-dos;</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>depuis MS-DOS</secondary>
</indexterm>
<para>Pour préparer l'installation depuis une partition &ms-dos;,
copiez les fichiers de la distribution dans un répertoire
appelé <filename>freebsd</filename> dans le répertoire
racine de cette partition. Par exemple,
<filename>c:\freebsd</filename>. L'arborescence des
répertoires du CDROM ou du site FTP doit être
partiellement reproduite dans ce répertoire, aussi nous
suggérons
l'utilisation de la commande DOS <command>xcopy</command> si
vous copiez &agrave; partir d'un CDROM. Par exemple, pour
préparer une installation minimale de FreeBSD:</para>
<screen><prompt>C:\&gt;</prompt> <userinput>md c:\freebsd</userinput>
<prompt>C:\&gt;</prompt> <userinput>xcopy e:\bin c:\freebsd\bin\ /s</userinput>
<prompt>C:\&gt;</prompt> <userinput>xcopy e:\manpages c:\freebsd\manpages\ /s</userinput></screen>
<para>En supposant que <devicename>C:</devicename> est l'endroit
où vous avez de l'espace libre et que votre CDROM soit
monté sur <devicename>E:</devicename>.</para>
<para>Si vous n'avez pas de lecteur de CDROM, vous pouvez
télécharger la distribution depuis <ulink
url="ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/i386/&rel.current;-RELEASE/">ftp.FreeBSD.org</ulink>.
Chaque distribution est dans son propre répertoire; par
exemple la distribution <emphasis>base</emphasis>
peut être trouvée dans le répertoire <ulink
url="ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/i386/&rel.current;-RELEASE/base/">&rel.current;/base/</ulink>.</para>
<para>Copiez chaque distribution que vous voulez installer
depuis la partition &ms-dos; (et pour laquelle vous avez de
l'espace libre) dans <filename>c:\freebsd</filename> &mdash;
la distribution <literal>BIN</literal> n'est que le minimum
obligatoire.</para>
</sect2>
<sect2>
<title>Création d'une bande d'installation</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>&agrave; partir de bandes QIC/SCSI</secondary>
</indexterm>
<para>Installer &agrave; partir de bandes est probablement la
méthode
la plus simple, mis &agrave; part l'installation en ligne avec FTP ou
depuis le CDROM. Le programme d'installation s'attend &agrave; ce
que les fichiers soient simplement archivés sur la bande.
Après avoir récupéré tous les fichiers
des distributions qui vous intéressent, archivez-les avec
<command>tar</command> sur la bande:</para>
<screen>&prompt.root; <userinput>cd /freebsd/distdir</userinput>
&prompt.root; <userinput>tar cvf /dev/rwt0 dist1 ... dist2</userinput></screen>
<para>Quand vous installez, vous devez vous assurer qu'il y a
assez de place dans un répertoire temporaire (que vous pourrez
choisir) pour y mettre le contenu <emphasis>entier</emphasis>
de la bande que vous avez créée. En raison de
l'accès non-aléatoire des bandes, cette méthode
exige un espace de
stockage temporaire important.</para>
<note>
<para>Au moment d'installer, la bande doit être dans le lecteur
<emphasis>avant</emphasis> de démarrer avec la disquette.
Sinon les tests risquent de ne pas la trouver.</para>
</note>
</sect2>
<sect2>
<title>Avant d'installer via le réseau</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>réseau</secondary>
<tertiary>série (SLIP ou PPP)</tertiary>
</indexterm>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>réseau</secondary>
<tertiary>parallèle (PLIP)</tertiary>
</indexterm>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>réseau</secondary>
<tertiary>Ethernet</tertiary>
</indexterm>
<para>Il y a trois types d'installation réseau disponibles. Par
Ethernet (un contrôleur Ethernet standard), par
port série (SLIP ou PPP), ou par port parallèle (PLIP
(câble laplink)).</para>
<para>Pour une installation réseau la plus rapide
possible, une carte Ethernet est toujours un bon choix!
FreeBSD supporte la plupart des cartes Ethernet PC
courantes; une liste des cartes supportées (et leur
paramétrage requis) est fournie dans la liste de
compatibilité matérielle de chaque version de
FreeBSD. Si vous utilisez une des cartes Ethernet PCMCIA
supportée, assurez-vous qu'elle soit en place
<emphasis>avant</emphasis> d'allumer le portable! FreeBSD
ne supporte pas, malheureusement, actuellement l'insertion
&agrave; chaud des cartes PCMCIA pendant
l'installation.</para>
<para>Vous devrez aussi connaître votre adresse IP sur
le réseau, le masque de réseau pour votre
classe d'adresses, et le nom de votre machine. Si vous
installez par l'intermédiaire d'une connexion PPP et
que vous n'avez pas d'IP fixe, ne prenez pas peur, l'adresse
IP peut être dynamiquement assignée par votre
fournisseur d'accès. Votre administrateur
système peut vous dire quelles valeurs utiliser pour
votre configuration réseau particulière. Si
vous devez référencer d'autres machines par
leur nom plutôt que par leurs adresses IP, vous devrez
aussi connaître un serveur de noms et peut-être
l'adresse d'une passerelle (si vous utilisez PPP, c'est
l'adresse IP de votre fournisseur d'accès) pour
accéder &agrave; ce serveur. Si vous voulez
installer par FTP via un proxy HTTP, vous aurez
également besoin de l'adresse du proxy. Si vous
n'avez pas les réponses &agrave; toutes ou la plupart
de ces questions, alors vous devriez vraiment en discuter
avec votre administrateur système ou votre
fournisseur d'accès <emphasis>avant</emphasis>
d'essayer ce type d'installation.</para>
<para>Le support SLIP est assez rudimentaire, et essentiellement
limité aux lignes directes, comme un câble série
entre un
ordinateur portable et un autre ordinateur. La liaison devra
être directe car l'installation par SLIP n'offre pas la
possibilité de se connecter par téléphone; cette
fonctionnalité est fournie par l'utilitaire PPP, qu'il faut
utiliser de préférence &agrave; SLIP chaque fois que
c'est possible.</para>
<para>Si vous utilisez un modem, PPP est presque certainement
votre seul choix. Veillez &agrave; avoir sous la main les
informations concernant votre fournisseur d'accès car vous en
aurez besoin assez tôt dans la procédure
d'installation.</para>
<para>Si vous utilisez PAP ou CHAP pour vous connecter &agrave; votre
fournisseur d'accès (en d'autres termes, si vous pouvez vous
connecter au fournisseur d'accès sous &windows; sans utiliser de
script), alors tout ce que vous aurez &agrave; faire est de taper
<command>dial</command> &agrave; l'invite de
<application>ppp</application>. Sinon, vous devrez savoir comment se
connecter &agrave; votre fournisseur d'accès en utilisant
les &ldquo;commandes AT&rdquo; propres &agrave; votre modem, car le
programme d'appel PPP ne fournit qu'un émulateur de terminal
très simplifié. Veuillez vous reporter aux sections
concernant ppp utilisateur du <link
linkend="userppp">Manuel</link> et de la <ulink
url="&url.books.faq;/ppp.html">FAQ</ulink> pour plus d'informations.
Si vous avez des problèmes, connectez-vous directement &agrave;
l'écran avec la commande <command>set log local
...</command>.</para>
<para>Si vous disposez d'une liaison directe &agrave; une autre machine
FreeBSD (2.0-R ou ultérieure), vous pourrez envisager
d'installer avec un câble &ldquo;laplink&rdquo; sur le port
parallèle. La vitesse de transmission sur le port
parallèle
est plus importante que celle que l'on obtient habituellement
avec une liaison série (jusqu'&agrave; 50&nbsp;Koctets/sec), ce qui
accélère l'installation.</para>
<sect3>
<title>Avant d'installer par NFS</title>
<indexterm>
<primary>installation</primary>
<secondary>réseau</secondary>
<tertiary>NFS</tertiary>
</indexterm>
<para>L'installation NFS est assez directe. Copiez simplement
les fichiers de la distribution FreeBSD que vous voulez
quelque part sur un serveur NFS et ensuite mentionnez-le
au moment de sélectionner le support
NFS.</para>
<para>Si le serveur n'accepte que les accès sur les
&ldquo;ports privilégiés&rdquo; (ce qui est
généralement le
cas par défaut sur les stations de travail Sun), vous devrez
préciser l'option <literal>NFS Secure</literal> dans le menus des <guimenu>Options</guimenu> avant de
procéder &agrave; l'installation.</para>
<para>Si vous avez une carte Ethernet de mauvaise qualité qui
souffre de vitesses de transfert très faibles, vous devrez
peut-être aussi positionner l'option
<literal>NFS Slow</literal>.</para>
<para>Pour que l'installation NFS fonctionne, le serveur doit
pouvoir monter des sous-répertoires, par exemple, si le
répertoire
pour votre distribution de FreeBSD&nbsp;&rel.current; est:
<filename>ziggy:/usr/archive/stuff/FreeBSD</filename>, alors
<hostid>ziggy</hostid> devra autoriser le montage de
<filename>/usr/archive/stuff/FreeBSD</filename>, et non
seulement de <filename>/usr</filename> ou
<filename>/usr/archive/stuff</filename>.</para>
<para>Dans le fichier <filename>/etc/exports</filename> de
FreeBSD, on contrôle cela avec l'option
<option>-alldirs</option>. D'autres serveurs NFS peuvent
avoir d'autres conventions. Si le serveur vous envoie des
messages <errorname>permission denied</errorname>, alors il est
probable que vous n'avez pas activé correctement cette
fonctionnalité.</para>
</sect3>
</sect2>
</sect1>
</chapter>